La ruée vers les SCI mais ....stop ou encore ?

Reporting Sofidy Convictions
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Reporting Cap Santé
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Je vois qu'il y a du primopierre et du pri movie dans conviction immobilière par contre je vois qu'ils se sont débarrassés de PFO2. Moi je vais quand même garder conviction immobilière j'en ai pas beaucoup.
 
fdod a dit:
Je vois qu'il y a du primopierre et du pri movie dans conviction immobilière par contre je vois qu'ils se sont débarrassés de PFO2. Moi je vais quand même garder conviction immobilière j'en ai pas beaucoup.
Bonsoir @fdod, le tout, c'est de "garder une conviction", si j'ose dire :D
Plus sérieusement, ce n'est pas dans le rouge comme certaines SCI, mais pour 2023, Sodify Convictions ne casse quand même pas des briques !
Est ce qu'on pense que le 2e semestre 2023 et 2024 seront meilleurs , en regard de secteurs Bureaux et Commerces ? la réponse t'appartient ....
Pour MeilleurImmo ,qui nous promettait le deal stratégique avec Sodify, c'est même moins bien .....
 
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lebadeil a dit:
Bonsoir @fdod, le tout, c'est de "garder une conviction", si j'ose dire :D
Plus sérieusement, ce n'est pas dans le rouge comme certaines SCI, mais pour 2023, Sodify Convictions ne casse quand même pas des briques ! Est ce qu'on pense que le 2e semestre 2023 et 2024 seront meilleurs , en regard de secteurs Bureaux et Commerces ?
C'est vrai mais comme j'ai payé des frais d'entrée largement amorti. Cette sci ne fera jamais de gros scores mais tournera entre 3 et 4 % en vitesse de croisière.
 
Arbitrer sur du remake live qui n'existait pas à l'époque peut se discuter. Sans frais.
 
Bossuet a dit:
Reporting Cap Santé
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Merci @Bossuet. Ce que je retiens du Reporting Cap Santé du 2T-2023

Sur le 1e semestre, la collecte s’établit donc à 636 M€, avec 11 associés assureurs vie, un résultat exceptionnel qui démontre l’attrait grandissant de l’immobilier de santé.

la SCI serait ainsi en mesure de disposer en fin d’année d’un portefeuille au profil de rendement stabilisé et élevé, supérieur à 6%, et de perspectives de création de valeur.

Comme annoncé précédemment, Cap Santé a participé fin juin à l’acquisition des parts détenues par Icade dans sa filiale Icade Santé. Cette opération relative présente un socle de rendement élevé sécurisé par des baux longs sur un patrimoine de 159 établissements de santé.

Le déploiement des capitaux dans l’opération Icade Santé notamment permettra d’atteindre une performance au-dessus de l’objectif cible de 5% en 2023.

Dans le contexte de hausse de taux auquel le monde de l’épargne est actuellement confronté, l’immobilier de santé se montre particulièrement résilient, avec des valeurs assez stables et un socle de rendement locatif supérieur à la plupart des autres classes d’actifs.

Commentaire personnel : Ce Reporting de Primonial sur Cap Santé, et les perspectives affichées de cette SCI denotent franchement en regard des SCI / SCPI qui souffrent de la conjoncture immobilière ......
La strategie de collecte via des partenariats assureurs a tres bien marché !
 
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calimero77 a dit:
Reporting SC GF Pierre au 30.06.23

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On n'apprend rien sur la grosse baisse récente, ce qui n'est pas très rassurant... :unsure:
Au contraire, ce reporting donne la variation des valeurs d'expertises des immeubles par rapport au 31/12/2022. Pas besoin de savoir quand ont eu lieu les révisions pour expliquer la baisse des derniers mois
 
fdod a dit:
Je vois qu'il y a du primopierre et du pri movie dans conviction immobilière par contre je vois qu'ils se sont débarrassés de PFO2. Moi je vais quand même garder conviction immobilière j'en ai pas beaucoup.
On ne sait pas s'ils sont débarrassés de PFO2 puisqu'on ne voit que les 10 permières lignes. On peut juste dire qu'ils se sont allégés. Idem pour PF Grand Paris au passage.
 
manu22 a dit:
Hi guys !
Communiqué de Primonial Reim de ce jour sur le premier semestre :
Afficher la pièce jointe 19629
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Je lis:

Début juillet, en cohérence avec nos associations professionnelles et l’AMF nous avons décidé de diligenter une campagne d’expertise, à la mi-année, sur notre patrimoine immobilier. Les résultats définitifs seront connus au mois de septembre.

Je comprends: Je dois arbitrer en août.

Édit: Oups! Je ne suis pas sur le fil SCPI. Désolé.
 
A prendre avec humour , et sans critiquer personne.....

La pierre papier, c'est comme les champignons. On ne sait si elles appartiennent à la bonne ou à la mauvaise espèce que lorsqu'il est trop tard....

1690838343999.png
 
les échos [lien réservé abonné]

Extrait de quelqu'un qui a eu accès à l'article (si quelqu'un à accès à l'article entier cela pourrait être intéressant):
Face à la multiplication des retraits des fonds immobiliers, notamment dans les OPCI, les sociétés de gestion se voient peu à peu contraintes de céder des actifs dans un marché très difficile.

Dans la petite couronne notamment, les immeubles se vendent à la casse. Selon nos informations, Primonial essaierait de vendre à Nanterre un immeuble de bureaux à environ 30 millions d’euros pour une valeur d’actifs proche de 220 millions d’euros, tandis qu’à Asnières-sur-Seine, KKR a cédé le River Plaza, acquis en 2013 pour 150 millions d’euros, à seulement 38 millions d’euros.


Reporting PYTHAGORE:
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Ref Les Echos du 31 juillet - Avis de Tempête sur les fonds immobilier

Les collectes des véhicules immobiliers grand public ont été divisées par deux au premier semestre par rapport à l'an dernier. Les sociétés de gestion déprécient tour à tour ces actifs, confrontées à un marché difficile pour vendre leurs biens.

La remontée en flèche des taux d'intérêt commence à se faire ressentir durement sur les fonds immobiliers. Alors que le prix des biens se déprécie à mesure des relèvements de taux des banques centrales, les investisseurs se détournent peu à peu de la pierre papier.

Souvent présentes dans les contrats d'assurance-vie, les trois grandes catégories de fonds immobiliers accessibles au grand public (SCPI, OPCI et sociétés civiles à vocation immobilière) ont affiché une collecte de 4,1 milliards d'euros au premier semestre, en baisse de moitié par rapport à la même période l'an dernier.

Avertissement de l'AMF​

« La hausse des rachats a entraîné un recul des souscriptions nettes », indiquent l'Association française des sociétés de placement immobilier (Aspim) et l'Institut de l'épargne immobilière et foncière (IEIF), qui publient ces données. Dans son rapport sur la cartographie des risques [lien réservé abonné] publié début juillet, l'Autorité des marchés financiers (AMF) a appelé à une vigilance renforcée sur les fonds exposés à l'immobilier commercial. Les bureaux sont particulièrement à risque, alors qu'hôtellerie, santé et commerce se tiennent mieux.

Tour à tour, les sociétés de gestion commencent à revoir la valeur d'expertise (c'est-à-dire le prix auquel des biens immobiliers détenus pourraient être vendus) de leurs fonds : après AEW (filiale de Natixis IM) en mars dernier, Amundi a baissé fin juillet de 12 % à 17 % le prix des parts de trois de ses principales SCPI. BNP Paribas REIM a suivi en annonçant une baisse du prix des parts d'Accimmo pierre de 11,7 % au premier semestre.

Contacté par « Les Echos », Primonial REIM, qui détient 42 milliards d'euros d'encours sous gestion dont 35 % de bureaux, n'a pas souhaité communiquer sur la revalorisation, les retraits ou les ventes d'actifs du groupe.

Paysage contrasté​

De son côté, Sofidy, la branche immobilière de Tikehau, a revu à la baisse de 2 % ses valeurs d'expertise et fait état au premier semestre de collectes nettes supérieures à l'an dernier. « Le paysage est très contrasté, entre les grands bureaux monolocataires de la périphérie des grandes villes, très affectés par la montée en puissance du télétravail [lien réservé abonné] , et les petits actifs bien placés en centre-ville, qui permettent d'attirer les talents et constituent l'essentiel de nos portefeuilles », explique Jean-Marc Peter, directeur général de Sofidy.

Les grands actifs sont d'autant plus difficiles à vendre que le coût de l'endettement paraît aujourd'hui rédhibitoire. Corum a aussi publié une hausse des collectes nettes sur la première moitié de l'année et revalorisé les SCPI au printemps, « en parfaite connaissance de cause et sans douter de la solidité du patrimoine des trois SCPI Corum face à la crise à venir ». Pour les acteurs à la trésorerie abondante, la période est propice aux achats immobiliers à bon compte.

Appel au calme​

Les sociétés de gestion exposées aux clients institutionnels semblent particulièrement vulnérables, car ces derniers souhaitent réduire la pondération des actifs non cotés dans leurs portefeuilles. Après une mauvaise année 2022 sur les marchés, le non coté pèse désormais trop lourd. Les retraits des institutionnels menacent ainsi de déséquilibrer les fonds.

Avec la moitié de ses encours auprès de clients institutionnels et 64 % de bureaux, La Française a tenu à rassurer sur le « bon positionnement » des prix des parts et des taux d'occupation très satisfaisants, rappelant que la SCPI est un « produit de rendement et d'épargne à long terme ». Un appel au calme que multiplient les sociétés de gestion et qui vise à limiter l'hémorragie chez les particuliers.

Avec comme argument phare un maintien des dividendes à un niveau élevé, grâce à l'indexation des loyers sur l'inflation. « Nous encourageons et conseillons à nos clients de conserver leurs parts », a déclaré Valérie Baudson, directrice générale d'Amundi, lors de la présentation des résultats semestriels.

L'Aspim et l'IEIF ont beau assurer que « les différents mécanismes de gestion de la liquidité permettent une gestion normale de ces demandes », les OPCI, qui doivent assurer une liquidité régulière aux porteurs, ont enregistré une décollecte nette au premier semestre et sont désormais contraints de vendre leurs actifs, parfois à prix cassés, pour pouvoir honorer les demandes de retraits. Le risque est de voir ce phénomène s'étendre aux SCPI, dont la capitalisation est cinq fois plus élevée.

Prix à la casse​

Face à la multiplication des retraits des fonds immobiliers, notamment dans les OPCI, les sociétés de gestion se voient peu à peu contraintes de céder des actifs dans un marché très difficile. Dans la petite couronne notamment, les immeubles se vendent à la casse. Selon nos informations, Primonial essaierait de vendre à Nanterre un immeuble de bureaux à environ 30 millions d'euros pour une valeur d'actifs proche de 220 millions d'euros, tandis qu'à Asnières-sur-Seine, KKR a cédé le River Plaza, acquis en 2013 pour 150 millions d'euros, à seulement 38 millions d'euros.
 
lebadeil a dit:
Ref Les Echos du 31 juillet - Avis de Tempête sur les fonds immobilier

Les collectes des véhicules immobiliers grand public ont été divisées par deux au premier semestre par rapport à l'an dernier. Les sociétés de gestion déprécient tour à tour ces actifs, confrontées à un marché difficile pour vendre leurs biens.

La remontée en flèche des taux d'intérêt commence à se faire ressentir durement sur les fonds immobiliers. Alors que le prix des biens se déprécie à mesure des relèvements de taux des banques centrales, les investisseurs se détournent peu à peu de la pierre papier.

Souvent présentes dans les contrats d'assurance-vie, les trois grandes catégories de fonds immobiliers accessibles au grand public (SCPI, OPCI et sociétés civiles à vocation immobilière) ont affiché une collecte de 4,1 milliards d'euros au premier semestre, en baisse de moitié par rapport à la même période l'an dernier.

Avertissement de l'AMF​

« La hausse des rachats a entraîné un recul des souscriptions nettes », indiquent l'Association française des sociétés de placement immobilier (Aspim) et l'Institut de l'épargne immobilière et foncière (IEIF), qui publient ces données. Dans son rapport sur la cartographie des risques [lien réservé abonné] publié début juillet, l'Autorité des marchés financiers (AMF) a appelé à une vigilance renforcée sur les fonds exposés à l'immobilier commercial. Les bureaux sont particulièrement à risque, alors qu'hôtellerie, santé et commerce se tiennent mieux.

Tour à tour, les sociétés de gestion commencent à revoir la valeur d'expertise (c'est-à-dire le prix auquel des biens immobiliers détenus pourraient être vendus) de leurs fonds : après AEW (filiale de Natixis IM) en mars dernier, Amundi a baissé fin juillet de 12 % à 17 % le prix des parts de trois de ses principales SCPI. BNP Paribas REIM a suivi en annonçant une baisse du prix des parts d'Accimmo pierre de 11,7 % au premier semestre.

Contacté par « Les Echos », Primonial REIM, qui détient 42 milliards d'euros d'encours sous gestion dont 35 % de bureaux, n'a pas souhaité communiquer sur la revalorisation, les retraits ou les ventes d'actifs du groupe.

Paysage contrasté​

De son côté, Sofidy, la branche immobilière de Tikehau, a revu à la baisse de 2 % ses valeurs d'expertise et fait état au premier semestre de collectes nettes supérieures à l'an dernier. « Le paysage est très contrasté, entre les grands bureaux monolocataires de la périphérie des grandes villes, très affectés par la montée en puissance du télétravail [lien réservé abonné] , et les petits actifs bien placés en centre-ville, qui permettent d'attirer les talents et constituent l'essentiel de nos portefeuilles », explique Jean-Marc Peter, directeur général de Sofidy.

Les grands actifs sont d'autant plus difficiles à vendre que le coût de l'endettement paraît aujourd'hui rédhibitoire. Corum a aussi publié une hausse des collectes nettes sur la première moitié de l'année et revalorisé les SCPI au printemps, « en parfaite connaissance de cause et sans douter de la solidité du patrimoine des trois SCPI Corum face à la crise à venir ». Pour les acteurs à la trésorerie abondante, la période est propice aux achats immobiliers à bon compte.

Appel au calme​

Les sociétés de gestion exposées aux clients institutionnels semblent particulièrement vulnérables, car ces derniers souhaitent réduire la pondération des actifs non cotés dans leurs portefeuilles. Après une mauvaise année 2022 sur les marchés, le non coté pèse désormais trop lourd. Les retraits des institutionnels menacent ainsi de déséquilibrer les fonds.

Avec la moitié de ses encours auprès de clients institutionnels et 64 % de bureaux, La Française a tenu à rassurer sur le « bon positionnement » des prix des parts et des taux d'occupation très satisfaisants, rappelant que la SCPI est un « produit de rendement et d'épargne à long terme ». Un appel au calme que multiplient les sociétés de gestion et qui vise à limiter l'hémorragie chez les particuliers.

Avec comme argument phare un maintien des dividendes à un niveau élevé, grâce à l'indexation des loyers sur l'inflation. « Nous encourageons et conseillons à nos clients de conserver leurs parts », a déclaré Valérie Baudson, directrice générale d'Amundi, lors de la présentation des résultats semestriels.

L'Aspim et l'IEIF ont beau assurer que « les différents mécanismes de gestion de la liquidité permettent une gestion normale de ces demandes », les OPCI, qui doivent assurer une liquidité régulière aux porteurs, ont enregistré une décollecte nette au premier semestre et sont désormais contraints de vendre leurs actifs, parfois à prix cassés, pour pouvoir honorer les demandes de retraits. Le risque est de voir ce phénomène s'étendre aux SCPI, dont la capitalisation est cinq fois plus élevée.

Prix à la casse​

Face à la multiplication des retraits des fonds immobiliers, notamment dans les OPCI, les sociétés de gestion se voient peu à peu contraintes de céder des actifs dans un marché très difficile. Dans la petite couronne notamment, les immeubles se vendent à la casse. Selon nos informations, Primonial essaierait de vendre à Nanterre un immeuble de bureaux à environ 30 millions d'euros pour une valeur d'actifs proche de 220 millions d'euros, tandis qu'à Asnières-sur-Seine, KKR a cédé le River Plaza, acquis en 2013 pour 150 millions d'euros, à seulement 38 millions d'euros.
Merci beaucoup (y)

Je crois qu'il y a une erreur dans l'article qui annonce "BNP Paribas REIM a suivi en annonçant une baisse du prix des parts d'Accimmo pierre de 11,7 % au premier semestre" alors que la baisse est de 17,07%
 
lebadeil a dit:
Prix à la casse
Face à la multiplication des retraits des fonds immobiliers, notamment dans les OPCI, les sociétés de gestion se voient peu à peu contraintes de céder des actifs dans un marché très difficile. Dans la petite couronne notamment, les immeubles se vendent à la casse. Selon nos informations, Primonial essaierait de vendre à Nanterre un immeuble de bureaux à environ 30 millions d'euros pour une valeur d'actifs proche de 220 millions d'euros, tandis qu'à Asnières-sur-Seine, KKR a cédé le River Plaza, acquis en 2013 pour 150 millions d'euros, à seulement 38 millions d'euros.

Quand on lit ce genre d'articles, et qu'on s'imagine madame Michu le lire, on se dit quand même que le risque de panique / cascade est réel. Contrairement à ce que je pensais, ce n'est pas juste la collecte qui baisse, mais déjà les demandes de retrait qui augmentent fortement...

Je reste aussi dubitatif sur la possibilité pour plus que quelques rares acteurs de bien s'en sortir. Ça me fait penser à l'immobilier résidentiel. On entend souvent l'argument qu'il faudrait que les prix baissent, que ça permettrait aux plus jeunes d'acheter, etc. Je suis même le premier à le dire. Mais il y a une grosse nuance. Tant que les prix baissent, personne n'ose acheter car aucune banque n'ose prêter, le contexte économique est souvent dégradé (qui a dit récession ?) et ceux qui ont des taux bas essaient de garder leurs vieux emprunts donc ne vendent pas. Il faut être sacrément audacieux pour y aller pour soi. Et donc les volumes de transaction sont beaucoup plus faibles quand le marché baisse.

J'ai bien peur qu'on se dirige vers la même chose sur les SCPI. En théorie, il y a des affaires à faire pour des SCPI orientées sur les bons sujets. Mais qui va mettre de l'argent tout court dans les SCPI tant que les unes sur l'effondrement des valeurs de parts continuent et que l'immobilier d'entreprise baisse ? Et qu'on trouve des rendements identiques, sans frais d'entrée, avec des placements sécurisés type compte à terme (e.g. Monabanq, 4,5% sur 5 ans en compte à terme, ou obligataire daté qui doit pouvoir taper 5% mais n'est pas sécurisé).

Pour ma part, je me vois bien revenir sur des SCPI, de manière plus importante, l'âge avançant, mais pas avant plusieurs années. La baisse des actifs ne fait probablement que commencer.
 
Il ne me semble pas avoir vu passer l'info concernant la dernière VL de Capimmo en date du 28/07 :
-0,79%, soit -2,65% YTD (source funds360)
 
Hugo_35 a dit:
Il ne me semble pas avoir vu passer l'info concernant la dernière VL de Capimmo en date du 28/07 :
-0,79%, soit -2,65% YTD (source funds360)
Décidément, je ne regrette pas d'avoir liquidé totalement ma ligne Capimmo en Mai dernier ! ;)
 
Et Tangram a fait - 1.46% en date du 21/07 ... normal c'est Amundi :confused:
 
Je me demande si les SCI ne vont pas devenir le boulet de SCPI (alors qu'à la base c'était un peu le contraire). Si je prends cap immo et à en croire funds360 il y aurait eu plus de 500M€ de décollecte en seulement 6 mois alors que les articles qui font peur commencent seulement à sortir ?!

Les frais faibles pourraient faciliter la décision de vendre, d'ailleurs SC Pythagore, sans frais, semble décollecter plus que les autres.
 
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.. Et dans ce contexte de décollecte généralisée,

je me demande vers quoi arbitrer le fonds en euros de mon contrat MeilleurTaux Placement-Liberté, lorsqu'il aura fini d'être crédité des loyers du 2ème trimestre (manquent encore Primovie et Activimmo).. Quelle SCI, quel fonds obligataire à échéance ? J'ai cherché, mais sans que ça me convienne vraiment.

Quant à le laisser dormir au taux carrément ridicule que Spirica rémunère, j'ai du mal à m'y résoudre.
Que feriez-vous à ma place ? Je suis tout ouïe
. Capture d’écran (156).png Merci pour vos retours (nombreux ! :D)
 
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Richard 1er a dit:
.. Et dans ce contexte de décollecte généralisée,

je me demande vers quoi arbitrer le fonds en euros de mon contrat MeilleurTaux Placement-Liberté, lorsqu'il aura fini d'être crédité des loyers du 2ème trimestre (manquent encore Primovie et Activimmo)..


Quant à le laisser dormir au taux carrément ridicule que Spirica rémunère, j'ai du mal à m'y résoudre.
Que feriez-vous à ma place ? Je suis tout ouïe. Afficher la pièce jointe 19648

Il y a des fonds datés du coté Spirica (Carmignac 2027 par exemple) ou monétaires comme Axa Court Terme AC (qui devrait commencer à donner environ 3 % net de frais).

Cela n'est pas un conseil, c'est seulement ce que j'ai fait (et normalement tout ce que je touche est maudit).
 
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