Effacement civilisationnel de l'Europe ... dixit Trump !

Philbox a dit:
Et qui est responsable de la situation actuelle de la France?
les piles des calculatrices achetées sur shein, donc la faute des chinois.
 
WilliamMunny a dit:
Pour l’instant, ils n’ont rien fait, ils écoutent le récital des Mozard de la finance.
Bruno Lemaire, concerto de 52 Mds en do majeur.
Ce n’est plus un trou....

L’ardoise n’est pas du fait des génies du RN.
Se faire traiter d’escroc ou d'incapable par bernard Madoff, prouve en plus qu’ils ne doutent de rien.
“La France, comme elle est, c'est pas plus mal que si c'était pire !” (Coluche).
Avec le RN, économiquement parlant, c'est le pire assuré.

Outre cette nullité en économie du RN ce serait bien qu'il nous explique comment il va faire pour renvoyer tous les immigrés illégaux, Algériens notamment ..........où les autres d'ailleurs, quand leurs pays d'origines refusent de délivrer le laissez-passer consulaire indispensable ???
 
Philomene a dit:
S'il y a trop de candidats pour une même idée, peut-etre qu'aucun candidat n'atteindra le second tour, alors même que cette idée est majoritaire.
c'est peut etre qu'il y a trop de candidats alors
Philomene a dit:
Le problème c'est que les électeurs ne décident pas de qui est candidat,
et donc dans ton système ça serait pareil
Philomene a dit:
et il ne peuvent pas se concerter pour garantir que leur idée sera représentée à la fin.
c'est peut être aussi que les électeurs votent comme des pieds ou alors qu'ils sont indécis ou alors qu'ils approuvent 70% du programme d'un des candidats et 30% de l'autre ...

donc on devrait avoir des pourcentages de présidents ...untel à eu 20% des voix alors il gouvernera 20% du temps ..... :ROFLMAO:

mais du coup que deviennent ceux qui refusent de choisir ? ( vote blanc ) ? .....

il faut un truc plus simple style Clovis et le vase de Soisson , ça évite la contestation .:ROFLMAO:
 
Buffeto a dit:
alors qu'ils approuvent 70% du programme d'un des candidats et 30% de l'autre ...
Et lycée de Versailles...
Je crois que tu touches là un vrai problème..
 
Buffeto a dit:
c'est peut être aussi que les électeurs votent comme des pieds ou alors qu'ils sont indécis ou alors qu'ils approuvent 70% du programme d'un des candidats et 30% de l'autre ...
C'est, à mon avis, le vrai problème.

A la page 103 ci-dessus j'ai joint un lien où j'explique que la candidate MLP affirmait que :
+ L'écu avait été une monnaie :(
+ L'on pouvait revenir sans problème au franc français (FRF) avec une parité de un FRF = un euro:(:mad:
+ La nationalisation des autoroutes ne couterait pas 50 milliards d'euros mais seulement 10 Mds parce qu'il y avait 30Mds de dettes:(:mad:
+ Etc; etc...

Quant tu es un bon citoyen qui, au demeurant, excelle dans ton métier d'ouvrier, employé, commerçant, artisan, agriculteur, marin; profession libérale.......mais par forcément suffisamment avisé dans les matières économico-financières, eh bien tu crois sur parole un candidat à la présidence ou a un élections car les "postulants" sont de supposés sachants, compétents......et honnêtes.

Or mille fois hélas, ce n'est pas forcément le cas, et faute d'auto analyse pertinente ils votent contre leurs intérêts d'abord et ceux du pays - La France - ensuite.

C'est faute d'une formation suffisante et adaptée........ " que les électeurs votent comme des pieds ".

Cdt
 
Dernière modification:
Aristide a dit:
Outre cette nullité en économie du RN ce serait bien qu'il nous explique comment il va faire pour renvoyer tous les immigrés illégaux, Algériens notamment ..........où les autres d'ailleurs, quand leurs pays d'origines refusent de délivrer le laissez-passer consulaire indispensable ???
C’est vrai ça, comment ils vont faire?
Il y avait bien Charles Martel mais il est mort.
Ils ont un programme.
Il suffit de le lire.

d’ailleurs sur le même sujet:
[lien réservé abonné]

Pourquoi chercher des solutions à un problème qui n’existe pas?
 
et LFI eux voulaient annuler la dette.
Hop plus de dette
 
WilliamMunny a dit:
Ils ont un programme.
Il suffit de le lire.
Autant fiable que leur programme économique ?
 
Buffeto a dit:
c'est peut etre qu'il y a trop de candidats alors

et donc dans ton système ça serait pareil

Justement non, le problème de trop de candidats, c'est la dilution des voix. Ce n'en est plus un si on peut exprimer ses préférences plus finement qu'en choisissant juste un candidat.


Buffeto a dit:
donc on devrait avoir des pourcentages de présidents ...untel à eu 20% des voix alors il gouvernera 20% du temps ..... :ROFLMAO:

On pourrait passer à un régime parlementaire.
 
J'ai le sentiment de macron, gauche, essayent de parler d'autres choses que le déclin de l'Europe dont ils sont responsables.

Attention bruit de bottes, arrivée des heures sombres, etc... Remise de l'église au milieu du village

Voici le résumé du document de l'administration Trump concernant l'Europe.

SECTION C – Promouvoir la grandeur européenne

Les responsables américains ont pris l’habitude d’aborder les problèmes européens en termes d’insuffisance des dépenses militaires et de stagnation économique. Il y a là une part de vérité, mais les problèmes réels de l’Europe sont encore plus profonds.

L’Europe continentale a vu sa part du PIB mondial diminuer — passant de 25 % en 1990 à 14 % aujourd’hui — en partie à cause de réglementations nationales et transnationales qui freinent la créativité et l’esprit d’entreprise.

Mais ce déclin économique est éclipsé par une perspective plus grave encore : celle d’une disparition civilisationnelle. Les problèmes majeurs auxquels l’Europe est confrontée incluent les activités de l’Union européenne et d’autres organes transnationaux qui sapent la liberté politique et la souveraineté ; les politiques migratoires qui transforment le continent et créent des tensions ; la censure de la liberté d’expression et la répression de l’opposition politique ; l’effondrement des taux de natalité ; ainsi que la perte des identités nationales et de la confiance en soi.

Si les tendances actuelles se poursuivent, le continent sera méconnaissable d’ici vingt ans ou moins. Il n’est donc pas évident que certains pays européens disposeront encore d’économies et d’armées suffisamment solides pour rester des alliés fiables. Beaucoup de ces nations persistent actuellement dans cette voie. Nous voulons que l’Europe demeure européenne, qu’elle retrouve sa confiance civilisationnelle et qu’elle renonce à son obsession pour une réglementation étouffante.

Ce manque de confiance est particulièrement visible dans la relation de l’Europe avec la Russie. Les alliés européens disposent d’un avantage militaire significatif sur la Russie selon presque toutes les mesures, à l’exception de l’armement nucléaire. À la suite de la guerre en Ukraine, les relations européennes avec la Russie se sont profondément dégradées, et beaucoup d’Européens considèrent désormais la Russie comme une menace existentielle. Gérer la relation entre l’Europe et la Russie nécessitera un engagement diplomatique américain considérable, à la fois pour rétablir les conditions de stabilité stratégique sur l’ensemble du continent eurasiatique et pour réduire le risque d’un conflit entre la Russie et des États européens.

Il est dans l’intérêt fondamental des États-Unis de négocier une cessation rapide des hostilités en Ukraine afin de stabiliser les économies européennes, d’éviter une escalade ou une extension non intentionnelle du conflit, et de rétablir la stabilité stratégique avec la Russie, ainsi que de permettre la reconstruction post-conflit de l’Ukraine afin qu’elle survive comme un État viable.

La guerre en Ukraine a eu l’effet pervers d’accroître la dépendance extérieure de l’Europe, en particulier celle de l’Allemagne. Aujourd’hui, les entreprises chimiques allemandes construisent certaines des plus grandes usines de transformation au monde en Chine, utilisant du gaz russe qu’elles ne peuvent plus obtenir chez elles. L’administration Trump se retrouve en désaccord avec des responsables européens qui nourrissent des attentes irréalistes pour la guerre, souvent perchés dans des gouvernements minoritaires instables, dont beaucoup bafouent des principes démocratiques fondamentaux pour réprimer l’opposition. Une grande majorité des Européens souhaite la paix, mais ce désir n’est pas traduit en politique, en grande partie à cause de la subversion des processus démocratiques par ces gouvernements. Cela est d’une importance stratégique pour les États-Unis précisément parce que les États européens ne peuvent pas se réformer s’ils restent piégés dans une crise politique permanente.

Pourtant, l’Europe demeure d’une importance stratégique et culturelle cruciale pour les États-Unis. Le commerce transatlantique reste l’un des piliers de l’économie mondiale et de la prospérité américaine. Des secteurs européens tels que l’industrie, la technologie et l’énergie demeurent parmi les plus solides au monde. L’Europe abrite une recherche scientifique de pointe et des institutions culturelles de premier plan. Nous ne pouvons pas nous permettre d’abandonner l’Europe — ce serait contraire aux objectifs fixés par cette stratégie.

La diplomatie américaine doit continuer de défendre une véritable démocratie, la liberté d’expression, et une célébration sans complexe du caractère et de l’histoire propres à chaque nation européenne. Les États-Unis encouragent leurs alliés politiques en Europe à promouvoir cette renaissance spirituelle, et l’influence croissante des partis européens patriotiques est une source d’optimisme.

Notre objectif doit être d’aider l’Europe à corriger sa trajectoire actuelle. Nous aurons besoin d’une Europe forte pour réussir la compétition mondiale et pour travailler avec nous afin d’empêcher toute puissance hostile de dominer le continent.

Les États-Unis sont, naturellement, attachés sentimentalement au continent européen — et bien sûr au Royaume-Uni et à l’Irlande. Le caractère de ces pays est également important stratégiquement, car nous comptons sur des alliés créatifs, capables, confiants et démocratiques pour contribuer à établir des conditions de stabilité et de sécurité. Nous voulons travailler avec des pays alignés qui souhaitent restaurer leur ancienne grandeur.

À long terme, il est plus que plausible que dans quelques décennies au plus tard, certains membres de l’OTAN deviendront majoritairement non-européens. Il est donc incertain qu’ils perçoivent leur rôle dans le monde, ou leur alliance avec les États-Unis, de la même manière que ceux qui ont signé le traité fondateur de l’OTAN.

Notre politique générale vis-à-vis de l’Europe doit donner la priorité à :

rétablir les conditions de stabilité en Europe et la stabilité stratégique avec la Russie ;

permettre à l’Europe de tenir debout par elle-même, en tant qu’ensemble de nations souveraines alignées, notamment en assumant la responsabilité principale de sa propre défense, sans être dominée par quelque puissance hostile que ce soit ;

encourager la résistance interne au sein de l’Europe face à la trajectoire actuelle ;

ouvrir les marchés européens aux biens et services américains et garantir un traitement équitable pour les travailleurs et entreprises américains ;

renforcer les nations dynamiques d’Europe centrale, orientale et méridionale par des liens commerciaux, des ventes d’armes, une coopération politique et des échanges culturels et éducatifs ;

mettre fin à la perception — et prévenir la réalité — d’une OTAN conçue comme une alliance en expansion perpétuelle ;

encourager l’Europe à lutter contre la surcapacité mercantiliste, le vol technologique, l’espionnage cybernétique et d’autres pratiques économiques hostiles.
 
Dernière modification:
Je pense pas que le RN soit plus mauvais en économie que n'importe quel autre parti. Pour moi le problème c'est plutôt qu'ils ont un certain nombre de membres sérieusement à la ramasse (style anti-vaccin, complotiste climato-sceptique etc...). Ce ne sont pas les seuls, mais quand même plus que les autres. Et ils proposent des fausses solutions qu'ils ne seront de toutes façons pas capables de mettre en oeuvre.

Personnellement, à ce stade, je ne vote même pas pour des idées, mais juste pour des gens qui ont l'air à peu près normaux, raisonnables, et pas malhonnêtes.
 
Philomene a dit:
mais juste pour des gens qui ont l'air à peu près normaux, raisonnables, et pas malhonnêtes.
et tu en trouves ? :cool: :ROFLMAO:
 
Philomene a dit:
Je pense pas que le RN soit plus mauvais en économie que n'importe quel autre parti.
Les quelques exemples que j'ai donnés ci-dessus ne prouvent pourtant pas leur compétence en la matière.
Mais il est exact que d'autres sont presque du même acabit.

Entre la grippe et le cancer.....je choisi la grippe !!!:)
 
Je pense que l'on peut trouver des " membres sérieusement à la ramasse " dans tous les partis et pas seulement au RN .
 
Philomene a dit:
Oui, mais le genre de candidats qui fait 3% des voix...
s'ils ne font que 3% des voix c'est que 97% ne les trouvent ni sérieux ni normaux ni raisonnables .......
 
Pendragon a dit:
Attention bruit de bottes, arrivée des heures sombres, etc.
On va avoir le choix entre le bruit des bottes ou le bruit des babouches ..
 
Pendragon a dit:
J'ai le sentiment de macron, gauche, essayent de parler d'autres choses que le déclin de l'Europe dont ils sont responsables.

Attention bruit de bottes, arrivée des heures sombres, etc... Remise de l'église au milieu du village

Voici le résumé du document de l'administration Trump concernant l'Europe.

SECTION C – Promouvoir la grandeur européenne

Les responsables américains ont pris l’habitude d’aborder les problèmes européens en termes d’insuffisance des dépenses militaires et de stagnation économique. Il y a là une part de vérité, mais les problèmes réels de l’Europe sont encore plus profonds.

L’Europe continentale a vu sa part du PIB mondial diminuer — passant de 25 % en 1990 à 14 % aujourd’hui — en partie à cause de réglementations nationales et transnationales qui freinent la créativité et l’esprit d’entreprise.

Mais ce déclin économique est éclipsé par une perspective plus grave encore : celle d’une disparition civilisationnelle. Les problèmes majeurs auxquels l’Europe est confrontée incluent les activités de l’Union européenne et d’autres organes transnationaux qui sapent la liberté politique et la souveraineté ; les politiques migratoires qui transforment le continent et créent des tensions ; la censure de la liberté d’expression et la répression de l’opposition politique ; l’effondrement des taux de natalité ; ainsi que la perte des identités nationales et de la confiance en soi.

Si les tendances actuelles se poursuivent, le continent sera méconnaissable d’ici vingt ans ou moins. Il n’est donc pas évident que certains pays européens disposeront encore d’économies et d’armées suffisamment solides pour rester des alliés fiables. Beaucoup de ces nations persistent actuellement dans cette voie. Nous voulons que l’Europe demeure européenne, qu’elle retrouve sa confiance civilisationnelle et qu’elle renonce à son obsession pour une réglementation étouffante.

Ce manque de confiance est particulièrement visible dans la relation de l’Europe avec la Russie. Les alliés européens disposent d’un avantage militaire significatif sur la Russie selon presque toutes les mesures, à l’exception de l’armement nucléaire. À la suite de la guerre en Ukraine, les relations européennes avec la Russie se sont profondément dégradées, et beaucoup d’Européens considèrent désormais la Russie comme une menace existentielle. Gérer la relation entre l’Europe et la Russie nécessitera un engagement diplomatique américain considérable, à la fois pour rétablir les conditions de stabilité stratégique sur l’ensemble du continent eurasiatique et pour réduire le risque d’un conflit entre la Russie et des États européens.

Il est dans l’intérêt fondamental des États-Unis de négocier une cessation rapide des hostilités en Ukraine afin de stabiliser les économies européennes, d’éviter une escalade ou une extension non intentionnelle du conflit, et de rétablir la stabilité stratégique avec la Russie, ainsi que de permettre la reconstruction post-conflit de l’Ukraine afin qu’elle survive comme un État viable.

La guerre en Ukraine a eu l’effet pervers d’accroître la dépendance extérieure de l’Europe, en particulier celle de l’Allemagne. Aujourd’hui, les entreprises chimiques allemandes construisent certaines des plus grandes usines de transformation au monde en Chine, utilisant du gaz russe qu’elles ne peuvent plus obtenir chez elles. L’administration Trump se retrouve en désaccord avec des responsables européens qui nourrissent des attentes irréalistes pour la guerre, souvent perchés dans des gouvernements minoritaires instables, dont beaucoup bafouent des principes démocratiques fondamentaux pour réprimer l’opposition. Une grande majorité des Européens souhaite la paix, mais ce désir n’est pas traduit en politique, en grande partie à cause de la subversion des processus démocratiques par ces gouvernements. Cela est d’une importance stratégique pour les États-Unis précisément parce que les États européens ne peuvent pas se réformer s’ils restent piégés dans une crise politique permanente.

Pourtant, l’Europe demeure d’une importance stratégique et culturelle cruciale pour les États-Unis. Le commerce transatlantique reste l’un des piliers de l’économie mondiale et de la prospérité américaine. Des secteurs européens tels que l’industrie, la technologie et l’énergie demeurent parmi les plus solides au monde. L’Europe abrite une recherche scientifique de pointe et des institutions culturelles de premier plan. Nous ne pouvons pas nous permettre d’abandonner l’Europe — ce serait contraire aux objectifs fixés par cette stratégie.

La diplomatie américaine doit continuer de défendre une véritable démocratie, la liberté d’expression, et une célébration sans complexe du caractère et de l’histoire propres à chaque nation européenne. Les États-Unis encouragent leurs alliés politiques en Europe à promouvoir cette renaissance spirituelle, et l’influence croissante des partis européens patriotiques est une source d’optimisme.

Notre objectif doit être d’aider l’Europe à corriger sa trajectoire actuelle. Nous aurons besoin d’une Europe forte pour réussir la compétition mondiale et pour travailler avec nous afin d’empêcher toute puissance hostile de dominer le continent.

Les États-Unis sont, naturellement, attachés sentimentalement au continent européen — et bien sûr au Royaume-Uni et à l’Irlande. Le caractère de ces pays est également important stratégiquement, car nous comptons sur des alliés créatifs, capables, confiants et démocratiques pour contribuer à établir des conditions de stabilité et de sécurité. Nous voulons travailler avec des pays alignés qui souhaitent restaurer leur ancienne grandeur.

À long terme, il est plus que plausible que dans quelques décennies au plus tard, certains membres de l’OTAN deviendront majoritairement non-européens. Il est donc incertain qu’ils perçoivent leur rôle dans le monde, ou leur alliance avec les États-Unis, de la même manière que ceux qui ont signé le traité fondateur de l’OTAN.

Notre politique générale vis-à-vis de l’Europe doit donner la priorité à :

rétablir les conditions de stabilité en Europe et la stabilité stratégique avec la Russie ;

permettre à l’Europe de tenir debout par elle-même, en tant qu’ensemble de nations souveraines alignées, notamment en assumant la responsabilité principale de sa propre défense, sans être dominée par quelque puissance hostile que ce soit ;

encourager la résistance interne au sein de l’Europe face à la trajectoire actuelle ;

ouvrir les marchés européens aux biens et services américains et garantir un traitement équitable pour les travailleurs et entreprises américains ;

renforcer les nations dynamiques d’Europe centrale, orientale et méridionale par des liens commerciaux, des ventes d’armes, une coopération politique et des échanges culturels et éducatifs ;

mettre fin à la perception — et prévenir la réalité — d’une OTAN conçue comme une alliance en expansion perpétuelle ;

encourager l’Europe à lutter contre la surcapacité mercantiliste, le vol technologique, l’espionnage cybernétique et d’autres pratiques économiques hostiles.
rien de nouveau, Trump comme Poutine voit l'union européenne comme un obstacle donc leur but la faire éclater pour mettre en place des pouvoirs style leur copain Orban. Perso suis européen convaincu, la mise en place de l'euro ne plus être remis en cause.
 
Buffeto a dit:
s'ils ne font que 3% des voix c'est que 97% ne les trouvent ni sérieux ni normaux ni raisonnables .......
Ou peut-etre que les gens pensent qu'il faut quelqu'un de pas raisonnable et malhonnête pour diriger un pays ? ou les gens serieux et raisonnables sont moins enclin à promettre monts et merveilles ?
 
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