Nouvo314
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Bonjour,
J’aimerais bien avoir l’avis des personnes ayant expérimenté cette disposition fiscale (§160 du BOI-ENR-DMTG-10-10-10-10 )
«Le legs secondaire, c'est-à-dire le legs par lequel le testateur charge le légataire principal de remettre à un tiers, soit une partie du bien légué, soit une somme, est soumis au droit de mutation par décès d'après le degré de parenté du légataire secondaire. Il est déduit de la part revenant au légataire principal.”,
Ce texte ne prévoit aucune limitation à cette « partie du bien légué » .
Dès lors il serait donc possible d’optimiser la rétrocession au légataire secondaire , par exemple : soit un légataire secondaire qui aurait dû payer des droits de succession de 60% sur un legs direct de disons 100 000 €, il lui restera en net 40 000 €.
Si le legs de 100 000 € est fait à une institution dûment agréée avec charge de remettre disons 50 000 € ( et non 40 000 €) au légataire secondaire, alors l’institution acquitte les droits de 60% sur la part de 50 000 € devant être remise soit 30 000 €( =60% x 50 000) en prélevant ce montant de 30 000 € sur les 50% ( 50 000 €) lui revenant .
Il reste donc un legs net pour l’institution égal à 20 000 €… Cela est-il possible ?
Mais peut-on faire mieux sans risquer une requalification par l’administration fiscale ?
Quelle garantie le légataire peut-il avoir que sa volonté sera respectée par l’institution si le légataire secondaire n’est pas informé du dispositif par le testateur ?
Merci pour vos commentaires.
J’aimerais bien avoir l’avis des personnes ayant expérimenté cette disposition fiscale (§160 du BOI-ENR-DMTG-10-10-10-10 )
«Le legs secondaire, c'est-à-dire le legs par lequel le testateur charge le légataire principal de remettre à un tiers, soit une partie du bien légué, soit une somme, est soumis au droit de mutation par décès d'après le degré de parenté du légataire secondaire. Il est déduit de la part revenant au légataire principal.”,
Ce texte ne prévoit aucune limitation à cette « partie du bien légué » .
Dès lors il serait donc possible d’optimiser la rétrocession au légataire secondaire , par exemple : soit un légataire secondaire qui aurait dû payer des droits de succession de 60% sur un legs direct de disons 100 000 €, il lui restera en net 40 000 €.
Si le legs de 100 000 € est fait à une institution dûment agréée avec charge de remettre disons 50 000 € ( et non 40 000 €) au légataire secondaire, alors l’institution acquitte les droits de 60% sur la part de 50 000 € devant être remise soit 30 000 €( =60% x 50 000) en prélevant ce montant de 30 000 € sur les 50% ( 50 000 €) lui revenant .
Il reste donc un legs net pour l’institution égal à 20 000 €… Cela est-il possible ?
Mais peut-on faire mieux sans risquer une requalification par l’administration fiscale ?
Quelle garantie le légataire peut-il avoir que sa volonté sera respectée par l’institution si le légataire secondaire n’est pas informé du dispositif par le testateur ?
Merci pour vos commentaires.
on ne réfléchit pas Fiscal en premier.








