mazar06 a dit:
Pour notre part toujours pas reçu d'avenant ni de réponse à notre recommandée avec AR.Nous avons abandonné le téléphone la musique est jolie....La facture aussi.....Que peut-on faire quand un commercant n'assure pas le service aprés vente et envoie du courrier standard en petite vitesse (12 jours )
Un procès en effet! et avant, puisque l'absence de réponse entraine cette solution en dernier recours, il faut tenter une médiation.
Pour le CF, le médiateur est celui de la caisse d'épargne.
fran15 a dit:
Un article qui montre bien a qui on a affaire :
[lien réservé abonné]
Des pressions politiques pour freiner les ardeurs, c'est choquant mais pas étonnant. On sait que les banques ont le bras long. Mais les inspecteurs de la DGCCRF ne sont pas aux ordres, et c'est pas les politiques qui leur apprendront leur boulot.
Pour le CF et le CSF je pense que c'est déjà trop tard, l'enquête n'a pas commencé hier et elle est bien avancée.
Pierrealb a dit:
Il y aura forcément des répercutions, le dossiers est trop gros pour que ça passe, maintenant attention ne rèvez pas non plus, la plus part des dossiers de ce genre aboutis à une régularisation des erreurs et un amend honorable de la banque.
Ca va rarement plus loin, l'état vivant grace à eux, elle ne portera pas l'affaire jusqu'à la condamnation du CF and Co.
Pierrealb a dit:
La régulation à minima comme les avenants qu'ils bombardent à tous les clients.
Le reproche principal c'est la tromperie sur le CAPE qui n'en était pas un complet.
L'avenant remet un CAPE (pas le même) et bien plus haut, si le client accepte l'avenant, le CF est tranquille les recommendations prévues par la commission sont tenues.
A force les clients récalcitrants seront de moins en moins nombreux et en bout de course un "cadeau" sera peut être fait pour les derniers.
Bilan des courses le CF s'en sort avec un minimum de pertes.
Oui, c'est sur ça que le CF parie, un pourrissement de la situation.
Sauf qu'avec leurs mesures qui n'intéressent personne, ils sont mal partis pour éteindre le feu. La seule manière d'y arriver aurait été d'accepter de transformer les prêts en vrai capé 1,5% comme le collectif l'avait demandé.
Malgré nos courriers communs pour le demander (signés par 450 clients pour le moment!) ils ont rompu en janvier les négociations ouvertes avec le collectif.
C'est trop tard maintenant pour une sortie de crise en douceur et la justice est la seule issue (avec la mauvaise pub qui continue).
Comme je l'ai écrit plus haut, l'action en justice est inévitable et déjà lancée, les politiques ne peuvent plus intervenir théoriquement. En plus les pouvoirs publics ont déjà réagi publiquement via le député Lefebvre, et il serait malvenu de contredire les conclusions de la commission des finances de l'Assemblée Nationale (qui sont compatibles avec la tromperie).
S'il le fallait vraiment, et que la France ne protégeait pas ses citoyens, nous nous tournerions vers l'europe.