Aristide
Top contributeur
Bonjour,
A une époque passée le CFCAL exigeait systématiquement la photo des biens financés et/ou donnés en garantie qui, effectivement, consistaient en une garantie réelle immobilière.
Quelques fois même s'en était ridicule; je me souviens d'avoir sollicité le financement de quelques hectares de terres agricoles; il avait fallu que j'aille photographier les parcelles concernées ???
Les frais de dossier étaient également très importants car une partie leur revenait mais l'autre était destinée à rémunérer le courtier apporteur.
Et, "la cerise sur le gâteau" était la méthode de calcul des mensualités car ils ignoraient les règles fondamentales tant des mathématiques financières que du droit.
En effet, pour calculer une mensualité ils calculaient une annuité.......et la divisait tout simplement par douze...!!!...???
Inutile de préciser que, dans ces conditions, la relation a été très éphémère.
Mais, concernant ces deux derniers points tout au moins, les divers lois et règlements actuellemnt en vigueur ont nécessairement obligé la mise en œuvre de procédures beaucoup plus orthodoxes.
S'il donne suite, Buffeto nous dira ce qu'il en est désormais.
Cdt
A une époque passée le CFCAL exigeait systématiquement la photo des biens financés et/ou donnés en garantie qui, effectivement, consistaient en une garantie réelle immobilière.
Quelques fois même s'en était ridicule; je me souviens d'avoir sollicité le financement de quelques hectares de terres agricoles; il avait fallu que j'aille photographier les parcelles concernées ???
Les frais de dossier étaient également très importants car une partie leur revenait mais l'autre était destinée à rémunérer le courtier apporteur.
Et, "la cerise sur le gâteau" était la méthode de calcul des mensualités car ils ignoraient les règles fondamentales tant des mathématiques financières que du droit.
En effet, pour calculer une mensualité ils calculaient une annuité.......et la divisait tout simplement par douze...!!!...???
Inutile de préciser que, dans ces conditions, la relation a été très éphémère.
Mais, concernant ces deux derniers points tout au moins, les divers lois et règlements actuellemnt en vigueur ont nécessairement obligé la mise en œuvre de procédures beaucoup plus orthodoxes.
S'il donne suite, Buffeto nous dira ce qu'il en est désormais.

Cdt