IMEI
Contributeur régulier
Un avis, évitez les lettres A/R qui ne servent à rien, faute d'interlocuteur direct. Une fois en amortissement négatif, le CFF n'a pas de motivation de répondre rapidement, ou de repondre aux attentes du client. Tu peux perdre 6 mois en échangéant 2 lettres A/R avec le CFF, avoir des réponses stériles, qui n'aboutiront à rien, mais tu jetteras 6 mensualités par la fenêtre et ton capital restant dû augmentera.
Le téléphone est là pour ça, un bon coup de gueule et tu auras au moins le numéro de fax d'une personne qui va répondre beaucoup plus vite.
Et sans menace de rachat (fax d'une offre de rachat) ils ont tout l'intérêt à gagner du temps et à éviter le contact direct.
Il n'y a pas de solution miracle, faute de pouvoir s'organiser en association et faute de pouvoir temoigner avec des enregistrements vocaux, c'est chacun pour soi. L'attente coûte, ce sont les mensualités payés dans le vide, le capital qui augmente, les taux qui augmentent, les nerfs qui pourrissent ta vie ...
Je vois que les médias se sont saisi du thème du pauvre qui s'est jeté sur des prêts révisables et qui ne peuvent plus assumer les mensualités. Ces sujets sont frileux pour la population, ils garantissent une grande audience (comme quoi ça soulage de voir qu'il y en a qui galèrent plus que toi), mais personne, jusqu'à présent, n'a appelé le chat un chat : il s'agit d'une arnaque institutionelle à l'échelle nationale qui perdure tranquilement depuis des années et qui continue à faire des victimes dans toutes les classes sociales.
Le téléphone est là pour ça, un bon coup de gueule et tu auras au moins le numéro de fax d'une personne qui va répondre beaucoup plus vite.
Et sans menace de rachat (fax d'une offre de rachat) ils ont tout l'intérêt à gagner du temps et à éviter le contact direct.
Il n'y a pas de solution miracle, faute de pouvoir s'organiser en association et faute de pouvoir temoigner avec des enregistrements vocaux, c'est chacun pour soi. L'attente coûte, ce sont les mensualités payés dans le vide, le capital qui augmente, les taux qui augmentent, les nerfs qui pourrissent ta vie ...
Je vois que les médias se sont saisi du thème du pauvre qui s'est jeté sur des prêts révisables et qui ne peuvent plus assumer les mensualités. Ces sujets sont frileux pour la population, ils garantissent une grande audience (comme quoi ça soulage de voir qu'il y en a qui galèrent plus que toi), mais personne, jusqu'à présent, n'a appelé le chat un chat : il s'agit d'une arnaque institutionelle à l'échelle nationale qui perdure tranquilement depuis des années et qui continue à faire des victimes dans toutes les classes sociales.