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Rewolution a dit:L'avantage CGA disparaît. Voici la source fiable
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Merci! Je viens de vérifier et effectivement la dernière majoration a été de 15 %

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Rewolution a dit:L'avantage CGA disparaît. Voici la source fiable
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Une astuce pour éviter de perdre les charges reportables au bout de 10 ans (sujet assez fustrant) !moietmoi a dit:les charges reportables ne sont imputables sur le bénéfices que lorsque l'on a épuisé les amortissements "reportables" , et comme les charges ne sont reportables que pendant 10 ans, on peut très bien se retrouver avec des charges jamais imputables;

Bonsoir Moi et Moi ,moietmoi a dit:en meublé, on peut, sur décision, les passer en amortissements; c'est un choix qui engage l'entreprise pour la suite si l'on fait un nouvel investissement, il devra suivre la même règle; en Fait, il faut faire des simulations car on peut se retrouver dans l'impossibilité de déduire..
uniquement le déficit non dû aux amortissements..... donc rarement
Ce n'est plus vraiment d'actualité ; la majoration pour absence de centre de gestion agrée est en train de disparaitre;
Bonjour, il n' y a pas de résiduelle; Comme @Rewolution l'indique, le jour où on loue en meublé, on fait évaluer le bien, et on amortit sur , comme le dit le bofip, la durée d'utilisation. en pratique sauf pour des cas particuliers, on amortit suivant les tableaux initiaux; donc sur 50/60 ans; on recommence tout à Zéro!!! oui.
Bonjour Moi&moi,moietmoi a dit:en meublé, on peut, sur décision, les passer en amortissements; c'est un choix qui engage l'entreprise pour la suite si l'on fait un nouvel investissement, il devra suivre la même règle; en Fait, il faut faire des simulations car on peut se retrouver dans l'impossibilité de déduire..
uniquement le déficit non dû aux amortissements..... donc rarement
Ce n'est plus vraiment d'actualité ; la majoration pour absence de centre de gestion agrée est en train de disparaitre;
Bonjour, il n' y a pas de résiduelle; Comme @Rewolution l'indique, le jour où on loue en meublé, on fait évaluer le bien, et on amortit sur , comme le dit le bofip, la durée d'utilisation. en pratique sauf pour des cas particuliers, on amortit suivant les tableaux initiaux; donc sur 50/60 ans; on recommence tout à Zéro!!! oui.
Lorsque le bien n'est pas immédiatement après son acquisition mis en location meublée, on ne compte plus du tout les droits ou frais notaire, agence, succession ou autre.attente92 a dit:Bonsoir Moi et Moi ,
Merci pour votre réponse. Donc le jour du passage de la location nue au meublé, On amortit le gros oeuvre sur 50 ans et non pas sur 43 ans .
Ex : Bien entré en N-7 pour 100 keuros + Ds 10 keuros + Émoluments notaires = valeur de revient 115 keuros.
Je neglige impact de la Qp terrain non amortissable .
Passage en meublé en N : Je retiens la valeur venale du bien en N que j'amortis sur 50 ans par exemple pour le Composant Gros Oeuvre comptant 50% du bâti
Les Droits de mutation à titre gratuit sont à traiter comme les droits de mutation à titre onéreux.
Vous avez évoqué un amortissement sur 10 ans mais ils ont été payés en N-7
J'aurais amorti (15 - 1.5 ×7)= 4.5 k euros sur durée de vie residuelle de 3 ans
Effectivement,svprets a dit:En ce cas, ai pigé qu'il faut rester en deçà des 90 k€ annuels et attendre 5 ans avant une éventuelle revente, afin d'éviter un P.V. mais reste, tout de même, la "sortie" des cotisations sociales calculées à raison de la V.N.C..
Les critères sont ceux des impôts et URSSAF..( 23 ke de recettes et les recettes supérieures aux revenus salariés et assimilés.svprets a dit:Bref, peut-on sortir du statut LMP dès lors que l'immeuble n'est plus à la location
Merci pour ta réponsemoietmoi a dit:Lorsque le bien n'est pas immédiatement après son acquisition mis en location meublée, on ne compte plus du tout les droits ou frais notaire, agence, succession ou autre.
Tout cela est oublié.
On amorti uniquement la valeur vénale du bien au jour de l'inscription à l'actif .
Et on amorti suivant les règles classiques.
Effectivement,
Les critères sont ceux des impôts et URSSAF..( 23 ke de recettes et les recettes supérieures aux revenus salariés et assimilés.
Il y a des choix à faire.. tu ne loues plus un bien parmi l'ensemble,il est donc sorti de l'actif, et tu es soumis à ce moment au paiement des impôts( exo) et cotisation.la sortie du bilan étant lorsque tu es pro, l'élément déclencheur.( Pas en lmnp) Et aussi tu ne seras plus lmp pour les autres, tu ne bénéficie plus de l'exonération pour les autres...


de la plus value des lmp dans certaines conditionssvprets a dit:De quelle exonération, parles-tu, stp ? Je ne comprends pas
hihihihihihihihisvprets a dit:Je pensais au fait de "libérer" de leurs locataires la totalité des immeubles, quelques mois avant leur vente, de mettre ainsi un terme au statut de L.M.P. et de demander la radiation au RCS pour la location de logements
oui...les impôts ont pensé à tout:svprets a dit:Est-ce "abusé"
moietmoi a dit:de la plus value des lmp dans certaines conditions
hihihihihihihihi
oui...les impôts ont pensé à tout:
on compte (pour le critère lmp ou pas) des recettes fictives sur toute la période de l'année non louée!!!!
exemple tu loues le mois de janvier à 2000 euros et tu te radies; les impots compteront 24 000 euros de recettes (uniquement pour le critère lmp/lmnp)
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Les recettes doivent également être ajustées prorata temporis en cas de cessation totale de l’activité de location meublée, appréciée globalement au niveau du foyer fiscal. Dans ce cas, les recettes afférentes à chacun des immeubles qui sont cédés ou qui cessent d’être loués doivent être ramenées à douze mois. En revanche, si l’un des locaux d'habitation cesse d’être loué en meublé sans que l’activité de location meublée cesse, il n’y a pas lieu d'ajuster prorata temporis les recettes provenant de la location de cet immeuble.
Exemple : Monsieur Y détient deux appartements qu’il donne en location meublée. Le premier est loué pour un loyer mensuel s'élevant à 1 800 €, le second pour un loyer mensuel s'élevant à 1 500 €. Le 1er mars N, Monsieur Y cède son premier appartement. Le montant des recettes à prendre en compte pour l’appréciation du caractère professionnel de l’activité s'élève, en N, à 21 600 €.
Monsieur Z détient deux appartements qu’il donne en location meublée. Le premier est loué pour un loyer mensuel s'élevant à 1 800 €, le second pour un loyer mensuel s'élevant à 1 500 €. Le 1er mars N, il cède son premier appartement, puis le 31 mai N son second appartement, ce qui met un terme à son activité de location meublée. Le montant des recettes à prendre en compte pour l’appréciation du caractère professionnel de l’activité s'élève, en N, à 3 600 x 365 / 60 + 7 500 x 365 / 151 = 40 029 €.

mon problème aujourd'hui, face à toutes ces lois changeantes, on peut être saisi d'immobilisme; il faut compter aussi sur le fait que l'urssaf considère , contrairement aux impots que, lmp un jour, lmp toujours, alors que les impôts regardent année par annnée;svprets a dit:Je regarde tout ça, à tête reposée...
Merci pour ces derniers conseils...Dans les faits, j'essaie d'anticiper sur des "bases" qui seront peut-être désuètes dans 10 ans...Quoi qu'il en soit, ai moins à perdre en continuant sur ce chemin...en "forçant"sur les charges déductibles à court terme, - frais de négo et d'acte -, et en passant les travaux et amortissements immo sur une longue durée...moietmoi a dit:mon problème aujourd'hui, face à toutes ces lois changeantes, on peut être saisi d'immobilisme; il faut compter aussi sur le fait que l'urssaf considère , contrairement aux impots que, lmp un jour, lmp toujours, alors que les impôts regardent année par annnée;
Bonjour Moi et Moi.,moietmoi a dit:Lorsque le bien n'est pas immédiatement après son acquisition mis en location meublée, on ne compte plus du tout les droits ou frais notaire, agence, succession ou autre.
Tout cela est oublié.
On amorti uniquement la valeur vénale du bien au jour de l'inscription à l'actif .
Et on amorti suivant les règles classiques.
Effectivement,
Les critères sont ceux des impôts et URSSAF..( 23 ke de recettes et les recettes supérieures aux revenus salariés et assimilés.
Il y a des choix à faire.. tu ne loues plus un bien parmi l'ensemble,il est donc sorti de l'actif, et tu es soumis à ce moment au paiement des impôts( exo) et cotisation.la sortie du bilan étant lorsque tu es pro, l'élément déclencheur.( Pas en lmnp) Et aussi tu ne seras plus lmp pour les autres, tu ne bénéficie plus de l'exonération pour les autres...
Bonjour, il y a 2 aspects:Rewolution a dit:Pour le retour du LMNP à la Résidence principale, la taxation de la plusvalue reste un sujet ouvert, je n'ai pas trouvé de jurisprudence sur ce point.
bonjourRewolution a dit:L'avantage CGA disparaît. Voici la source fiable
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Le seul avantage qui reste est la déduction des 2/3 des frais de comptabilité, en LMNP seulement.
Si cela peut aider, je tente une réponse mais recommande vivement une solution comptable.
Bonjour Moi et Moi,moietmoi a dit:Bonjour, il y a 2 aspects:
ici on parlait de la sortie de LMP;
en lmnp cela est plus simple.. le bien non loué est retiré de l'actif et revient dans le patrimoine privé, sans qu'il n'y ait taxation de la plus value latente(réelle ou comptable) puis lorsque le bien est vendu, il suite la règle de la plus value des particuliers ( si il est resté résidence secondaire ou si il est devenu principal)
en LMP, c'est plus compliqué, lorsque l'on sort le bien de l'actif, les plus values (reelle, latente, comptable court terme, long teme,) sont soumises aux règles en vigueur de taxation que cela soit pour les impots ou pour l'urssaf;
et c'est ce point là qui était discuté;
Concernant un bien lmp qui fait des allers retour entre patrimoine privé et du lmp, les impots ont désignés cela par les biens migrants et le bofip donne des exemple très précis et illustrés paragraphe C de
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la question du passage de la location nue à la location meublé pour un même bien, pose le problème du moment où l'on change;attente92 a dit:Si on veut passer de la location nue , (RF, patrimoine privé) au LMNP (Réel) : on n'a aucun risque de redressement, le statut de LMNP relevant de la gestion du patrimoine privé ?
par exemple, il n'y a pas de marché locatif pour les biens meublés de ce type à cet endroit;attente92 a dit:Ensuite une fois qu'on loue en meublé , je ne vois aucun intérêt à repasser en location nue
je n'ai jamais regardé de près la mise à disposition gratuite dans ce type de cas.. donc je passe mon tour..attente92 a dit:Cf ce cas bien particulier: si le bien repasse en privé pour héberger gratuitement un membre de sa famille , sans revenus : aucun risque? Les loyers ne seront pas imposables et charges non déduites le temps de l'achèvement des études des jeunes adultes concernés et de leur entrée sur le marché du travail.
Pour ne pas rentrer dans l'assiette de l'IFI, il faut non seulement être LMP, mais aussi que les BENEFICES (et non pas les recettes) du lmp soit supérieurs aux revenus; or souvent les bénéfices sont faibles( amortissements)attente92 a dit:LMP c'est normal car on est considéré comme un professionnel non soumis à l'IFI pour les biens loués



