Jeune éffronté
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J'en reviens à la partie philosophique, qui était la question! Je vis entouré de gens qui n'en ont rien à faire d'épargner, soit parce qu'ils ne peuvent pas donc la question est vite réglée... soit parce qu'ils se font plaisir sans compter et puis la vie est longue (ou courte) donc advienne que pourra.
A titre perso, est-ce que je serai plus heureux que je le suis actuellement maintenant si je dépensais tout plutôt que d'épargner? Probablement vu tous les plaisirs en plus que je pourrais me payer avec mon épargne. Mais est-ce que je serai plus heureux dans 40 ans que je suis le aujourd'hui et aussi plus heureux qu'un autre qui n'a pas épargné? Probablement vu ce que j'aurai amassé, ce que je pourrai me payer / conserver mon niveau de vie et ce que je pourrai transmettre.
Ca me laisse penser qu'on épargne uniquement par peur de l'avenir à la fois par égoisme et altruisme, tout en se privant de manière forcée (ou influencée) d'une partie du bonheur de dépenser sans compter dans le moment présent alors que peut-être demain la vie s'arrêtera.
La bonne solution étant probablement de trouver le juste milieu entre (i) le trop d'épargne qui peut-être ne servira à rien un jour soit parce qu'on sera tous morts demain soit parce qu'on en aura trop pour tout dépenser soit parce qu'au final la somme épargnée ne sera pas assez grosse pour changer sa vie ou celle de ses enfants, et (ii) ne pas regretter de dépenser plus que nécessaire pour ne pas se priver du bonheur de la vie présente.
Tout cette réflexion dépendant du salaire et du reste à vivre de chacun bien sur
A titre perso, est-ce que je serai plus heureux que je le suis actuellement maintenant si je dépensais tout plutôt que d'épargner? Probablement vu tous les plaisirs en plus que je pourrais me payer avec mon épargne. Mais est-ce que je serai plus heureux dans 40 ans que je suis le aujourd'hui et aussi plus heureux qu'un autre qui n'a pas épargné? Probablement vu ce que j'aurai amassé, ce que je pourrai me payer / conserver mon niveau de vie et ce que je pourrai transmettre.
Ca me laisse penser qu'on épargne uniquement par peur de l'avenir à la fois par égoisme et altruisme, tout en se privant de manière forcée (ou influencée) d'une partie du bonheur de dépenser sans compter dans le moment présent alors que peut-être demain la vie s'arrêtera.
La bonne solution étant probablement de trouver le juste milieu entre (i) le trop d'épargne qui peut-être ne servira à rien un jour soit parce qu'on sera tous morts demain soit parce qu'on en aura trop pour tout dépenser soit parce qu'au final la somme épargnée ne sera pas assez grosse pour changer sa vie ou celle de ses enfants, et (ii) ne pas regretter de dépenser plus que nécessaire pour ne pas se priver du bonheur de la vie présente.
Tout cette réflexion dépendant du salaire et du reste à vivre de chacun bien sur