Je reste persuadé que c’est une action judiciaire avec une condamnation qui fera bouger les lignes pour les plateformes de crowdfunding.
Car plus que la condamnation c’est la très mauvaise presse qui en résulterait et l’étalement dans les réseaux sociaux qui obligerait les acteurs à une réaction.
Je ne crois absolument pas en l’AMF pour faire assainir les pratiques. C’est une structure:
- qui ne peut pas; elle a une inertie propre à ces gros organismes d’état, sans réactivité,
- qui ne veut pas; elle s’intéresse prioritairement à d’autres marchés beaucoup plus importants en volumes et en risques économiques.
Quand à cette action judiciaire, elle se réalisera sans doute de façon collective, car il est bien compliqué, coûteux, long et incertain d’envisager seul de se lancer dans cette aventure. Les plateformes le savent trop bien.