Bonjour à tous,
J'ai lu avec attention une partie des 36 pages de ce sujet en espérant survoler l'essentiel, et si je résume ce que j'en comprends, c'est que la décision en première/seconde instance est aléatoire en raison d'une jurisprudence "partagée", bien que l'application stricte des textes exige un cassement de l'arrêt pour mention illégale, et, (de fait ?) un renvoi en seconde instance afin d'appliquer le taux légal ?
J'essaie pour ma part de renégocier mon prêt depuis plus d'un an (délais, trois conseillers qui s'enchaînent, closes différentes entre ce qu'on me promet oralement et ce que contient l'offre réelle, et une maladie pour ma part qui m'a empêché de répondre rapidement à la première proposition, bref, des lenteurs à ne plus savoir qu'en faire), et en relisant mon contrat, je suis tombé sur la mention spécifiant le calcul :
"Les intérêt courus entre deux échéances seront calculés sur la base de 360 jours, chaque mois étant compté pour 30 jours rapportés à 360 jours l'an [...] le taux effectif global des prêts est indiqué sur la base du montant exact des intérêts rapportés à 365 jours l'an."
Du coup, fatigué d'essayer de renégocier en vain et de me faire balader depuis tout ce temps, je me demande s'il pourrait être opportun de solliciter mon assistance juridique pour réclamer l'alignement au taux légal du fait de cette mention.
Ai-je besoin de vérifier le calcul du TEG ? puis-je le faire moi-même et comment ?
Au vu des textes ainsi que de la jurisprudence actuelle, que me conseillez-vous ?
Cordialement,
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