ontheair
Contributeur
Bonjour,
Dans la brochure tarifaire Boursorama Banque applicable au 18 novembre 2014 (tarifs TTC) je lis au chapitre « OUVERTURE, FONCTIONNEMENT ET SUIVI DE VOTRE COMPTE » :
Ouverture, transformation, clôture
Ouverture de compte GRATUIT
Service de changement de domiciliation bancaire GRATUIT
Désolidarisation compte joint GRATUIT
Clôture de compte GRATUIT
Règlement de succession 300 €
Attestation ouverture de compte GRATUIT
J'imagine que, sur ce point précis du règlement de succession, tous les établissements bancaires pratiquent de façon similaire avec des tarifs qui leur sont propres plus ou moins élevés.
Mais cette tarification Boursorama de 300€ est-elle normale dans la mesure où le montant des frais apparaît sans commune mesure avec la réalité du travail de la banque ? Ces frais peuvent-ils être considérés comme illicites dès lors que la tarification n'est pas la juste contrepartie d'une réelle prestation ?
En d'autres termes une telle tarification pourrait-elle constituer une violation des prescriptions légales et à ce titre être considérée comme clause léonine ? Si cette tarification figure bien dans la brochure tarifaire supposée être pleinement acceptée par le client, le fait qu'elle soit considérée comme léonine ne rendrait pas le contrat nul, mais la clause serait seulement réputée non écrite.
Merci pour vos avis éclairés
Dans la brochure tarifaire Boursorama Banque applicable au 18 novembre 2014 (tarifs TTC) je lis au chapitre « OUVERTURE, FONCTIONNEMENT ET SUIVI DE VOTRE COMPTE » :
Ouverture, transformation, clôture
Ouverture de compte GRATUIT
Service de changement de domiciliation bancaire GRATUIT
Désolidarisation compte joint GRATUIT
Clôture de compte GRATUIT
Règlement de succession 300 €
Attestation ouverture de compte GRATUIT
J'imagine que, sur ce point précis du règlement de succession, tous les établissements bancaires pratiquent de façon similaire avec des tarifs qui leur sont propres plus ou moins élevés.
Mais cette tarification Boursorama de 300€ est-elle normale dans la mesure où le montant des frais apparaît sans commune mesure avec la réalité du travail de la banque ? Ces frais peuvent-ils être considérés comme illicites dès lors que la tarification n'est pas la juste contrepartie d'une réelle prestation ?
En d'autres termes une telle tarification pourrait-elle constituer une violation des prescriptions légales et à ce titre être considérée comme clause léonine ? Si cette tarification figure bien dans la brochure tarifaire supposée être pleinement acceptée par le client, le fait qu'elle soit considérée comme léonine ne rendrait pas le contrat nul, mais la clause serait seulement réputée non écrite.
Merci pour vos avis éclairés