tomlib
Membre
Bonjour
Je vous contact par mp.pour vous donner les coordonnées.
Bien cordialement
Tomlib
Je vous contact par mp.pour vous donner les coordonnées.
Bien cordialement
Tomlib
Suivez la vidéo ci-dessous pour voir comment installer notre site en tant qu'application web sur votre écran d'accueil.
Note.: Cette fonctionnalité peut ne pas être disponible dans certains navigateurs.
Hadi76 a dit:Bonjour à tous,
Cela fait un moment que je suis sur ce fil de discussion. Merci pour toutes ces informations en temps réel, très utiles !
Dans mon cas, j'ai 3 offres de prêts avec la mention des 360 jours.
La première, de 2012, avec la Caisse Epargne (racheté en 2015 par LCL)
La deuxième, de 2013 avec le LCL
La troisième, de 2015 par le LCL
Petite nuance pour la deuxième offre de prêt, j'ai eu un accord de principe, signé du service immobilier du LCL, avec écrit "acceptation de l'offre de prêt sous réserve de domiciliation des revenu de M et Mme X, d'ouverture de comptes et souscription d'une assurance multirisque habitation"
Est-ce légal ? Quels sont mes chances ?
Je cherche un avocat spécialiste pour me défendre (MP ?)
Merci à vous
Lo&Lo a dit:Pour ma part, mon contrat de prêt immobilier comporte cette clause lombarde, mon avocat à écrit au service contentieux de ma banque Caisse d'épargne en demandant quel était leur position avant un éventuel recours au tribunaux, leur réponse un moi après fut que la présence de cette clause ne me portait aucun préjudice... ma compagne ne se sentant pas de continuer l'action, nous avons décidé de ne pas faire d'action au tribunal laissant courir le délai de prescription des 5 ans le dépassant même c'était il y a environ un an.
Récemment j'ai pris contact avec mon conseiller puis le chef d'agence de ma banque qui m'on ttout deux indiqué qu ej'étais fiché en rouge chez eux à cause de ce courrier et que par conséquent je n'obtiendrai jamais rien chez eux, que je devais assumer les conséquences de mes actes...donc un conseil si vous décidez de négocier avec votre banque soyez prêt à aller jusqu'au bout car vous serez grillés même en tentant une négociation à l'amiable.
Tebar a dit:Bonjour tomlib,
J'ai déjà l'avis de certains de mes confrères sur cette question; avis non exprimé au regard de la jurisprudence car elle n'y a pas répondu (elle ne lui a pas été posée en ces termes) à ma connaissance.
J'use d'un forum, lieu d'échanges, pour avoir d'autres avis. Qui sont souvent bons à prendre.
Mais je me suis peut-être trompé d'endroit effectivement pour cette question assez prospective.
Ce n'est pas grave et cela ne m'empêchera pas de continuer de suivre les fils, surtout sur l'aspect financier pour le juriste que je suis. Et si je peux apporter une quelconque aide utile ou un conseil...
Je commencerai d'ailleurs par celui-ci, à la lecture des pages 99 et suivantes: plutôt saisir le Tcom de Marseille au lieu du TGI, surtout lorsque le dossier n'est pas "blindé" par l'analyse d'un expert compétent et traité par un confrère qui l'est tout autant. La 10e chambre (qui rafle tous les dossiers "TEG" en ce moment) est terrible. Mais, c'est un peu rassurant, la CA d'Aix n'hésite pas à réformer ces jugements (v. par ex. CA Aix-en-Provence, 4 mai 2017, RG N°16/00044).
Bonne continuation à tous
Afficher la pièce jointe CA AIX-EN-PCE 4 MAI 2017.pdfJoseph44 a dit:Bonjour et merci pour cette référence. Auriez vous svp le pdf?
Merci bcp
Merci pour l'information relative à la possibilité d'une saisine du Tribunal de Commerce.Tebar a dit:Au niveau "local", c'est surtout le traitement par la CA des jugements du TGI de la citée phocéenne qui était attendu!
vivien a dit:Bonjour,
Devant le TGI l'avocat du client n'a-t-il pas la possibilité en application des articles L212-1 et suivants [lien réservé abonné] du Code de l'Organisation Judiciaire, de demander la collégialité.
Même si ce n'est pas la panacée, cela permettrait de pondérer certaines décisions. , non ?????
Cdlt.
Tebar a dit:Afficher la pièce jointe 2177
Bonjour Joseph44,
Ci-joint la décision.
L'intérêt (à première lecture rapide) de cette décision: développements sur la prescription. Mais rien de bien nouveau non plus.
Au niveau "local", c'est surtout le traitement par la CA des jugements du TGI de la citée phocéenne qui était attendu!
Enjoy!
Tebar a dit:Bonjour vivien,
Je vous dirais oui en théorie, à condition de respecter les délais une fois le conseil avisé de l'attribution au juge unique (procédure assez méconnue par les praticiens il faut le dire).
En pratique, c'est qu'on appellera un démarrage brutal de l'instance! Mme le Président appréciera à n'en pas douter...
Je penche encore pour la saisine du Tcom, même si nous manquons encore de visibilité sur sa position générale sur ce type de contentieux (car c'est malheureusement de cela qu'il s'agit).
Cordialement
« M X, reprenant l’une des analyses de la société Humania consultants (sa pièce 17), fait valoir en pages 13 et 14 de ses écritures :
—qu’il y a eu une période de mise à disposition des fonds du 20 avril 2007 au 10 mai 2007 soit 20 jours au cours de laquelle M X a réglé des intérêts pour une somme totale de 3,48€,
— que le tableau d’amortissement correspondant stipule un taux d’intérêt annuel de 4,18%,
—que cependant le calcul permettant de vérifier le nombre de jours de l’année pris en compte, sur la base d’un taux d’ intérêt de 4,18%, d’un montant d’intérêts payés de 3,48€ pour 20 jours, aboutit à une année de 360 jours et non de 365 jours ce qui est interdit,
— que sur la base d’une année civile de 365 jours, le taux d’intérêt réel est de 4,23% et non 4,18%.
Cette analyse concerne donc uniquement les intérêts conventionnels payés au titre de la période d’anticipation.
En tout état de cause, la pièce 23 intitulée 'tableau d’amortissement du premier déblocage de fonds’ comporte en réalité deux avis de réalisation de prêt distincts avec en annexe, deux tableaux d’amortissement également distincts, le premier mentionnant effectivement, un montant d’intérêts pour l’échéance du 10 mai 2007 de 3,48€ (sur la base d’un montant réalisé de 1500€) et le second mentionnant pour la même échéance un montant d’intérêts de 8,25€ pour un montant réalisé de 3554,50€.
Les parties ne donnent pas d’explications sur ce double avis de réalisation de prêts. Il ressort des relevés de compte de M X produits en pièce 24 que c’est bien la somme de 8,25€ qui a été payée et non celle de 3,48€.
Le calcul effectué par la société Humania sur la base de 3,48€ n’est donc pas démonstratif de l’erreur alléguée. »
Dimitri.B a dit:Ce qui me gène à propos du Tribunal de commerce, c'est qu'il ne s'agit pas de juristes professionnels mais de commerçants (au sens large), avec une vision parfois pas très juste du droit...
Et pensez vous que le client et les professionnels sérieux et compétents qui doivent lui annoncer, qu'ils ont été déboutés et qu'en plus il doit 5.000,00 Euros d'Article 700, "apprécient" cette décision qui les contraint soit à relever appel soit pour le client dans certains dossiers à faire un emprunt pour payer ce montant !Tebar a dit:En pratique, c'est qu'on appellera un démarrage brutal de l'instance! Mme le Président appréciera à n'en pas douter...
Les tribunaux de commerce sont habitués à traiter le contentieux bancaire avec entre autres sujets la contestation des TEG pour les entreprises en procédure de sauvegarde - redressement et liquidation et les cautions des dirigeants. Alors il ne devrait pas y avoir de difficultés techniques majeures. Pour les questions de droit, les avocats des deux parties peuvent situer le débat.Je penche encore pour la saisine du Tcom, même si nous manquons encore de visibilité sur sa position générale sur ce type de contentieux (car c'est malheureusement de cela qu'il s'agit).
Mais alors que va-t-il se passer pour les banques mutualistes à filiales régionales multiples - la banque nationale avec son siège à Lyon - les banques privées encore indépendantes que l'on trouve dans toutes les régions de France -sans évoquer ici les déchéances du terme prononcées par les banques ?de plus en plus d'affaires devraient se dérouler devant les juridictions d'IDF, si les confrères veulent bien prendre en compte le risque sérieux d'incompétence territoriale
Tebar a dit:Bonjour Dimitri
De toutes façons, et c'est important: de plus en plus d'affaires devraient se dérouler devant les juridictions d'IDF, si les confrères veulent bien prendre en compte le risque sérieux d'incompétence territoriale à saisir quasi-systématiquement le tribunal du lieu de l'agence locale où le client emprunteur a fait ses démarches. Mais c'est un autre débat (comme celui de la valeur probante du rapport d'expertise non contradictoire).
Cordialement
Dimitri.B a dit:"Risque sérieux d’incompétence territoriale" ?
Là, je ne vois pas. En effet, en vertu de la théorie dite des gares principales, il est possible de choisir le Tribunal du siège de la banque ou celui de l'agence. Plus, il serait aussi possible de choisir le Tribunal du lieu de déblocage des fonds. En pratique, les Avocats de banque n'aiment guère soulever des incompétences car le risque pour eux est de voir le dossier leur échapper au profit d'un autre Avocat territorialement compétente pour la même banque, cette répartition étant encore assez largement d'usage chez les banques.
Sans compter les banques régionales comme les Caisses d'Epargne ou les Banques Populaires.
Enfin, le TGI de Paris serait encore moins favorable aux emprunteurs s'il constatait un afflux massif de nouveaux dossiers, et ce plus particulièrement en raison du nombre de dossiers qui n'auraient jamais du aller en procédure pour diverses raison juridiques mais que certaines officines sans scrupules ont "poussé" au détriment de leurs clients, histoire de facturer des honoraires.
Plus que jamais, il importe d'avoir des dossiers sérieux et d'aller plaider au lieu de déposer.
Cdt, Dimitri