Acheter et vendre une action

Statut
Non disponible pour d'autres réponses.
paal a dit:
Je suis bien entendu passé sur ce sujet, mais je dois vous avouer que c’est un peu lointain, et qu’il faudrait que je me remémore pourquoi je n’avais pas à l’époque retenu cet indicateur …

... probablement parce que ces vagues d'Elliott etc... c'est du vent.:clin-oeil:
 
paal a dit:
J’ai vu le fichier, qui permet une récup sous tableur Excel, mais avec un syntaxe qui ne prévoit pas de séparateur, ce qui conduit à ce que toutes les infos d’une journée se trouvent dans la première cellule de chaque ligne du tableur ; pas très pratique, et il faut alors imaginer une moulinette qui décompose ces données, avec un séparateur de type POINT-VIRGULE à la place de la virgule ; il faut donc exporter le ficher Excel sous ASCI (ou similaire) puis renommer le séparateur pour le remplacer par un séparateur reconnu pour l’importation d’un fichier texte
Bon, je verrai cela plus tard !
Il y a parfois des choses que je programme de remettre à plus tard, puis que je tente de résoudre rapidement, et là, c’est le cas !

La récupération des historiques Yahoo (tout se trouve dans une seule colonne Excel) à transformer en des historiques avec des données par colonne (mode ABC)

ABC propose un historique reposant sur
- Isin/Mnémo
- date en mode européen
- plus haut du jour
- plus bas du jour
- clôture

Les historiques de Yahoo ne proposent pas de code Isin/Mnemo, mais prévoient en fin de ligne un cours ajusté (mais à quoi sert-il ??, ca il est très souvent égal au cours de clôture)

Mode opératoire de transformation :

- copier les lignes du fichier Excel récupéré sous Yahoo, pour l’insérer dans un fichier Word (en mode paysage !
- remplacer le séparateur VIRGULE par un séparateur POINT VIRGULE
- intégrer en début de chaque ligne un code Isin ou Mnémo, en remplaçant « 2015 » par « Isin ;2015 »

On obtient un fichier exploitable par Excel, si on le sauvegarde en mode « Plain Text », format proche de l’Ascii.
Une fois ce fichier sauvegardé, on ouvre une feuille Excel, et on cherche à charger le fichier word sauvegardé en Ascii, et on se laisse conduire par les modalités de récupération.

Il faut ensuite changer le format des données (remplacer le point des cours par des virgules), régler le nombre de décimales, et insérer un séparateur de nombre pour les volumes …

Une fois que l’on dispose de cet historique, il est prêt à se trouver traité par la moulinette de calcul des stops !


paal a dit:
Vous expliquer l’esprit de ma moulinette, soit, après ce sera à vous de vous construire la vôtre, la mienne contenant des options personnelles !
Cette moulinette a pour objet de proposer des niveaux de stop d’intervention, calculés soit sur une base quotidienne, soit une période de plusieurs jours …

L’avantage que j’y trouve par rapport à des stops placés de façon arbitraire (soit XX Eur ou Usd par rapport à un sommet, soit un pourcentage d’un cours extrême), c’est de tenir compte plus ou moins finement de l’évolution de la volatilité du support observé !

On va donc prendre le titre TSLA pour la journée du 07/05/2015 qui présente les données suivantes :
- ouverture = 221
- plus haut =237.48
- plus bas = 220.25 (de la comparaison de ces 2 données, j’en déduis un delta dont le prends une proportion)
- clôture = 236.30, soit une assez forte progression dans la journée

Le Delta pour cette journée sera donc de 237.48 (+ haut) moins le mini 220.25, ce qui donne 17.23 ; c’est un écart important, et je décide (mais là, c’est arbitraire) de ne tenir compte pour l’ensemble de mes stops que de l’incidence d’un tiers de ce delta … ; mais tout cela se calcule sans problème, une fois la logique entrée !

Mon premier objectif, c’est de déterminer un stop d’achat, et je vais donc reconstituer des «données virtuelles» mais qui tiennent compte d’une partie de la volatilité déterminée ci-dessus, et j’obtiens ainsi
- un plus haut virtuel (le réel + 1/3 du delta) soit 243.22
- un plus bas virtuel (le réel – 1/3 du delta) soit 214.07, et cette valeur sera celle qui me servira de stop-loss (ou stop de protection, lorsque j’entrerai en position, il le restera d’ailleurs jusqu’à temps que le marché se renverse (et que j’en sorte) ou qu’un nouveau stop (de croisière celui-ci) vienne le remplacer !

- j’ai aussi une clôture virtuelle qui repose sur une pondération des 3 cours suivants 1 plus haut + 1 plus bas (réels) + 4 clôtures (réelle aussi), ceci parce que j’ai remarqué qu’en fin de journée de cotation, les volumes devenaient très importants ; pour le 07/05, cela donne 234.15, au lieu d’une clôture réelle de 236.80.

C’est à partir de cette logique de base que je module ensuite (ou non) les données sur plusieurs jours, et que je compare les résultats d’un jour à l’autre (pour les titres très volatils) et/ou d’une période à l’autre (pour les titres plus pépères!)
 
paal a dit:
Curieux ce produit qui, si j’ai bien compris
- vous octroie une déduction fiscale à l’entrée (comme un PERP car seul avantage que personnellement j’y vois)
- vous permet de pratiquer en dehors des marchés européens, voire d’utiliser un effet de levier et de pratiquer la vente à découvert (le short pour les initiés), comme un CTO (Compte Titres Ordinaire)
- tout en bénéficiant d’une exemption de fiscalité à l’IR comme on peut l’obtenir d’un PEA …

en fait ce produit (un IRA) est un transfert d'un autre produit (un 401k).
le 401k permet de verser de l'argent avant impot et avant charges sociales (mieux qu'un PERP) a concurrence de $18000 par an.
ce versement donne lieu (souvent) a un abondement de l'employeur (plus ou moins fort de 2 a 25%, souvent 10-15%)
dans mon cas quand je versais 8%, il versait 8% aussi, mais quand je versais 16%, il versait 12%.

l'impot se paye sur la plus value globales (compensation des PV / MV comme dans un PEA sans abattement de durée) a la sortie qui se fait obligatoirement apres 60 ans (volontairement) ou apres 70 ans (de force).
bien sur comme en AV, en sortant progressivement, on lisse et abaisse l'impot (surtout qu'en general on ne travaille plus a cet age).

quand on ne travaille plus pour un employeur americain, on doit transferer ce compte vers un IRA. qui a les memes caracteristiques sauf que l'on ne peut contribuer que $5000 par an, en theorie aussi avant impot sur le revenu français, mais j'ai pas essayé.

un broker classique gere cet IRA, donc on peut acheter des fonds, des sicav, des ETF, des titres, mais uniquement en $ et uniquement sur des places US.

paal a dit:
Intéressant ce type de produit, en supposant que tout ceci ne soit nullement contestable par l’administration fiscale française !
Contribuable français ?

bien sur que c'est non-contestable, aucun argent sort donc pas de revenus, seule le cas echeant sa valeur doit etre prise en compte pour l'ISF.
oui contribuable français bien sur. mais on doit etre des milliers a avoir des IRA.

si je vous donne les inconvenients, ca va etre moins rose :
si on veut sortir avant 60 ans, c'est 10 % sur le capital de penalité de sortie anticipée, et en plus l'impot sur ce qui sort.
on est dans une bulle, on ne peut pas vraiment rajouter de l'argent, ni en enlever, et ce pour une durée de 40 ans...sacré tunnel !
 
ZRR_pigeon a dit:
en fait ce produit (un IRA) est un transfert d'un autre produit (un 401k).
Je comprends presque tout, mais vous auriez quand même pu indiquer que c’était un produit dont vous aviez bénéficié dans le cadre d’un emploi aux States, et qui peut aussi s’alimenter lorsque l’on se trouve hors des States mais après coup …

Je connais pas trop mal ce produit, car j’ai eu plusieurs directeurs, anciens officiers supérieurs américains, qui avaient pour caractéristique d’en avoir un !
Mais encore faut-il savoir que vous en parliez !

Sauf que bien que travaillant au même endroit en Europe, eux y avaient droit (puisqu’ayant mené une activité aux States) et que je n’y avais pas droit, puisque tel n’était pas mon cas …

Mais comme nous avions un accord avec le State Department, j’ai pu examiner assez finement tout ce que pouvait déduire un contribuable américain, surtout hors de ses frontières !

ZRR_pigeon a dit:
Quand on ne travaille plus pour un employeur américain, on doit transférer ce compte vers un IRA. qui a les mêmes caractéristiques
Oui, et c’est surtout à cette étape que j’ai vu la situation des citoyens américains !

ZRR_pigeon a dit:
Bien sûr que c'est non-contestable, aucun argent ne sort donc pas de revenus, seul le cas échéant sa valeur doit être prise en compte pour l'ISF.
Oui contribuable français bien sûr. mais on doit être des milliers a avoir des IRA.
Of course, il doit y avoir une population d’anciens travailleurs américains, devenus ou redevenus contribuables français, qui disposent toujours d’un IRA logé aux US !

ZRR_pigeon a dit:
Si je vous donne les inconvénients, ca va être moins rose :
si on veut sortir avant 60 ans, c'est 10 % sur le capital de pénalité de sortie anticipée, et en plus l'impôt sur ce qui sort.
on est dans une bulle, on ne peut pas vraiment rajouter de l'argent, ni en enlever, et ce pour une durée de 40 ans...sacré tunnel !
Ah toujours ce fichu problème du beurre et de l’argent du beurre !
 
Dernière modification:
rien a voir avec le fait d'etre cadre ou citoyen americain. chaque entreprise choisit si elle veut ou non proposer ce plan.
meme les ouvriers en avaient un. et certains ouvriers y contribuaient plus en valeur absolue que certains cadres (plus flambeurs).
tout est histoire de maturite devant le probleme de la retraite.

le gros probleme des citoyens americain en france est que chaque avantage fiscal utilise ici est annule par leur pays d'origine.
exemple ils font une plus values d'action dans un PEA en France:
pas d'impot en france mais ils vont payer l'impot dessus aux USA. si ils font pareil avec un CTO ils payeront l'impot sur la plus value en France et la difference entre l'impot US et l'impot FR aux USA.

au final, ils paieront toujours (au moins) la valeur de l'impot US, a qui cela depend des produits...
dur dur...
 
ZRR_pigeon a dit:
Rien à voir avec le fait d'être cadre ou citoyen américain. chaque entreprise choisit si elle veut ou non proposer ce plan.
même les ouvriers en avaient un. et certains ouvriers y contribuaient plus en valeur absolue que certains cadres (plus flambeurs).
Tout est histoire de maturité devant le problème de la retraite.
Vous avez quand même une légère tendance a modifier ou interpréter les propos de vos interlocuteurs !
Ai-je dit quelque part qu’il FALLAIT être cadre, ou bien citoyen américain pour POUVOIR bénéficier d’un IRA, sous quelque forme que ce soit ?

NON, j’ai juste indiqué que les personnes pour lesquelles j’avais eu connaissance qu’elles détenaient un IRA était des cadres ayant travaillé aux USA, et que certains d’entre eux avaient la nationalité américaine, ce qui nous conduisait à utiliser un accord conclu avec le State Department pour les seuls CITOYENS américains, pour traiter leur situation fiscale !

Mais ce constat n'a aucune vocation à exclure qui que ce soit, américain ou non !

ZRR_pigeon a dit:
Le gros problème des citoyens américains en France est que chaque avantage fiscal utilisé ici est annulé par leur pays d'origine.
exemple ils font une plus values d'action dans un PEA en France:
Pas d'impot en France mais ils vont payer l'impôt dessus aux USA.
S’ils font pareil avec un CTO ils payeront l'impot sur la plus value en France et la difference entre l'impot US et l'impot FR aux USA.
au final, ils paieront toujours (au moins) la valeur de l'impot US, a qui cela dépend des produits...
dur dur...
Ceux que j’ai croisés, et auxquels je pense, n’étaient pas résidents français, et lorsqu’ils leur arrivait de l’être, ils étaient en exonération fiscale, mais cela nous entrainerait dans une situation très spécifique sur laquelle je ne m’étendrais pas !

Et pour eux, aucun intérêt de souscrire à un quelconque produit d’épargne français !
 
paal a dit:
Ceux que j’ai croisés, et auxquels je pense, n’étaient pas résidents français, et lorsqu’ils leur arrivait de l’être, ils étaient en exonération fiscale, mais cela nous entrainerait dans une situation très spécifique sur laquelle je ne m’étendrais pas !

Et pour eux, aucun intérêt de souscrire à un quelconque produit d’épargne français !

pas tres legal tout cela...:hypnotise:

l'exoneration du fisc americain marche pour seulement pour $99 200 premiers dollars de revenus, au dela c'est la situation que je décrivais qui s'applique.
 
ZRR_pigeon a dit:
pas tres legal tout cela...:hypnotise:

l'exoneration du fisc americain marche pour seulement pour $99 200 premiers dollars de revenus, au dela c'est la situation que je décrivais qui s'applique.
Et en plus vous continuez ...

Vous ne savez rien de ces personnes qui ont été amenées à séjourner en Europe, dans quel cadre elles y sont venues, mais cela fait rien, vous les considérez comme des personnes n'ayant aucun statut particulier, et que ce soit pour 100.000 Usd ou 300.000 Euros !

Alors continuez à croire ce que vous croyez savoir, mais il n'y avait rien d'illégal dans tout ceci ; et vous vous devriez d'ailleurs vous douter que si un accord avec le State Department a été conclu, accepté et ratifié, puis mis en œuvre avec les modalités financières qui vont avec, cela ne pourrait que difficilement se trouver en conflit avec la légalité !

Et si le State Department donne son accord pour régler une somme, vous vous doutez bien que la disposition ne peut qu'être légale !

Je peux vous accorder qu'il s'agit d'une situation spécifique qui traite d'une façon particulière des nominations spéciales, mais cela vous conduit alors à vouloir appliquer à ces personnes une règle qui, par dérogation ou non, ne leur est pas applicable!

Alors enfin, vous croyez ou vous ne croyez pas, cela n'est pas grave du tout !

Car cela n'y changera rien, et ne sera pas de nature à modifier l'accord conclu avec le State Department ; au départ, et lorsque j'ai pris en mains ce dossier, cela m'aura bien entendu semblé curieux (voire un peu tordu dans sa complexité!), mais c'est ainsi !

Et il ne me serait même pas venu à l'esprit de venir contester, même avec délicatesse, cette modalité de traitement ! J'ose espérer que vous comprenez bien ce que je tente de vous expliquer !

Mais j'ai eu l'habitude de répondre à nombre de mes interlocuteurs : Ah, mais ça, cela ne est pas applicable ; après, il y a ceux qui écoutent pourquoi, et ceux qui s'obstinent à ne pas le croire !

Mais on se trouve assez loin de la façon d'acheter ou vendre, une action américaine ou non !
 
Dernière modification:
lopali a dit:
Bonjour,

Confronter les techniques de chacun à ce propos pourrait intéresser bon nombre de lecteurs.

Intéressant sujet...

De mon côté, en tant que "jeune" boursicoteur (je n'ai commencé à m'intéresser à la bourse qu'en 2013 et me suis lancé dans l'achat d'actions à partir de janvier 2014), je continue toujours de réfléchir à la stratégie qui me conviendra le mieux.

Jusqu'à présent, celle-ci a été la suivante :
- dans un premier temps, choisir les actions que je souhaitais acheter en veillant à une diversification sectorielle tout en évitant de trop m'éparpiller puis définir une allocation,
- dans une deuxième temps, acheter ces actions sur des plus bas 1 an (j'ai beaucoup acheté en juillet-août 2014 puis vers la mi-octobre puis vers la mi-décembre)
- dans un troisième temps, poser des stops d'allègement partiel lorsque mes différentes lignes atteignaient + 15 % et plus, en espérant repasser à l'achat lorsque les actions en question se retrouveraient à nouveau sur des plus bas 1 an...

"Problème" : depuis janvier 2015 (et pour combien de temps encore ?), je suis de plus en plus liquide (même si "pas trop" encore), on ne retrouve plus vraiment des plus bas 1 an et mes actions préférées sont devenues beaucoup trop chères à mon goût pour que je puisse envisager d'en acheter de nouvelles sur leurs cours actuels... Mes liquidités ne "travaillent" pas et je perçois/percevrai beaucoup moins de dividendes (la saison arrive) que si je n'avais rien vendu depuis le début de cette année.

La nouvelle stratégie à laquelle je réfléchis :
- ne plus rien vendre, désormais, avant que le CAC soit à 6000 (son dernier plus haut de 2007),
- à partir des 6000, revendre progressivement toutes mes actions avec des stop loss que je continuerai de remonter au fur et à mesure que les cours monteront encore, quitte à devoir ensuite rester 100 % liquide pendant de longs mois,
- me remettre à l'achat massif lors du prochain krach (disons lorsque le CAC sera repassé sous les 4000 voire sous les 3500 ou les 3000),
-être ensuite "buy and hold" jusqu'à ce que le CAC soit à nouveau sur ses plus hauts (à 6000 et au-delà), en me "contentant" d'encaisser des dividendes pendant ce nouveau cycle et éventuellement renforcer mes lignes quand de nouvelles opportunités (plus bas 1 an) se présenteront,
-sauf cas particuliers (il faut aussi savoir être pragmatique), ne plus vendre pendant ce nouveau cycle, ce qui évite, outre le fait de se retrouver trop liquide et "bloqué" quand une période est durablement haussière, les nombreux frais de courtage et de TTF quand on fait des allers-retours pour espérer gagner 3 francs 6 sous...
- recommencer à vendre progressivement à partir de 6000.

A toutes fins utiles, je précise ou re-précise (pour ceux qui m'ont déjà lu sur d'autres fils) que mes actions sont logées dans un PEA et que je me considère plutôt comme un investisseur "bon père de famille", mon objectif étant davantage de sur-performer les meilleurs fonds euros que d'égaler WB...

N'hésitez pas à me faire part de vos avis sur tout ça.
 
paal a dit:
Vous ne savez rien de ces personnes qui ont été amenées à séjourner en Europe, dans quel cadre elles y sont venues, mais cela fait rien, vous les considérez comme des personnes n'ayant aucun statut particulier, et que ce soit pour 100.000 Usd ou 300.000 Euros !

exact, de meme que vous avez supposé que j'etais dans l'illégalité avec mon IRA...sans savoir.

paal a dit:
Mais on se trouve assez loin de la façon d'acheter ou vendre, une action américaine ou non !

maintenant que nous sommes au clair, on peut revenir au sujet. :ange:
 
ZRR_pigeon a dit:
exact, de meme que vous avez supposé que j'etais dans l'illégalité avec mon IRA...sans savoir.

Maintenant que nous sommes au clair, on peut revenir au sujet. :ange:
Grrrrr !

Si vous ne composez pas sous Word, mais composez en direct, le temps d'écrire 3 ou 4 lignes, et vous êtes déconnecté ;vous vous reconnectez, et là, vous perdez toute votre composition !

Là, cela ressemble fortement à du Bourso, et ce n'est pas du tout une référence !
Alors je composerai sous Word, pour les sujets un poil complexes, et si par ailleurs, je me fais jeter, eh bien tant pis, je ne recomposerai plus !

Notamment pour ce post !
 
lorsque tu te connectes il faut cliquer sur la petite case "se souvenir de moi "...

et garder calme et sérénité :shades:

La fontaine ne nous a t'il pas appris que patience et longueur de temps font plus que force ni que rage ?
 
Dernière modification:
buffetophile a dit:
lorsque tu te connectes il faut cliquer sur la petite case "se souvenir de moi "...

et garder calme et sérénité :shades:

La Fontaine ne nous a t'il pas appris que patience et longueur de temps font plus que force ni que rage ?

Eh non, je n'ai malheureusement pas eu l'opportunité pour que ce brave homme m'en dise davantage !
Il n'en aura point eu le temps !

Il est vrai qu'une bonne heure avant sa mort, il faisait encore envie ! Zut, c'est pas le même !

Mais je vous tairai également ce qu'un amiral italien m'aura conté ce que dame Cigale, devant se rendre à Paris (pour affaire de thé dansant, bien entendu) aura reçu comme message à transmettre à cet affabulateur de la part de Demoiselle Fourmi !

C'est quelque peu grivois !

Merci toutefois pour l'info sur cette case, qui se trouve curieusement définie !

Allez, je repars pour tenter de charger une toute petite feuille Excel sous Pdf !
 
Le Verrier a dit:
Confronter les techniques de chacun à ce propos pourrait intéresser bon nombre de lecteurs.
"Problème" : depuis janvier 2015 (et pour combien de temps encore ?), je suis de plus en plus liquide (même si "pas trop" encore), on ne retrouve plus vraiment des plus bas 1 an et mes actions préférées sont devenues beaucoup trop chères à mon goût pour que je puisse envisager d'en acheter de nouvelles sur leurs cours actuels... Mes liquidités ne "travaillent" pas et je perçois/percevrai beaucoup moins de dividendes (la saison arrive) que si je n'avais rien vendu depuis le début de cette année.
Alors pour résumer, vous vous présentez comme un gestionnaire de type bon père de famille, avez un goût pour la très forte spéculation, et entendez faire travailler vos liquidités disponibles …

Ce qui me choque un peu dans votre démarche, c’est que vous recherchiez à tout prix qu’un titre fasse un plus bas sur une année, alors qu’il faudrait se demander pourquoi un titre le ferait, le tout pendant que nous sommes dans un marché plutôt en progression !

Le Verrier a dit:
La nouvelle stratégie à laquelle je réfléchis :
- ne plus rien vendre, désormais, avant que le CAC soit à 6000 (son dernier plus haut de 2007),
J’espère que vous n’êtes pas particulièrement pressé, car il y en a un certain nombre qui attendent ça depuis 2007 ; et peut-être bien qu’il va leur falloir attendre encore un peu !

Le Verrier a dit:
- à partir des 6000, revendre progressivement toutes mes actions avec des stop loss que je continuerai de remonter au fur et à mesure que les cours monteront encore, quitte à devoir ensuite rester 100 % liquide pendant de longs mois,
- me remettre à l'achat massif lors du prochain krach (disons lorsque le CAC sera repassé sous les 4000 voire sous les 3500 ou les 3000),
Je comprends bien votre logique, mais pensez-vous être seul à vouloir faire ça alors que le marché serait au-dessus de 6.000, à condition toutefois qu’il y parvienne dans un avenir proche …

Le Verrier a dit:
-être ensuite "buy and hold" jusqu'à ce que le CAC soit à nouveau sur ses plus hauts (à 6000 et au-delà), en me "contentant" d'encaisser des dividendes pendant ce nouveau cycle et éventuellement renforcer mes lignes quand de nouvelles opportunités (plus bas 1 an) se présenteront,
-sauf cas particuliers (il faut aussi savoir être pragmatique), ne plus vendre pendant ce nouveau cycle, ce qui évite, outre le fait de se retrouver trop liquide et "bloqué" quand une période est durablement haussière, les nombreux frais de courtage et de TTF quand on fait des allers-retours pour espérer gagner 3 francs 6 sous...
- recommencer à vendre progressivement à partir de 6000.

N'hésitez pas à me faire part de vos avis sur tout ça.
!
A mon sens et avec ces principes, vous n’allez pas réaliser beaucoup de transactions, et donc par voie de conséquence, pas beaucoup de gains !

Alors bien entendu il y a des courtages et une nouvelle taxe qui frappe ces transactions ; mais ne vaut-il pas mieux régler un peu de taxes et de courtages sur des opérations moins ambitieuses mais plus fréquentes (et donc rentables), plutôt que de rester dans un stand-by reposant sur des bases très incertaines …

A titre comparatif, j’entre et je sors de position avec des stops (avec une logique que j’ai évoquée précédemment),mais je ne me fixe ni niveau de marché, ni même objectif de plus-value …
Par contre, si un titre fait du sur place trop longtemps, je finis par en sortir !
 
paal a dit:
Alors pour résumer, vous vous présentez comme un gestionnaire de type bon père de famille, avez un goût pour la très forte spéculation, et entendez faire travailler vos liquidités disponibles …

Ce qui me choque un peu dans votre démarche, c’est que vous recherchiez à tout prix qu’un titre fasse un plus bas sur une année, alors qu’il faudrait se demander pourquoi un titre le ferait, le tout pendant que nous sommes dans un marché plutôt en progression !

Désolé si ma stratégie vous "choque" mais ça me paraît au contraire être du bon sens que de profiter des creux importants de marché pour acheter "un peu" moins cher (et en plus grande quantité) des actions de belles sociétés. Cette stratégie "d'achat au son du canon" m'a par exemple permis d'acheter du RNO à 52 € à la mi-octobre, du SAN à moins de 70 € à la fin octobre et du FP à 39 € à la mi-décembre. Regardez les cours actuels des deux premières actions citées (sur lesquelles je me suis déjà partiellement allégé) et le rendement que me donne la troisième...

paal a dit:
J’espère que vous n’êtes pas particulièrement pressé, car il y en a un certain nombre qui attendent ça depuis 2007 ; et peut-être bien qu’il va leur falloir attendre encore un peu !

Non, je ne suis pas pressé. Mon horizon d'investissement est de 20 ans... minimum...

paal a dit:
Je comprends bien votre logique, mais pensez-vous être seul à vouloir faire ça alors que le marché serait au-dessus de 6.000, à condition toutefois qu’il y parvienne dans un avenir proche …

Non, je ne pense pas être le seul. Et alors ? Où est le problème ? :sourire:

paal a dit:
A mon sens et avec ces principes, vous n’allez pas réaliser beaucoup de transactions, et donc par voie de conséquence, pas beaucoup de gains !

Dans quelques années, il sera temps pour moi de faire un premier bilan de ma stratégie et de l'ajuster si nécessaire. J'apprends tous les jours en bourse et c'est vraiment un domaine qui me passionne désormais (si on m'avait dit ça il y a seulement 3 ou 4 ans... :embaras:). Pour le reste, je m'efforce et continuerai à m'efforcer de rester très modeste. La modestie fait partie des quelques qualités qu'il est indispensable d'avoir, selon moi, quand on pratique la bourse. :clin-oeil:
 
paal a dit:
Mode opératoire de transformation :

On peut s'épargner beaucoup de manipulations fastidieuses en utilisant la fonction "Convertir" de l'onglet "Données" dans Excel : interprétation de la virgule comme séparateur de champs, du point comme séparateur décimal, enlever les guillemets, traiter la date au format US...
 
Le Verrier a dit:
Non, je ne pense pas être le seul. Et alors ? Où est le problème ? :sourire:

je ne suis d'accord avec ni l'un ni l'autre.
disons qu'il y a plusieurs risques a votre strategie d'acheter a un plus bas, je dis pas que c'est mauvais car je fais cela aussi de temps en temps.
le risque est de prendre une action qui etait bonne et qui ne l'est plus. idealement il faudrait prendre une action qui est bonne et le sera de nouveau..ca devient difficile de deviner laquelle...

l'autre probleme d'acheter quand le marche est a 3000 c'est que beaucoup vont se dire "moi c'est 4000", et d'autres "moi c'est 3200" etc....

en theorie vous auriez autant de "frontieres d'achat" que de gens. les hommes aimant les chiffres ronds, il y aura des "lots" a 4000 , des lots a 3000....tout cela va creer une pression a la remontee au fur et a mesure de la descente...jusqu'au moment ou cette pression a la remontee sera assez forte pour contrer la descente de la tendance...et la vous aurez achete trop tot (encore trop haut) ou pas achete du tout....

mais oui dans l'idee on est d'accord sur le concept : je suis investi a 30% actions et 70% fonds euros, je compte bien inverser ces deux chiffres quand le marche sera plus bas....quelle chiffre ?? 3000 ? 4000 ? difficile a dire...
 
Le Verrier a dit:
Désolé si ma stratégie vous "choque" mais ça me paraît au contraire être du bon sens que de profiter des creux importants de marché pour acheter "un peu" moins cher (et en plus grande quantité) des actions de belles sociétés.
Que l’on en soit à profiter de creux, on pourra être d’accord, mais attendre que ce creux en soit à une forme de plus bas historique, c’est une autre question …
Et lorsque vous vous trouvez à ce plus bas sur un an, et que le titre continue à descendre, vous allez attendre qu’il soit à un plus bas à un an et demi, voire à deux ans ?

Alors admettons qu’un titre qui sera parti de 500, en arrive à 420 (le plus bas sur les 52 semaines), et qu’il continue de baisser jusqu’à 380 au cours d’un certain laps de temps qui suit, vous faites quoi lorsque vous y êtes à 380 ?

Le Verrier a dit:
Non, je ne suis pas pressé. Mon horizon d'investissement est de 20 ans... minimum...
Cela explique tout car, pour moi, c’est horizon là, il est plus qu’improbable ; lorsque j’ai débuté la Bourse en 1976, j’avais déjà la trentaine !

Bien entendu sur la durée, j’ai eu tout loisir de réfléchir à une modalité d’intervention qui me convienne, avecla ponctuation des différentes chutes de cours que l’on aura pu observer !

Le Verrier a dit:
Non, je ne pense pas être le seul. Et alors ? Où est le problème ? :sourire:
Eh bien, comment vous dire !
Vous savez ce qu’est un carnet d’ordres, n’est-ce pas ?

Et vous savez aussi ce qui sous-tend les X premières lignes de ce carnet !
Avec , au-delà des cours, les volumes en présence ….

Je vous invite à lire Stan Weinstein et à le maturer !

Le Verrier a dit:
Dans quelques années, il sera temps pour moi de faire un premier bilan de ma stratégie et de l'ajuster si nécessaire. J'apprends tous les jours en bourse et c'est vraiment un domaine qui me passionne désormais (si on m'avait dit ça il y a seulement 3 ou 4 ans... :embaras:).
Oui, c’est comme toutes les disciplines qui utilisent un virus ….

Le Verrier a dit:
Pour le reste, je m'efforce et continuerai à m'efforcer de rester très modeste. La modestie fait partie des quelques qualités qu'il est indispensable d'avoir, selon moi, quand on pratique la bourse. :clin-oeil:
La modestie c’est bien, mais l’humilité par rapport à un marché (à savoir l’attitude générale de tous les autres intervenants), c’est pas mal non plus …..

Et comme le marin qui se confronte à une tempête (et donc à la mer), l’intervenant boursier, il se trouve confronté aux marchés, et à tous ses soubresauts !
 
Dernière modification:
Le Verrier a dit:
du FP à 39 € à la mi-décembre. Regardez les cours actuels des deux premières actions citées (sur lesquelles je me suis déjà partiellement allégé) et le rendement que me donne la troisième...

Le rendement ne fait pas tout, le dividende des dernières années a été versé grace à des cessions d'actifs et de la dette, qui plus est le solde du dividende est proposé en actions (et non cash) ce qui n'est pas un vrai dividende.
 
paal a dit:
Que l’on en soit à profiter de creux, on pourra être d’accord, mais attendre que ce creux en soit à une forme de plus bas historique, c’est une autre question …
Et lorsque vous vous trouvez à ce plus bas sur un an, et que le titre continue à descendre, vous allez attendre qu’il soit à un plus bas à un an et demi, voire à deux ans ?

Alors admettons qu’un titre qui sera parti de 500, en arrive à 420 (le plus bas sur les 52 semaines), et qu’il continue de baisser jusqu’à 380 au cours d’un certain laps de temps qui suit, vous faites quoi lorsque vous y êtes à 380 ?

Je garde toujours une bonne poche de liquidités et j'évite d'acheter ou de renforcer en une seule fois. Donc, quand les cours baissent encore (et à condition qu'on soit dans une baisse généralisée des marchés, pas que cette baisse ne concerne que l'action en question), je continue à renforcer progressivement.

paal a dit:
Eh bien, comment vous dire !
Vous savez ce qu’est un carnet d’ordres, n’est-ce pas ?

Et vous savez aussi ce qui sous-tend les X premières lignes de ce carnet !
Avec , au-delà des cours, les volumes en présence ….

Je vous invite à lire Stan Weinstein et à le maturer !

Toute la difficulté est en effet de se retirer "au bon moment", c'est-à-dire "un peu" (si possible pas trop longtemps non plus) avant la très grosse tempête. Si on n'a pas pu le faire "avant", il me semble qu'il est trop tard pour le faire "pendant". Dans ce cas, il n'y a plus qu'à faire le dos rond en attendant une météo plus clémente. En ce qui me concerne, je fixe le curseur avec un CAC à 6000 sachant que son plus haut historique a approché les 7000. Ca laisse une certaine marge mais j'ai bien-sûr conscience que je peux complètement me planter. Je suis préparé psychologiquement à devoir éventuellement faire le dos rond.

De votre côté, à partir de quel niveau envisagez-vous de tout revendre ?

paal a dit:
La modestie c’est bien, mais l’humilité par rapport à un marché (à savoir l’attitude générale de tous les autres intervenants), c’est pas mal non plus …..

Et comme le marin qui se confronte à une tempête (et donc à la mer), l’intervenant boursier, il se trouve confronté aux marchés, et à tous ses soubresauts !

J'adhère complètement à tout ça.

j.bauer a dit:
Le rendement ne fait pas tout, le dividende des dernières années a été versé grace à des cessions d'actifs et de la dette, qui plus est le solde du dividende est proposé en actions (et non cash) ce qui n'est pas un vrai dividende.

Je suis également complètement d'accord avec le fait que "le rendement ne fait pas tout".

Malgré ma "jeune" expérience, j'ai parfaitement conscience que la bourse est un investissement qui est tout sauf simple et c'est bien pour ça que je cherche constamment à peaufiner ma stratégie. L'expérience de ceux qui la pratiquent depuis beaucoup plus longtemps que moi m'est aussi très utile, d'où ma lecture toujours très attentive de vos différentes interventions. :clin-oeil:
 
Dernière modification:
Statut
Non disponible pour d'autres réponses.
Retour
Haut