Anonyme
Bonjour à tous,
Je profite de mon premier message sur ce forum pour saluer la qualité des interventions et remercier les participants pour l'ensemble des informations/expériences/explications mises à disposition sur ce site.
Étant totalement débutant et ingénu face aux questions immobilières, j'ai effectué quelques recherches depuis plusieurs jours afin de me lancer dans la création de mon patrimoine.
Un grand nombre de questions demeure, bien évidemment...
Ma situation actuelle:
Vie maritale, 1 enfant (déclaré sur IR de ma compagne), donc 1 part
Revenu annuel net 2009 : 34 K€ (impôt estimé 2010 à env. 3K€)
Co-locataire de ma RP en IDF, je ne souhaite pas investir pour l'achat de ma RP (actuellement 1300 €/mois pour la location d'un pavillon d'env. 100 m²). Eventuellement, j'envisagerai de "diminuer la voilure" (baisse de loyer) pour augmenter ma capacité d'épargne.
Mon projet (théorique) : acquérir un bien immobilier me permettant de constituer un patrimoine et trouver une solution de financement via la fiscalité et/ou le revenu locatif.
IE : obtenir un bien pour un effort d'épargne d'environ 500 € par mois (IR inclus), dans l'optique de revente avec PV en fin de cycle ou d'en avoir la jouissance (appartement en bord de mer, par ex.)
Si j'ai bien retenu de mes lectures :
- la défiscalisation concerne principalement (uniquement?) l'immobilier neuf
- la défiscalisation est un atout supplémentaire et ne doit pas être une fin en soi
- la défiscalisation est "plus ou moins" intégrée dans le modèle économique des promoteurs et influe sur le prix au m² des biens.
- le revenu locatif subit une fiscalité au titre des impôts fonciers en cas de location nue; au titre des BIC en cas de location meublée
- les principales incitations pour favoriser l'investissement locatif concernent donc des constructions neuves, loués à des tiers au titre de RP pendant une durée donnée (Girardin, Robien...), ou au titre de résidence de service (hotelier, étudiant, ephad...), ou encore de tourisme (ZRR, ...)
Par rapport à mon objectif, et malgré les incitations fiscales, j'oublie tout de suite les résidences de service et certainement les RT (inadéquation offre demande pour espérer une PV en fin d'opération, et pas d'intérêt personnel outre le complément de revenu).
Je pars donc du principe que je vais acquérir un bien dans l'ancien, le louer nu à un tiers ou bien meublé en saisonnier. Comment faire pour que mes revenus "auto-financent" le bien?
Dans le cas du foncier :
Est-il par exemple possible de créer un déficit foncier me permettant de diminuer mon IR, sans amortissement, mais avec le prise en compte des intérêts d'emprunts, des charges de gestion locative, etc ?
Dans le cas du saisonnier:
Mon bien est en résidence secondaire, j'opte pour le BIC au réel simplifié pour générer du déficit (le micro bic "ne génèrant qu'une" absence de recette supplémentaire). Ce déficit se construit-il sur les mêmes bases (intérêts d'emprunt, par ex.)? Est-il imputable sur mon revenu global ?
Le cas du saisonnier ne vaut que pour l'intérêt personnel de pouvoir disposer du bien le cas échéant...
Bref, je tâtonne ! Merci de votre aide pour y voir plus clair...
Je profite de mon premier message sur ce forum pour saluer la qualité des interventions et remercier les participants pour l'ensemble des informations/expériences/explications mises à disposition sur ce site.
Étant totalement débutant et ingénu face aux questions immobilières, j'ai effectué quelques recherches depuis plusieurs jours afin de me lancer dans la création de mon patrimoine.
Un grand nombre de questions demeure, bien évidemment...
Ma situation actuelle:
Vie maritale, 1 enfant (déclaré sur IR de ma compagne), donc 1 part
Revenu annuel net 2009 : 34 K€ (impôt estimé 2010 à env. 3K€)
Co-locataire de ma RP en IDF, je ne souhaite pas investir pour l'achat de ma RP (actuellement 1300 €/mois pour la location d'un pavillon d'env. 100 m²). Eventuellement, j'envisagerai de "diminuer la voilure" (baisse de loyer) pour augmenter ma capacité d'épargne.
Mon projet (théorique) : acquérir un bien immobilier me permettant de constituer un patrimoine et trouver une solution de financement via la fiscalité et/ou le revenu locatif.
IE : obtenir un bien pour un effort d'épargne d'environ 500 € par mois (IR inclus), dans l'optique de revente avec PV en fin de cycle ou d'en avoir la jouissance (appartement en bord de mer, par ex.)
Si j'ai bien retenu de mes lectures :
- la défiscalisation concerne principalement (uniquement?) l'immobilier neuf
- la défiscalisation est un atout supplémentaire et ne doit pas être une fin en soi
- la défiscalisation est "plus ou moins" intégrée dans le modèle économique des promoteurs et influe sur le prix au m² des biens.
- le revenu locatif subit une fiscalité au titre des impôts fonciers en cas de location nue; au titre des BIC en cas de location meublée
- les principales incitations pour favoriser l'investissement locatif concernent donc des constructions neuves, loués à des tiers au titre de RP pendant une durée donnée (Girardin, Robien...), ou au titre de résidence de service (hotelier, étudiant, ephad...), ou encore de tourisme (ZRR, ...)
Par rapport à mon objectif, et malgré les incitations fiscales, j'oublie tout de suite les résidences de service et certainement les RT (inadéquation offre demande pour espérer une PV en fin d'opération, et pas d'intérêt personnel outre le complément de revenu).
Je pars donc du principe que je vais acquérir un bien dans l'ancien, le louer nu à un tiers ou bien meublé en saisonnier. Comment faire pour que mes revenus "auto-financent" le bien?
Dans le cas du foncier :
Est-il par exemple possible de créer un déficit foncier me permettant de diminuer mon IR, sans amortissement, mais avec le prise en compte des intérêts d'emprunts, des charges de gestion locative, etc ?
Dans le cas du saisonnier:
Mon bien est en résidence secondaire, j'opte pour le BIC au réel simplifié pour générer du déficit (le micro bic "ne génèrant qu'une" absence de recette supplémentaire). Ce déficit se construit-il sur les mêmes bases (intérêts d'emprunt, par ex.)? Est-il imputable sur mon revenu global ?
Le cas du saisonnier ne vaut que pour l'intérêt personnel de pouvoir disposer du bien le cas échéant...
Bref, je tâtonne ! Merci de votre aide pour y voir plus clair...








