moietmoi a dit:
( Kzg, vous oubliez qu'on est prêt a finir à capital 0, ca m 'etonnerait que l'immobilier passe a 0, mais cela veut dire qu'a un moment on peut revendre(peut etre un peu a perte, mais qu importe!!!!)
Je n'oublie pas ce "détail", en revanche je note que d'un côté vous faites des projections sur la base d'un capital qui se revalorise à 2%, et d'autre part vous parlez ici d'une perte sèche en capital sans que cela ne semble poser de problème

Etonnant.
moietmoi a dit:
il se trouve que cela fait des années que j ai réfléchi à cette problématique à titre personnel...et pour l'instant je n ai pas trouvé mieux que l'ébauche de solution que j ai exposée ci dessus
Il y a pourtant une autre solution. Au lieu d'essayer de gagner plus, il suffit de dépenser moins. Et pour cela, si l'on veut vivre de ses rentes, on peut le faire avec moins de 550K€, mais à condition de... QUITTER LA FRANCE !
Il y a plein de pays bien plus favorables aux rentiers. Bruxelles est à 2 heures de Paris. L'impact de l'absence d'impôts est énorme.
Mais le must, c'est de s'expatrier beaucoup plus loin, là où la vie est vraiment moins chère. Par exemple, le Costa Rica.
Avec 100K€, on peut acheter une très belle demeure au Costa Rica. C'est-à-dire une maison de type colonial, sur une colline plantée de cocotiers, avec vue sur la mer située à 100 m en contrebas. Avec 450K€, en consommant le capital, même avec un rendement réel nul on peut se verser un revenu mensuel de 800 euros pendant plus de 40 ans. En étant propriétaire, on vit très bien avec 800 euros par mois. Par très bien, j'entends "niveau de vie équivalent à 100K€ par an à Paris". Avec en plus vue sur la mer, le bruit des vagues, un climat toujours souriant, PAS d'IMPOTS et PAS d'ARMEE (c'est le seul pays au monde sans armée).
Comme on n'a rien à faire, on doit pouvoir consacrer du temps à ses investissements et trouver quelque chose qui génère un peu plus de rendement que des placements sans risque, histoire de pouvoir s'offrir des extras (rendre visite aux collègues ou à la famille restée dans notre vieux pays) ou de prolonger la durée d'écoulement du capital (sachant que de toute façon, si on est encore en vie après 80 ou 90 ans, on peut toujours rentrer en France et bénéficier des minimas sociaux).
D'autant plus qu'on peut y trader tranquille:
- il n'y a qu'une heure décalage horaire avec New-York.
- le pays est câblé en coaxial et en fibres optiques.
- PAS d'IMPOTS sur la fortune, les dividendes ou les plus-value.
Réfléchissez... Pourquoi continuer à vivre dans un 80m² de banlieue avec les mômes qui braillent dans la pièce d'à coté, sous la grisaille d'Ile de France, au lieu de s'installer dans un pays paradisiaque, où 800 euros par mois permettent de bien vivre dans une maison avec vue sur la mer, seulement une heure de décalage avec NY et des habitants super-cool au sens latino-américain du terme, c'est-à-dire cool de chez cool ?
Si bobonne et les braillards ne veulent pas quitter le collège Léon Blum et le Leclerc de Trifouilly les Gonesses, je conseille le divorce. Parce qu'en plus, les Costa Ricaines comptent parmi les plus belles femmes de la planète.


