Hausse des taux et leurs influences

C6BIEN a dit:
et après on a du gérer les prêt immo à mensualités progressives, alors que le salaires n'augmentaient plus
J'avais un prêt fixe et un prêt à la CNE indexé sur le taux du livret A qui n'a fait que descendre.. C'est ce que je recherchais en prenant ce type de prêt.
Malgré tout, à la fin des années 70, on me disait d'acheter rapidement parce que l'inflation gommait la charge du prêt.. Pas d'bol pour moi, mon 1er achat s'est fait juste avant la désindexation..
 
C6BIEN a dit:
Pour avoir vécu le choc pétrolier et l'inflation suivie etc...

La hausse des salaires, elle suivait uniquemen..
Désolé, non, les salaires étaient automatiquement alignés sur l'inflation, j'ai publié sur le forum quelques part mes bulletins de l'époque, avant que dans un élan de droiture, la gauche supprime l'indexation automatique des salaires.
 
Concernant l'immobilier, valeur refuge, donc hausse à prévoir, pénurie des matières premières, hausse des coûts des travaux, hausse à prévoir, mais taux augmentants, moins d'acquéreurs, baisse en vue, loyers aidés ou contraint, travaux importants sur les anciens bâtis, pour respecter les normes et pouvoir louer, baisse en vue...
Qu'en sera t il?...'
 
L'OAT 10 ans de la France est à 2,25% et le taux de l'usure est à 2,40% donc l'équation va devenir très complexe pour les banques et les emprunteurs.

D'ailleurs, selon le magazine Capital, les conditions d’octroi de prêts deviennent si contraignantes, et les marges si faibles pour les banques que certaines préfèrent désormais limiter le nombre de clients emprunteurs.

Ainsi, la Société générale et le Crédit du Nord auraient temporairement suspendu la production de crédit auprès des courtiers, qui portent près de 40% des dossiers en France.
 
Bonsoir,
Blister a dit:
L'OAT 10 ans de la France est à 2,25% et le taux de l'usure est à 2,40% donc l'équation va devenir très complexe pour les banques et les emprunteurs.
Les banques n'empruntent pas non plus au taux de l'OAT. C'est l’État français qui emprunte à ce taux. Les banques empruntent au taux du marché interbancaire voir à la BCE en dernier recours.

De plus le taux d'usure va être recalculé pour le T3 2022 en tenant compte du taux effectif moyen pratiqué au cours du trimestre précédent (soit le T2 2022) par les établissements de crédit. Le taux d'usure est fixé à 133% de ce taux moyen effectif (Art L313-3 du code de la consommation).
 
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