zizou
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Le pétrole n’est pas prêt d'être remplacé
Alors que les grands instituts comme le Giec et l’Agence internationale de l’énergie (AIE) assurent que pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris, il faut cesser tous nouveaux développements et réduire drastiquement la demande à 77 millions de barils par jour d’ici à 2030, puis à 24 millions en 2050, le monde n’a jamais produit et consommé autant de pétrole (102 millions de barils par jour en 2023).
Si l’OPEP à limité sa production cette diminution a été compensée par quatre pays situés sur le continent américain : les Etats-Unis, premier producteur mondial grâce au boom du pétrole de schiste, le Canada, le Brésil et le Guyana
La production de pétrole a atteint des niveaux record depuis la présidence de Donald Trump. Les Etats-Unis sont même récemment devenus exportateur net de pétrole, de gaz naturel et de charbon.
Les 600 gigawatts de renouvelables construits l’an dernier (soit l’équivalent en puissance de 400 EPR) n’ont permis de couvrir que 40 % de l’accroissement de la demande mondiale d’énergie,
6 900 milliards de dollars de prêts, d’émissions d’actions ou d’obligations sont allés soutenir les compagnies d’hydrocarbures.
Dans le pétrole, la rentabilité des capitaux investis peut atteindre 30 % pour environ 5 % dans les renouvelables
Contrairement aux européens Shell, BP et Total Energies, les compagnies américaines ne se sont pas diversifiés dans l’éolien et le photovoltaïque.
Aujourd’hui, la plupart des compagnies accélèrent dans les hydrocarbures et freinent dans les renouvelables. Shell ne consacre plus que 23 % des investissements aux solutions bas carbone contre 33 % précédemment.
Alors que les grands instituts comme le Giec et l’Agence internationale de l’énergie (AIE) assurent que pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris, il faut cesser tous nouveaux développements et réduire drastiquement la demande à 77 millions de barils par jour d’ici à 2030, puis à 24 millions en 2050, le monde n’a jamais produit et consommé autant de pétrole (102 millions de barils par jour en 2023).
Si l’OPEP à limité sa production cette diminution a été compensée par quatre pays situés sur le continent américain : les Etats-Unis, premier producteur mondial grâce au boom du pétrole de schiste, le Canada, le Brésil et le Guyana
La production de pétrole a atteint des niveaux record depuis la présidence de Donald Trump. Les Etats-Unis sont même récemment devenus exportateur net de pétrole, de gaz naturel et de charbon.
Les 600 gigawatts de renouvelables construits l’an dernier (soit l’équivalent en puissance de 400 EPR) n’ont permis de couvrir que 40 % de l’accroissement de la demande mondiale d’énergie,
6 900 milliards de dollars de prêts, d’émissions d’actions ou d’obligations sont allés soutenir les compagnies d’hydrocarbures.
Dans le pétrole, la rentabilité des capitaux investis peut atteindre 30 % pour environ 5 % dans les renouvelables
Contrairement aux européens Shell, BP et Total Energies, les compagnies américaines ne se sont pas diversifiés dans l’éolien et le photovoltaïque.
Aujourd’hui, la plupart des compagnies accélèrent dans les hydrocarbures et freinent dans les renouvelables. Shell ne consacre plus que 23 % des investissements aux solutions bas carbone contre 33 % précédemment.