Trublion a dit:
Je pense que l’absence de fluctuations des prix au quotidien comme dans la bourse et la pseudo-liquidité garantie par les assureurs ont abusé certains investisseurs qui n’avaient pas forcément compris les risques, ou plutôt, dont le profil de risque n’est pas adapté à ce genre d’actifs financiers.
Je pense qu'ici il y a deux écoles tout à fait respectables.
L'école buy-and-hold avec des investisseur long-terme (soit en bourse qu'ailleurs) et d'un autre l'école des investisseurs (arbitragistes?) qui n'hésitent pas à se couper un bras soit en bourse soit avec n'importe quel autre investissement s'ils pensent pouvoir faire mieux ailleurs.
Personnellement je ne vois pas en quoi mettre une ordre à plage de déclenchement à -2 % d'un cours en bourse doit être différent à vendre un support pour lequel on a payé 2% de frais d'investissement. Dans les deux cas on pense faire mieux en vendant.
Avant les SCI amortissaient leurs frais en 6 mois tout en arrivant à battre les fonds euros sur la même année. Aujourd'hui avec même des fonds monétaires qui donnent des rendements supérieurs à la moyenne des SCI et même à zéro frais d'entrée, c'est absurde de ne pas en profiter.
Si une SCPI à des rendements de 5%, il n'y a pas de problème avec une baisse de prix des parts. Une baisse est vite amortie et même renforcer dans ce cas serait à considérer. Par contre, si le rendement n'est pas au rendez-vous (je pense à toi Primopierre), un arbitrage peut-être la meilleur option.
Il y a des cycles et on peut essayer d'en profiter (fonds euros, SCI, fonds obligataires datées...)
Maintenant la question philosophique du jour:
Dans un bouchon, vous changez de file ou pas quand il y a une qui semble avancer plus vite?
