COMMUNIQUE DE PRESSE
Malgré le fait qu’elle dispose de plus de 2,2 M d’euros de liquidités au crédit de ses différents comptes, la société CREDIT CONSULTING se trouve ce jour plongée dans une situation ubuesque dont la seule cause est la clôture brutale et sans préavis de ses comptes bancaires par des établissements financiers. En bloquant nos comptes, les banques empêchent notre société d’opérer normalement sur le marché. Pire encore, en s’octroyant le droit, sans pour autant nous apporter la moindre explication ni justificatif juridique, de conserver les fonds appartenant à notre société, elles nous empêchent d’honorer nos engagements financiers. Ainsi, depuis la fin du mois de juillet 2018, la société CREDIT CONSULTING bataille pour tenter d’obtenir, d’une première part, la libération des fonds indûment bloqués par divers établissements bancaires et, d’autre part, pour ouvrir un compte avec lequel elle puisse opérer normalement sur le marché français. Alors que notre société réalise son activité dans plusieurs autres pays européens sans rencontrer aucune difficulté, il semblerait qu’en France le lobby bancaire se soit lié contre elle avec la seule finalité de la pousser vers procédure collective pour la faire disparaitre. L’énergie des dernières semaines ayant été consacrée à la recherche de solutions permettant la survie de notre société, malgré la privation de tous nos fonds et tous nos moyens de paiements, nous nous devons d’apporter à nos clients et à tous nos partenaires qui nous ont fait confiance, un bref résumé de la chronologie et de l’état actuel des lieux : Le 24 juillet 2018, une première banque a bloqué, sans préavis, notre compte sur lequel plus 1,7M d’euros étaient portés au crédit. Sans apporter aucune explication aux demandes légitimes émises par notre société, la somme susvisée a, par la suite, disparue de notre compte. Ce n’est qu’au terme de mises en demeure et d’un combat judiciaire particulièrement acharné et éprouvant, que nous avons pu récupérer, en partie seulement les fonds arbitrairement séquestrés par la banque. En même temps, après avoir sollicité l’aide de la Banque de France, dans le cadre de la procédure spécifique du « droit au compte », celle-ci a, après quelques hésitations, désigné un nouvel établissement bancaire auprès duquel la somme d’environ 640 K euros a été déposée pour faire face aux paiements urgents (salaires, charges sociales et fiscales, fournisseurs et remboursement des échéances des prêts rachetés de nos clients). Bien que ce second établissement ait pris le soin d’encaisser les fonds il a, dès le lendemain, de façon abusive, clôturé le nouveau compte et conservé les fonds qui sont encore indisponibles pour notre société. Nous avons donc ouvert un troisième compte, mais celui-ci a été aussi clôturé avec plus de 130 K euros, en suivant le même modus operandi, une semaine après son ouverture et sans que nous ayons eu le temps de disposer des moyens techniques nécessaires pour payer nos dettes. A ce jour, nous disposons d’un chèque de banque de près de 1,7M d’euros et bien que les dettes échues soient bien inférieures, nous sommes placés dans une situation qui semble inextricable car toutes les banques contactées par notre direction refusent, sans raison valable, de nous ouvrir un compte bancaire. S’ajoute à cette situation des articles diffamants qui ont été pour certains publiés auprès d’un large public avec la seule volonté de nuire au développement commercial de notre société. Face à cette situation nous avons à nouveau fait appel à la Banque de France qui ne nous a toujours pas désigné un nouvel établissement. Notre société dispose d’une importante trésorerie et de liquidités conséquentes mais elle se trouve, du fait des manœuvres entreprises par les banques concernées, salie dans sa réputation commerciale et impossibilité de procéder au moindre paiement, faute de disposer des moyens techniques pour les réaliser. Bien que son activité, certes récente, soit parfaitement légale et encadrée, et ayant eu la confirmation qu’aucune plainte pénale lors de l’audience du tribunal de commerce du 19 septembre, ni aucun signalement auprès de Tracfin ait été déposé à son encontre, notre société se trouve au bord de la mort civile, qui aura été décrétée par les banques l’ayant privé de tout moyen pour payer ses employés et rembourser ses dettes alors même que les fonds en sa possession sont largement suffisants pour tenir l’ensemble de ses engagements. L’équipe dirigeante tient à vous confirmer que face aux attaques et à l’acharnement dont font preuve les banques à son égard, elle reste plus que jamais déterminée pour défendre ses intérêts qui sont aussi les intérêts de ses clients. Nous affirmons aussi notre entière confiance en l’Etat de droit qui saura, nous le croyons, sauver de la faillite notre société dont l’activité doit bien faire peur aux banques afin qu’elles se liguent avec autant de force contre nous !