Aristide
Top contributeur
Bonjour,
Merci pour votre retour.
C'est certes une façon de voir les choses mais, sachant que le code de la consommation comprend des textes consuméristes censés pensés pour la bonne information et l'intérêt des consommateurs/emprunteurs, cette autre interprétation que j'ai déjà développée ne vous semble t-elle pas également défendable ?
Par ailleurs, autant l'ACPR me semble très compétente pour ce qui concerne la réglementation des professions concernées, autant, dans le cas évoqué qui concerne le code de la consommation et la défense des intérêts des consommateurs/emprunteurs, la Direction de la Consommation de la Concurrence et Répression des Fraudes me semble plus concernée.
C'est pour cela que je l'ai interrogée (cf page antérieure).
J'ai déjà reçu un accusé de réception provisoire avec annonce de réponse sous une huitaine de jours.
De toutes façons, quels que soient les avis des administrations plus ou moins concernées ce ne sont toujours que des interprétations "sous réserve de l'appréciation souveraine des tribunaux".
Ces avis/interprétations - et c'est exactement la même chose pour les réponses ministérielles aux questions des parlementaires - restent intéressants à connaître mais la bonne/vraie réponse serait donc celle de la justice.
C'est effectivement tout à votre honneur
Cdt
Merci pour votre retour.
ICF62 a dit:e reviens sur "l'interprétation de la commission banque versée aux courtiers"
par contre la position de l'ACPR est de me dire que puisque cette commission de courtage versée par la banque est prise sur les intérêts du prêt, ces intérêts sont déjà pris en compte dans le calcul du TEG et que donc intégrer la commission dans le TEG reviendrait à la compter deux fois puisque elle est comprise dans les intérêts...
C'est certes une façon de voir les choses mais, sachant que le code de la consommation comprend des textes consuméristes censés pensés pour la bonne information et l'intérêt des consommateurs/emprunteurs, cette autre interprétation que j'ai déjà développée ne vous semble t-elle pas également défendable ?
"Vous admettrez que "la commission" payée par la banque au courtier est indirectement payée par l'emprunteur ou, dit autrement, si cette commission n'avait pas à être versée par la banque, le client/emprunteur aurait pu obtenir de meilleurs conditions; à due concurrence ou partagée."
Par ailleurs, autant l'ACPR me semble très compétente pour ce qui concerne la réglementation des professions concernées, autant, dans le cas évoqué qui concerne le code de la consommation et la défense des intérêts des consommateurs/emprunteurs, la Direction de la Consommation de la Concurrence et Répression des Fraudes me semble plus concernée.
C'est pour cela que je l'ai interrogée (cf page antérieure).
J'ai déjà reçu un accusé de réception provisoire avec annonce de réponse sous une huitaine de jours.
De toutes façons, quels que soient les avis des administrations plus ou moins concernées ce ne sont toujours que des interprétations "sous réserve de l'appréciation souveraine des tribunaux".
Ces avis/interprétations - et c'est exactement la même chose pour les réponses ministérielles aux questions des parlementaires - restent intéressants à connaître mais la bonne/vraie réponse serait donc celle de la justice.
je met un point d'honneur à respecter cette réglementation tant sur mon site internet qu'à chaque rendez-vous à mon bureau.
C'est effectivement tout à votre honneur

Cdt









