Une information "Noël" m'a interpelé ces derniers jours :
Selon la Fevad (Fédération du e-commerce et de la vente à distance),
78 % des Français déclarent avoir l’intention d’acheter leurs cadeaux de Noël en ligne pour Noël 2025.
Tentative de description de l'historique :
Le plafond observé autour de 78 % en 2025 ne marque pas un recul du e-commerce de Noël, mais son entrée dans une phase de maturité. La part des achats en ligne pourrait encore évoluer au rythme des innovations technologiques et des nouveaux usages plutôt que par une adoption massive.
Le plafonnement des achats en ligne ne signe pas le retour en grâce des SCPI de commerce, mais il en stabilise le risque. Désormais, la performance dépend moins de la tendance e-commerce que de la
qualité des emplacements, de la typologie des commerces et de la
capacité des gestionnaires à arbitrer.
Tentative de comparaison (avec SCPI-Lab) entre un "Gold Standard" de SCPI diversifiée / Européenne et les 3 "meilleures" SCPI commerces (sur la base du TD)
Que penser de tout cela ... ?
Sans être alarmiste pour les SCPI "commerces" ou comportant un fort % "Commerces" ; Il semble que des signaux forts d'inquiétudes apparaissent.
Le E-Commerce est un vrai rouleau compresseur actuellement décuplé par l'utilisation de l'IA
De plus les SCPI "Commerces" sont majoritairement franco-française à l'exception de Paref Prima ce qui ne favorise pas la fiscalité
Les commerces qualitatifs / indispensables / alimentaires résisteront. Mais les autres ?
Comment préserver les commerces de nos centres centres villes que nous aimons tant ... ?
Essayons peut-être (en fonction des possibilités de chacun) de
favoriser nos commerces de proximité par rapport au e-commerce et aux grands centres commerciaux ?
L'ambiance de nos centres villes s'en portera mieux et, accessoirement, les SCPI "Commerces" aussi
