Les SCPI

Vous aimez mes tableaux de synthèse ?

Vous trouverez la liste des tableaux ci-dessous. Cela concerne les thèmes suivants

- Fonds obligataires et fonds datés
- Monetaire et CAT
- Fonds Euros
- SCPI
- SCI
- Allocation d'actifs

Enjoy !

https://www.moneyvox.fr/forums/fil/liste-des-tableaux-de-bord.50520/


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#SCPICarto - Cartographie SCPI : AV, PER , En direct & Nue Propriété (update)

Un update avec quelques SCPI supplementaires dans la col. Nue Propriété, dont une SCPI qui sort du lot (Elevation Tertiom , thanks to inputs from @Phil17000)

Sans prétendre répondre à toutes les questions, j’espère que ce tableau vous aidera comme outil d'aide à la décision, sur les ordres de grandeur, et les hypothèses ci dessous.

C'est l'épisode 6 de la saison.
Une cartographie simple, visuelle pour les non matheux, précision à 1 chiffre après la virgule (only) :ange:

Bonsoir à tous,

Grace aux formules de @Bossuet (AV, PER, En direct) et à @Phil17000 (pour la Nue Propriété) - Merci encore à eux - j'ai pu calculé un taux de rendement Net fiscal sur 5 ans, et/ou sur 10 ans, en prenant en compte

les hypothèses suivantes :

- les frais de souscription AV et PER propres à chaque contrat courtier / assureur.
- les frais d'entrée de 1% dans le cas de Garance.
- les loyers à 85% dans le cas Suravenir.
- les frais de gestion AV ou en PER (hypothèses les mêmes)
- le taux de distribution Net de fiscalité étrangère en 2023
- délai de jouissance pas pris en compte (a ce stade) sauf pour Nue Propriété
- AV >=8 ans revente avec fiscalité limitée aux Prelevements Sociaux
- PER , cas d'une TMI 30% de façon à bénéficier de l'effet de levier 30% et neutraliser l'impact de l’impôt sur les intérêts , retrait en capital avec PFU 30% (voir explications de @sorcier sur cette file)
- pas de pénalité de sortie après 5 ans.
- pas de variation du prix de la part entre l'achat et la revente.
- pour la formule en direct , hypothèse d'une TMI 30% (tranche marginale d'imposition)
avec tm 22% ou tm 6% (taux moyen d'imposition tranche haute 30% , ou tranche basse 30%)
- une formule à 5 ans pour la Nue Propriété, qu'on pourra élargir à 10 ans plus tard pour mieux amortir les frais d'entrée.

Toutes les SCPI en AV et PER ont été prises chez Spirica , à part Epsilion360 chez Apicil, et Iroko Zen chez Garance. Pas vérifié si Transition Europe est disponible en PER (?)

Comme on l'avait mentionné, les SCPI avec des frais de la classe 8% -12% (voir en annexe) ne sont pas attractives en AV sur 5 ans, il faut au moins 10 ans pour amortir.

Le cas Transition Europe même après 10 ans en AV (Suravenir) reste peu attractif en regard des frais et des loyers 85%.

Le PER est financièrement plus attractif avec une TMI 30%.

Pour la formule en direct, les SCPI avec des frais de souscription élevés, et une part française trop importante souffrent.

Je mets en annexe le détail des calculs, à consommer avec un Doliprane 1000.


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-------------------------------------------------- ANNEXES AV et PER

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-------------------------------------------------- ANNEXES En Direct


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-------------------------------------------------- ANNEXES Nue Propriété


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lebadeil a dit:
#SCPIAvie

Bonjour,
Une mise à jour du tableau SCPI d’intérêt en AV (avec le reporting Iroko Zen du 3e Trimestre)

Afficher la pièce jointe 35536
Afficher la pièce jointe 35534

Afficher la pièce jointe 35535
Hello @lebadeil , Remake n'est plus disponible chez Linxea zen Apicil.
 
Stef29 a dit:
Hello @lebadeil , Remake n'est plus disponible chez Linxea zen Apicil.
Bonjour, oui en effet, c'est indiqué dans les annotations du tableau
 
lebadeil a dit:
#SCPI.PERlebad

Une mise à jour du tableau SCPI d’intérêt en PER (avec le reporting Iroko Zen du 3e Trimestre)

Attention au PER UMR, avec encore quelques incertitudes sur le versement des loyers sur le fonds Euros, après la période de jouissance de 4 mois et versement trimestriel (?)

Afficher la pièce jointe 35558
Afficher la pièce jointe 35556

Afficher la pièce jointe 35557
MISTRAL est barré. Peux tu m'en rappeler les raisons ? 🐠Merci
 
miche665 a dit:
MISTRAL est barré. Peux tu m'en rappeler les raisons ? 🐠Merci
Mistral n'est pas dispo sur les PER sélectionnés.
Par contre Mistral est disponible sur d'autres enveloppes , voir tableau SCPI Cartographie.
 
lebadeil a dit:
Mistral n'est pas dispo sur les PER sélectionnés.
Par contre Mistral est disponible sur d'autres enveloppes , voir tableau SCPI Cartographie.
Merci 🙂
 
Extrait du Figaro : cela va au-delà des SCPI, mais me semble pertinent.

L’immobilier en voie de rétablissement​

L’éclaircie sur les taux de crédit redonne le sourire à l’immobilier. Les investisseurs en immobilier, qui n’étaient plus actifs depuis des mois, retrouvent enfin de la marge pour emprunter [lien réservé abonné] (autour de 3 % pour les meilleurs dossiers). En outre, les prix ont baissé ces derniers mois, notamment dans les grandes villes (- 14,2 % depuis le Covid à Paris, par exemple, selon le site meilleursagents.com). De quoi redonner le sourire aux agences, après des mois de vaches maigres.

« Les investisseurs reviennent », fait valoir Nathalie Naccache, agent immobilier dans le centre de Paris pour le réseau Keller Williams. Une situation qui contraste avec celle de l’année dernière. « On a eu six mois pendant lesquels, quand on rentrait un bien entre 150.000 et 300.000 euros, on n’avait aucun appel. Je n’avais jamais connu ça dans toute ma carrière », poursuit l’agent immobilier. Le regain de forme actuel reste cependant à confirmer. D’autant que le projet de loi de finances pourrait aussi rebattre les cartes, d’un point de vue fiscal, et que les interdictions de location des passoires thermiques approchent à grand pas (2025 pour les logements classés G puis 2028 pour ceux notés F).

Les brillantes perspectives de l’or​

L’or brille à nouveau de mille feux. La valeur refuge, qui vole de record en record, atteint désormais les 2738 dollars l’once (31 g). Le métal précieux s’est envolé de pas moins de 38 % sur un an. De quoi raviver les appétits. De fait, la baisse du loyer de l’argent est favorable à l’or. Le précieux métal ne produit pas de rendement.

En détenir est pénalisant quand les taux sont élevés et favorable quand ils sont bas. Or la baisse des taux n’en est qu’à ses débuts. Ce qui laisse augurer de nouvelles hausses pour la valeur refuge. « Certains analystes voient aujourd’hui le cours de l’or à 3000 dollars », rappelle François de Lassus, chez Or en Cash. Les facteurs de soutien à l’or ne manquent pas : les craintes d’embrasement au Moyen-Orient et la guerre en Ukraine qui renforcent son statut de valeur refuge ; l’appétit des banques centrales de pays émergents - Chine, Russie, Turquie… - qui veulent sortir de leur dépendance au dollar et font monter le cours ; le fait que les Chinois, gros épargnants, se détournent de l’immobilier au profit de l’or.

À lire aussi Déménager ses placements d’un établissement à l’autre, pas si simple [lien réservé abonné]


De nouvelles SCPI très rentables​

La hausse des taux de ces derniers mois a fait bien du mal aux SCPI (sociétés civiles de placement immobilier). Beaucoup ont vu la valeur de leur patrimoine flancher, et donc le prix de leurs parts chuter (de 2 % à 39 %). Mais ce n’est pas le cas de toutes. Les SCPI les plus récentes, qui ne traînent pas un stock d’immeubles achetés quand les prix étaient au plus haut, tirent leur épingle du jeu. Ces fonds, pour la plupart lancés post-Covid, ont acheté quand les prix de l’immobilier baissaient et offrent aujourd’hui des rendements plus qu’alléchants – entre 7 % et 8 % prévus pour 2024. En comparaison, la moyenne du secteur, autour de 4,50 %, fait pâle figure.

Les épargnants ne s’y trompent pas. Ils se dirigent majoritairement vers ces fonds. Au deuxième trimestre, seules 4 SCPI ont collecté plus de 100 millions d’euros chacune (Corum Origin, Iroko Zen, Remake Live, Transition Europe…). Parmi elles, la deuxième est née en 2020, les deux dernières en 2022. Cherchant à bénéficier de cet appel d’air, pas moins de 12 nouvelles SCPI se sont lancées ces deux dernières années, et d’autres encore devraient voir le jour d’ici quelques mois. Elles font le pari qu’un nouveau cycle s’enclenche. Au total, les SCPI ont enregistré une collecte nette de 807 millions d’euros au troisième trimestre 2024, (- 11 % par rapport au deuxième trimestre 2023), selon l’Association française des sociétés de placement immobilier (Aspim).

Le bitcoin porté par un vent favorable​

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Le bitcoin : portée par un vent favorable, la reine des cryptomonnaies reprend des couleurs. Connect world - stock.adobe.com
La reine des cryptomonnaies est aussi un des gagnants du moment. La baisse des taux, qui incite les investisseurs à prendre plus de risque pour aller chercher de meilleurs rendements, est un facteur de soutien. « Il y a à nouveau un appétit pour le risque. Et le bitcoin et les cryptos en général restent la classe d’actif la plus risquée », fait valoir Nicolas Chéron, analyste boursier indépendant. Mais ce n’est pas le seul facteur de soutien. À une semaine des élections américaines, les marchés anticipent désormais une victoire de Donald Trump, jugé plus favorable aux cryptos, que Kamala Harris. [lien réservé abonné] « Trump s’est dit cryptocompatible, voire cryptoenthousiaste, confirme Nicolas Chéron. Or les élections pourraient avoir un impact décisif sur la réglementation de cette classe d’actif. »

De quoi faire bondir le cours, alors qu’il stationne à un niveau élevé - entre 55.000 et 70.000 dollars - depuis des mois. « Si ce seuil est cassé, il pourrait y avoir un effet bouchon de champagne, imagine Nicolas Chéron, avec des hausses de l’ordre de 20 % à 30 % dans les semaines qui suivent, car beaucoup d’ordres d’achat sont automatisés. » De quoi donner raison aux anticipations haussières liées au « halving ». En effet, tous les 4 ans depuis sa création en 2008, la création de bitcoin est divisée par deux (2012, 2016, 2020, 2024) afin d’atteindre 21 millions en 2140, son maximum. La dernière réduction de production a eu lieu en avril 2024. Or chaque halving a jusqu’à présent donné lieu à une poussée de fièvre du cours. Ce qu’espèrent à ce jour les crypto-fans pour 2024, voire 2025.

Lire le dossier «Les secrets des gérants stars» : retrouvez tous les épisodes [lien réservé abonné]

Des rendements encore à saisir sur les livrets et comptes à terme​

Il n’est pas trop tard pour placer son argent à bon compte sur des produits d’épargne non réglementés (livrets, comptes à terme…). Certes, les rendements actuels – entre 2,80 % et 3,50 % par an en fonction de la durée de détention (1 à 5 ans) - semblent loin des 4 % ou 5 % que l’on pouvait obtenir il y a quelques mois encore. Idem pour les livrets d’épargne, disponibles à tout moment, qui naviguent désormais autour de 2 %. Pour autant, du fait d’une inflation de plus en plus faible (1,2 % sur un an en septembre 2024), les épargnants qui y placent leur bas de laine gagnent encore de l’argent, sans aucun risque.

Plus pour très longtemps sans doute. Côté épargne réglementée, le livret A, qui a vu sa rémunération gelée à 3% net en 2023 et qui a, de ce fait, massivement collecté ces derniers mois, devrait voir son taux légèrement baisser dès le 1er février 2025. Son taux, qui prend en compte l’inflation des six derniers mois et les taux interbancaires, pourrait passer à 2,50 % ou 2,75 % , selon les calculs du Cercle de l’épargne.

Derniers feux pour le monétaire​

Placer son argent à court terme en attendant de voir venir est aussi une solution. Les fonds monétaires, qui investissent sur des obligations remboursables à très court terme et donc au niveau de risque très limité, offrent encore de bons rendements. Mais ce ne sera plus le cas dans quelques mois. Les taux courts, autour de 3,40 %, sont attendus autour de 2 % d’ici un an. « Le placement court terme est encore avantageux aujourd’hui, il va l’être de moins en moins », estime Jean-Patrice Prudhomme, directeur des gestions chez Milleis Banque privée. Les épargnants qui ne savent pas encore où déployer leur argent pour profiter de la baisse des taux y trouveront une solution d’attente tout à fait valable. Avant d’aller chercher rapidement de meilleurs rendements.

À lire aussi Pourquoi investir dans les obligations redevient obligatoire [lien réservé abonné]

Une rémunération en léger recul pour les fonds en euros​

Les particuliers qui ont eu la bonne surprise de voir les rendements de leurs fonds en euros d’assurance-vie augmenter fortement pour le cru 2023 [lien réservé abonné] (2,65 % en moyenne contre 1,90 % un an plus tôt) risquent d’être un peu déçus. En début d’année prochaine, les assureurs devraient légèrement réduire les rémunérations pour 2024. Le cabinet spécialisé Good Value for Money anticipe même une rémunération autour de 2,50 % (- 0,15 point). Tout sauf une surprise. Tout d’abord, les obligations d’État, qui constituent l’essentiel des fonds en euros, ont vu leur rémunération reculer, sous l’effet de la baisse des taux.

Ensuite, les assureurs qui ont largement puisé dans leurs réserves pour rester compétitifs en 2023, face à d’autres produits d’épargne, vont aussi pouvoir souffler. Ils n’auront bientôt plus à faire face à la concurrence du livret A (3 % nets aujourd’hui mais dont le taux devrait baisser au 1er février) qui leur faisait de l’ombre. Pour autant, les épargnants ont encore quelques bons coups à jouer pour continuer à percevoir de bons rendements. Les contrats en euros les plus récents (Ampli Assurance-vie, Corum Life, Swiss Life Euro+), qui ne sont pas lestés par des obligations achetées quand les taux étaient au plancher et qui ont offert entre 3,75 % et 4,45 % en 2023, devraient continuer à sortir du lot. Mais ce n’est pas tout. Malgré la baisse des taux à l’œuvre, quelques assureurs continuent de doper le rendement de leur fonds en euros. C’est le cas du bancassureur Milleis, qui offre par exemple 2,25 % de rémunération en plus (2,75 % en 2023) cette année et la suivante. Mais cela devient de plus en plus rare. « Ces offres ont peu à peu disparu depuis l’été », confirme Gilles Belloir, directeur général du courtier en ligne placement-direct.fr. Raison de plus pour saisir les dernières opportunités.

Les obligations perdent de leur attrait​

Les obligations ont fait un retour en force dans le portefeuille des épargnants ces derniers mois, à la faveur de la hausse des taux. Mais elles commencent déjà à perdre un peu de leur intérêt maintenant que le loyer de l’argent diminue. Les fonds à échéance qui achètent de la dette d’entreprises [lien réservé abonné] rapportent aujourd’hui près de 4 % net de frais de gestion, lorsqu’ils sont constitués de sociétés bien notées. L’année dernière, on naviguait plutôt autour de 5 %. « C’est moins bien que l’an passé mais on reste encore à des niveaux tout à fait corrects », estime Eric Dubos. Certaines obligations d’État demeurent également encore attractives (4,18 % par an pour les bons du Trésor américain à 10 ans, par exemple). Pour l’épargnant, l’avantage est double. Tout d’abord il fige une rémunération : « Acheter des obligations aujourd’hui équivaut à verrouiller un rendement pour des années », résume Laurent Clavel, directeur de la gestion Multi Asset chez Axa IM. Mais, mieux encore, la baisse des taux à venir va mécaniquement rehausser la valeur des titres plus rémunérateurs. Ce qui peut permettre aux détenteurs de ces actifs de dégager des plus-values si, à l’avenir, ils souhaitent vendre avant l’échéance.

À lire aussi Où acheter un studio à mettre en location en 2025 ? Découvrez notre palmarès [lien réservé abonné]

Les produits structurés à nouveau risqués​

La fenêtre de tir se referme-t-elle pour les produits structurés, qui, il y a quelques mois encore, avaient le double avantage d’être rentables et sûrs (hors défaut de l’émetteur) ? Probablement. L’an passé, ces produits qui consistent à parier sur l’évolution d’un indice (CAC 40, Dax…) ou d’un panier d’actions, et à récupérer sa mise si le seuil fixé est dépassé à date anniversaire, étaient capables d’offrir des rendements autour de 6 % par an, et une garantie de 100 % du capital. Ces propositions sont désormais derrière nous. Si les rendements de ces placements restent potentiellement élevés, parfois jusqu’à 10 % ou 12 %, la garantie totale en capital a disparu avec la baisse des taux.

La mise de départ est aujourd’hui garantie jusqu’à un certain degré de baisse - par exemple 40 % - à date anniversaire. Ce qui en fait des produits avec une certaine dose de risque. Ce qui n’empêche pas les clients qui recherchent de bons rendements d’en acheter. « Les produits structurés restent une excellente alternative aux actions, pour un investissement sur le long terme, indique Serge Harroch, gérant du cabinet de gestion de patrimoine Alpha Phi. La question à se poser est d’abord de savoir ce qu’on attend de ces placements. Est-ce que l’on cherche un substitut au fonds euros, avec un capital 100 % garanti et du rendement comme c’était le cas l’an dernier ? Ou est-ce que l’on souhaite remplacer un portefeuille d’actions, en cherchant de la performance tout en limitant son risque ? Cette deuxième version a toujours le vent en poupe. »
 
lebadeil a dit:
#SCPICarto - Cartographie SCPI : AV, PER , En direct & Nue Propriété (update)

Un update avec quelques SCPI supplementaires dans la col. Nue Propriété, dont une SCPI qui sort du lot (Elevation Tertiom , thanks to inputs from @Phil17000)

Sans prétendre répondre à toutes les questions, j’espère que ce tableau vous aidera comme outil d'aide à la décision, sur les ordres de grandeur, et les hypothèses ci dessous.

C'est l'épisode 6 de la saison.
Une cartographie simple, visuelle pour les non matheux, précision à 1 chiffre après la virgule (only) :ange:

Bonsoir à tous,

Grace aux formules de @Bossuet (AV, PER, En direct) et à @Phil17000 (pour la Nue Propriété) - Merci encore à eux - j'ai pu calculé un taux de rendement Net fiscal sur 5 ans, et/ou sur 10 ans, en prenant en compte

les hypothèses suivantes :

- les frais de souscription AV et PER propres à chaque contrat courtier / assureur.
- les frais d'entrée de 1% dans le cas de Garance.
- les loyers à 85% dans le cas Suravenir.
- les frais de gestion AV ou en PER (hypothèses les mêmes)
- le taux de distribution Net de fiscalité étrangère en 2023
- délai de jouissance pas pris en compte (a ce stade) sauf pour Nue Propriété
- AV >=8 ans revente avec fiscalité limitée aux Prelevements Sociaux
- PER , cas d'une TMI 30% de façon à bénéficier de l'effet de levier 30% et neutraliser l'impact de l’impôt sur les intérêts , retrait en capital avec PFU 30% (voir explications de @sorcier sur cette file)
- pas de pénalité de sortie après 5 ans.
- pas de variation du prix de la part entre l'achat et la revente.
- pour la formule en direct , hypothèse d'une TMI 30% (tranche marginale d'imposition)
avec tm 22% ou tm 6% (taux moyen d'imposition tranche haute 30% , ou tranche basse 30%)
- une formule à 5 ans pour la Nue Propriété, qu'on pourra élargir à 10 ans plus tard pour mieux amortir les frais d'entrée.

Toutes les SCPI en AV et PER ont été prises chez Spirica , à part Epsilion360 chez Apicil, et Iroko Zen chez Garance. Pas vérifié si Transition Europe est disponible en PER (?)

Comme on l'avait mentionné, les SCPI avec des frais de la classe 8% -12% (voir en annexe) ne sont pas attractives en AV sur 5 ans, il faut au moins 10 ans pour amortir.

Le cas Transition Europe même après 10 ans en AV (Suravenir) reste peu attractif en regard des frais et des loyers 85%.

Le PER est financièrement plus attractif avec une TMI 30%.

Pour la formule en direct, les SCPI avec des frais de souscription élevés, et une part française trop importante souffrent.

Je mets en annexe le détail des calculs, à consommer avec un Doliprane 1000.

lebadeil a dit:
-------------------------------------------------- ANNEXES En Direct


Afficher la pièce jointe 35569
Afficher la pièce jointe 35570

Bonjour @lebadeil , @Bossuet , @Pascal 75 et tous ceux qui ont participé aux calculs,

Pour la détention en direct, il faut utiliser le taux de distribution brut de fiscalité étrangère, que ce soit pour la partie française ou la partie étrangère des revenus des SCPI.
Voir mon message https://www.moneyvox.fr/forums/fil/les-scpi.47380/post-641889

Extraits :
Pour les revenus français
ba7872 a dit:
En réalité, pour des SCPI détenues en direct, ce n'est ni le taux brut ni le taux net de fiscalité étrangère qu'il faut prendre, mais ce que la SCPI vous dit de déclarer. Vous n'êtes pas imposés sur les revenus que vous recevez mais sur (loyers - charges) de la SCPI. La différence, c'est par exemple si la SCPI conserve une partie du loyer pour augmenter le report à nouveau. Vous êtes alors imposés sur une partie des loyers que vous ne recevez pas.

En approximation, je suis d'accord que pour la partie française, il faudrait plutôt partir du taux brut puisque la partie française n'est pas imposé à la source :
Revenus nets de fiscalité étrangère = Revenus français + revenus étrangers - impôts étrangers à la source

Encore faudrait-il connaitre la part des revenus français (voir exemple ci-dessous sur la difficulté à connaitre la part des revenus pour un pays)
Les proportions des revenus français et étrangers données par les SCPI (quand ils le sont, sinon on ne connait que la répartition selon la valeur vénale des biens) sont calculées avant le paiement à la source de l'impôt étranger.

Pour les revenus étrangers
ba7872 a dit:
Pour les revenus étrangers, les calculs actuels sont aussi une approximation : la répartition par pays qu'on voit dans les bulletins trimestriels correspond à une répartition selon la valeur vénale. Pour les impôts, c'est la répartition selon les revenus. Et il peut y avoir une grosse différence.
Exemple avec Pierval Santé :
PaysRépartition dans le BT du T4 2023Répartition dans la notice fiscale
Allemagne14,66%16,77%
Royaume-Uni25,46%18,21%

Et comme je le disais plus haut sur les montants à déclarer, j'ai fait une vérification avec une SCPI 100% étrangère que je possède, Novapierre Allemagne 2.

Pour l'année 2023, pour des revenus nets de fiscalité étrangère de 100, je dois déclarer 115 (soit un rapport de 1,15 entre brut et net) (précision : ce ne sont pas mes chiffres personnels réels).
Alors que si on regarde les dividendes par part pour 2023 :
- dividendes bruts de fiscalité : 12,46 €
- fiscalité étrangère : 1 €
- soit des dividendes nets de fiscalité : 11,46 €
soit un rapport de 1,09 entre brut et net.

Conclusion : tous les calculs que nous faisons sont de très très grosses approximations, voire s'avèrent faux.
Je n'ai pas de chiffres réels pour Remake Live car je la possède uniquement en AV

Et c'est confirmé par la convention fiscal franco-allemande :
Article 20
(2) En ce qui concerne les résidents de France, la double imposition est évitée de la façon suivante :
Les revenus qui proviennent de la République fédérale et qui y sont imposables conformément aux dispositions de la présente Convention sont également imposables en France lorsqu’ils reviennent à un résident de France et lorsqu’ils ne sont pas exemptés de l’impôt sur les sociétés en application de la législation interne française. L'impôt allemand n'est pas déductible pour le calcul du revenu imposable en France. Mais le bénéficiaire a droit à un crédit d'impôt imputable sur l'impôt français dans la base duquel ces revenus sont compris.
 
ba7872 a dit:
Bonjour @lebadeil , @Bossuet , @Pascal 75 et tous ceux qui ont participé aux calculs,

Pour la détention en direct, il faut utiliser le taux de distribution brut de fiscalité étrangère, que ce soit pour la partie française ou la partie étrangère des revenus des SCPI.
Voir mon message https://www.moneyvox.fr/forums/fil/les-scpi.47380/post-641889

Extraits :
Pour les revenus français

Les proportions des revenus français et étrangers données par les SCPI (quand ils le sont, sinon on ne connait que la répartition selon la valeur vénale des biens) sont calculées avant le paiement à la source de l'impôt étranger.

Pour les revenus étrangers


Et c'est confirmé par la convention fiscal franco-allemande :
Sur le fond, je suis tout à fait d'accord (sur les diverses remarques).

Après, comme c'est une première approximation, l'erreur commise n'est pas dramatique (d'autant que l'approximation retenue sous-estime tant le revenu réel que l'imposition réelle et que ça se compense en partie).

La valeur proposée en % est, me semble-t-il, valide à quelques dixièmes de % près. Bref, pour un premier repérage graphique, ça peut aller.

Les hypothèses sur le prix, la distribution et la fiscalité (ne variant pas) sont également discutables.
 
lebadeil a dit:
-------------------------------------------------- ANNEXES En Direct


Afficher la pièce jointe 35569
Bonjour @lebadeil ,

Je pense qu'il y a une erreur dans l'annexe "En Direct" : dans le tableau, le "Rendement Net" est toujours égal au taux net de fiscalité étrangère. Ou alors je n'ai pas compris le sens de cette ligne (j'avais compris que c'était le rendement net de fiscalité française).
 
Hello, oui je crois bien que c'est la même chose = rendement NET s'entend de fiscalité étrangère dans le tableau
 
J’avais jeté un œil à Kyaneos Denormandie à l’époque, mais passé mon tour. Quand je regarde leur dernier rapport [lien réservé abonné], est-ce que je le lis bien si j’en conclus que les dividendes ont été très faibles et que la part a perdu presque 10%, donc perspective de moins-value considérable lors de la dissolution de la SCPI ?
 
Membre50738 a dit:
J’avais jeté un œil à Kyaneos Denormandie à l’époque, mais passé mon tour. Quand je regarde leur dernier rapport [lien réservé abonné], est-ce que je le lis bien si j’en conclus que les dividendes ont été très faibles et que la part a perdu presque 10%, donc perspective de moins-value considérable lors de la dissolution de la SCPI ?
Pas impossible...

De façon plus générale sur des SCPI dites fiscales, et j'ai plus les noms en tête, mais c'était du malraux, des moins vue dépassant les 50% sont en train d'être subies...

Exemple

[lien réservé abonné]

Et là pas moyen de faire le dos rond et de dire je conserve. La SCPI est progressivement liquidée, les pertes dévoilées et encaissées !!!

En fait le prix d'achat de l'ancien + travaux et frais de la sdg a largement dépassé les prix du neuf. Équation intenable pour ne pas revendre à perte.
 
Msimmo a dit:
De façon plus générale sur des SCPI dites fiscales, et j'ai plus les noms en tête, mais c'était du malraux, des moins vue dépassant les 50% sont en train d'être subies...
sur une SCPI scellier vous pouvez trouver mon propre exemple sur cette file.

j'i aussi une SCPI Malraux et une déficit foncier mais qui ne sont pas encore arrivées à maturité .....

j'en parlerai le moment venu
 
Bonjour
Quelqu'un aurait il des nouvelles d'iroko qui devait arriver aujourd'hui sur certains contrats spirica ? Je ne vois rien de mon côté
 
Ça veut dire uniquement via ce contrat spirica ? Ou les autres vont suivre ?
 
Dernière modification par un modérateur:
gden a dit:
Bonjour
Quelqu'un aurait il des nouvelles d'iroko qui devait arriver aujourd'hui sur certains contrats spirica ? Je ne vois rien de mon côté
Extrait de la newsletter recu ce jour de la boutique des placements:

Iroko Zen référencée dans le contrat d'assurance-vie Spirica à partir d'aujourd'hui🆕

Le contrat d'assurance-vie Spirica proposé par la Boutique des placements est connu comme étant le contrat le moins cher du marché avec notamment des frais au ras des pâquerettes🌼 (pas de frais d'entrée, des frais abaissés au maximum à 0,5%) mais c'est loin d'être son seul atout.
Il propose de nombreux supports d'investissement immobilier de qualités à commencer par la SCPI sans frais d'entrée Remake Live (7,79% de performance en 2023). 🚀

Le petit plus : il est possible d'investir 100% de son allocation sur une ou plusieurs SCPI et les loyers sont réinvestis en nouvelles parts de SCPI, ce qui permet une meilleure capitalisation dans la durée. 💵


À ce contrat déjà canon💣 vient donc s'ajouter la SCPI sans frais Iroko Zen désormais disponible à partir d'aujourd'hui. ✨
 
Aussi je pense logiquement que ça devrait arriver chez linxea spirit aussi.
 
nico37 a dit:
Extrait de la newsletter recu ce jour de la boutique des placements:

Iroko Zen référencée dans le contrat d'assurance-vie Spirica à partir d'aujourd'hui🆕

Le contrat d'assurance-vie Spirica proposé par la Boutique des placements est connu comme étant le contrat le moins cher du marché avec notamment des frais au ras des pâquerettes🌼 (pas de frais d'entrée, des frais abaissés au maximum à 0,5%) mais c'est loin d'être son seul atout.
Il propose de nombreux supports d'investissement immobilier de qualités à commencer par la SCPI sans frais d'entrée Remake Live (7,79% de performance en 2023). 🚀

Le petit plus : il est possible d'investir 100% de son allocation sur une ou plusieurs SCPI et les loyers sont réinvestis en nouvelles parts de SCPI, ce qui permet une meilleure capitalisation dans la durée. 💵


À ce contrat déjà canon💣 vient donc s'ajouter la SCPI sans frais Iroko Zen désormais disponible à partir d'aujourd'hui. ✨
Il s'avance un peu vite, Iroko n'est pas encore dispo sur les contrats UAF Spirica, même si ça ne devrait pas tarder.
 
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