Aristide
Top contributeur
Bonjour,
=> Le premier résulte de la réglementation du prêt PAS qui prévoit, en cas de défaillance du prêteur, l'intervention du "fond de garantie accession sociale".
Le notaire n'intervient pas du tout pour rédiger un acte dans ce cas; c'est prévu par la convention de distribution des prêts PAS signée entre les banques et l’État via la Société de Gestion des Financements
et de la Garantie de l’Accession Sociale à la propriété (SFGAS).
Mais cette réglementation PAS impose aussi une garantie réelle immobilière de premier rang.
Si l'emprunteur est défaillant la banque devra d'abord utiliser cette garantie (= vente immeuble) et le FGAS n'interviendra que pour l'éventuelle perte résiduelle.
=> Ensuite vous avez donc cette garantie réelle immobilière qui, en fait, se compose de deux garanties qui sont :
+ L'hypothèque légale spéciale du prêteur de deniers à hauteur du prix d'acquisition du terrain hors frais
+ Une hypothèque conventionnelle pour le complément.
Ce sont ces deux garanties qui doivent faire l'objet d'un acte authentique (donc rédigé par un notaire).
Et comme il y a en réalité deux garanties il y a forcément plus de travail et plus de frais que s'il n'y en avait qu'une seule.
=> (Besoins = Emplois = Dépenses) = (Ressources = Recettes)
(Cf tableaux Excel joint aux liens ci-dessus)
Ensuite, il faudrait aussi connaître dans le détail les conditions exactes des crédits
+ Taux prêt
+ Taux assurances
+ Base calcul assurances
+ Nombre assurés
+ Quotités assurées
Le mieux serait d'avoir une copie des simulations/offres de prêts et des tableaux d'amortissement (anonymisés)
Cdt
Dans votre dossier vous avez deux types de garantie :danie a dit:Qu'entendez-vous par deux garanties pour le même crédit?
Le plan de financement indique effectivement 2 lignes de garantie concernant la construction: l'une avec "hypothèque immobilière conventionnelle" et l'autre "fond de garantie accession sociale".
=> Le premier résulte de la réglementation du prêt PAS qui prévoit, en cas de défaillance du prêteur, l'intervention du "fond de garantie accession sociale".
Le notaire n'intervient pas du tout pour rédiger un acte dans ce cas; c'est prévu par la convention de distribution des prêts PAS signée entre les banques et l’État via la Société de Gestion des Financements
et de la Garantie de l’Accession Sociale à la propriété (SFGAS).
Mais cette réglementation PAS impose aussi une garantie réelle immobilière de premier rang.
Si l'emprunteur est défaillant la banque devra d'abord utiliser cette garantie (= vente immeuble) et le FGAS n'interviendra que pour l'éventuelle perte résiduelle.
=> Ensuite vous avez donc cette garantie réelle immobilière qui, en fait, se compose de deux garanties qui sont :
+ L'hypothèque légale spéciale du prêteur de deniers à hauteur du prix d'acquisition du terrain hors frais
+ Une hypothèque conventionnelle pour le complément.
Ce sont ces deux garanties qui doivent faire l'objet d'un acte authentique (donc rédigé par un notaire).
Et comme il y a en réalité deux garanties il y a forcément plus de travail et plus de frais que s'il n'y en avait qu'une seule.
Pour cela il faudrait en tout premier connaître le détail de chaque plan de financementsdanie a dit:Même si les 2 offres ne sont pas comparables, j'aurais quand-même souhaité savoir si l'une était plus avantageuse pour moi.
=> (Besoins = Emplois = Dépenses) = (Ressources = Recettes)
(Cf tableaux Excel joint aux liens ci-dessus)
Ensuite, il faudrait aussi connaître dans le détail les conditions exactes des crédits
+ Taux prêt
+ Taux assurances
+ Base calcul assurances
+ Nombre assurés
+ Quotités assurées
Le mieux serait d'avoir une copie des simulations/offres de prêts et des tableaux d'amortissement (anonymisés)
Ce n'est pas cohérent !!!danie a dit:L'échéancier indique un remboursement sur 324 mois pour l'un et 300 mois pour l'autre. Les différés partiels (intérêts + assurance) y sont inclus.
Cdt