Pascal 75
Contributeur régulier
Je ne pense pas. Le cadre de vie au travail devient un élément tout à fait déterminant.Buffeto a dit:tout dépend combien tu le payes et surtout ......combien de jours de repos a t'il droit ...
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Je ne pense pas. Le cadre de vie au travail devient un élément tout à fait déterminant.Buffeto a dit:tout dépend combien tu le payes et surtout ......combien de jours de repos a t'il droit ...
On nous a parlé de mutation au moment du Covid, de grande fuite des grandes villes.Pascal Eric a dit:Je ne vois pas trop le rapport. Désolé.
Les mutations actuelles sont bcp plus complexes et multifactorielles.
Par curiosité, regarde le portefeuille bureau des scpi ayant dévalorisées ...![]()
Non, encore une fois, tu négliges les mutations sociologiques et démographiques. Les salariés ont dorénavant la mainBlister a dit:Les mutations à venir vont découler de la réglementation, de la contrainte imposée par les nouvelles normes et donc de l'obsolescence qui va en découler pour certains immeubles qui ne respecteront pas ces critères.
La cause ne vient pas de la volonté des salariés qui y travaillent et du marché du travail.
Et ...je ne vois pas le rapport ? Désolé.Blister a dit:On nous a parlé de mutation au moment du Covid, de grande fuite des grandes villes.
Or les sièges des grandes entreprises, des ministères et les emplois les plus qualifiés n'ont pas bougé.
Hormis l'aéronautique qui est historiquement basée à Toulouse, il n'y a quasiment plus aucun grand siège en région.
Il y a Casino à St Etienne et ça semble fortement compromis.
Legrand à Limoges et Michelin à Clermont-Ferrand.
La liste est courte.
Alors il faut aller voir un peu du côté des sessions de recrutements (les innombrables rounds) pour être embauché chez Mc Kinsey, Goldman Sachs et autres employeurs d'élite.Pascal Eric a dit:Je ne pense pas. Le cadre de vie au travail devient un élément tout à fait déterminant.
Tu fais erreur je pense...Blister a dit:Alors il faut aller voir un peu du côté des sessions de recrutements (les innombrables rounds) pour être embauché chez Mc Kinsey, Goldman Sachs et autres employeurs d'élite.
Les candidats sont extrêmement nombreux et le nombre de places très limité.
Le taux de sélectivité est inouï alors que les postulants savent qu'ils feront des journées de 12h à 15h de travail par jour (y compris les week-ends). d'élite.
Les personnes qui connaissent le milieu dont je parle savent très bien que je ne fais pas erreur mais libre à vous de penser que cela n'existe pas.Pascal Eric a dit:Tu fais erreur je pense...
Tu ne parles que d'entreprises de notre époque.. de l'ancien monde ...Blister a dit:On nous a parlé de mutation au moment du Covid, de grande fuite des grandes villes.
Or les sièges des grandes entreprises, des ministères et les emplois les plus qualifiés n'ont pas bougé.
Hormis l'aéronautique qui est historiquement basée à Toulouse, il n'y a quasiment plus aucun grand siège en région.
Il y a Casino à St Etienne et ça semble fortement compromis.
Legrand à Limoges et Michelin à Clermont-Ferrand.
La liste est courte.
Les grosses sociétés de conseil en Finance ce n'est pas l'avenir ... Désolé...Blister a dit:Les personnes qui connaissent le milieu dont je parle savent très bien que je ne fais pas erreur mais libre à vous de penser que cela n'existe pas.
Mc Kinsey est un cabinet de conseil en stratégie global, ils n'interviennent pas que dans la finance.Pascal Eric a dit:Les grosses sociétés de conseil en Finance ce n'est pas l'avenir ... Désolé...
Parle moi de cyber-sécurité ou d'intelligence artificielle plutôt..![]()
Je suis assez favorable à ton analyse nuancée.Fonlade a dit:Bonjour à tous,
Très intéressant ce fil (un brin anxiogène, mais toujours moins qu'impots.gouv).
Pour être passé par les cabinets de conseil, SDG et autres joyeux lutins, ils ne représentent peut être pas l'avenir, mais en tout cas ils font la masse ! Personnellement, et de ce que je vois autour de moi, je ne pense pas que le télétravail et autres "nouveaux modes de travail" révolutionnent à ce point le marché de bureau, ça fait surtout du grain à moudre pour les journaux et Gégé à la machine à café, mais en soi les besoins sont toujours là. Ils doivent certes, êtres mis au gout du jour (performance énergétique, agencement des espaces et joyeuseries), mais on n'est pas non plus au niveau de transformer une usine Arcelor en camp de vacances pour chats.
Le problème venait peut être de l'appétit démesuré des "grandes compagnies" d'un côté, et donc de la scpi de l'autre, de s'ultra concentrer dans des centres horribles, la Défense pour meilleur exemple, qui ont ultra faussé les fondamentaux.
On fait face à un ajustement, très sain je pense, des prix démesurés des grandes villes, mais le plus gros risque à voir venir est justement l'effet de panique et de boule de neige de rachats sauvages (je ne juge pas, j'en suis), encore une fois un grand merci à l'incompétence des commerciaux/pseudo CGP et autres articles douteux, présentant la scpi de bureau comme le seul actif fiable en 2022, et faisant feu de tout bois en 2023 pour rediriger massivement vers d'autres actifs (machine à commissions, quand tu nous tiens).
Ce que j'espère, c'est que la bébé/papa (au choix) crise en cours fera le ménage dans les pratiques douteuses des "grandes" sociétés de gestion souvent citées en exemple...
Alors justement, pour l'industrialisation, on voit ici et là qu'il est intéressant de se recentrer sur des "locaux d'activité", alors oui, mais concrètement, hormis les entrepôts (dont le boom abusif en 2021/2022 de la part des SDG, pour ne citer qu'eux, m'inquiète une fois de plus sur les valorisations), on parlerait de quoi ?Pascal Eric a dit:Je suis assez favorable à ton analyse nuancée.
Petit aparté : Ce serait bien que la France se réindustrialise dar dar. Tu cites Arcelor
.
Mais, rien à voir avec nos scpi.
Oui, il ne s'agit surtout pas de céder à la panique.
Remodeler avec intelligence et discernement son portefeuille de scpi me paraît être la bonne option.
Ceux qui souhaitent garder leurs Primopierre et pfo2 ad vitam... ça m'arrange![]()
Je ne suis qu'un particulier qui a relaté une expérience vécue et non un professionnel.Ekta a dit:Bonjour @agra07 , je suis curieuse d'en savoir plus sur la marché secondaire : est-il accessible uniquement aux investisseurs en direct ou bien également à ceux qui détiennent des SCPI en assurance-vie ? Et concernant ce marché, les offres de rachat sont accessible depuis une plateforme dédiée ? Comment cela se passe-t-il ?
Je n'ai pas de réponse sûre mais en AV la question ne se pose pas vraiment: si le prix d'achat d'une SCPI baisse, vous pouvez l'acheter au nouveau prix sans en posséder auparavant.Ekta a dit:Je prévois investir dans des SCPI après un raté ce début d'année (qui finalement est bien tombé !) et je me demandais en vous lisant si l'accès à ce marché était ouvert aux "néo-investisseurs" ou s'il fallait déjà posséder des parts de SCPI dans la société qui les gère ? (nouvelle question, désolée !)
Moi aussi!!Ekta a dit:(et bien sûr je suis intéressée par les réponses de tous ceux qui sont familiers du marché secondaire, histoire de ne pas prendre Agra07 en otage)
A propos d'évolutions et de tendances, de nombreuses entreprises de la High Tech outre Atlantique, et non des moindres (Google, Tesla, IBM...) demandent à leurs salariés de revenir au bureau, le tout télétravail s'étant révélé avoir un effet négatif sur la productivité, en particulier dans la R&D.Pascal Eric a dit:Tu ne parles que d'entreprises de notre époque.. de l'ancien monde ...
Il faut peut-être s'ouvrir à l'avenir et le prendre en compte pour nos futurs choix en scpi qui est notre sujet .
Merci beaucoup @agra07 pour cette réponse étayée !agra07 a dit:Je ne suis qu'un particulier qui a relaté une expérience vécue et non un professionnel.
Dans le cas d'espèce il s'agissait de parts détenues en direct d'une SCPI à capital fixe, contrairement à celles qui sont citées sur le forum qui sont toutes à capital variable. Le nombre de part étant fixé à l'avance, la societé de gestion était tenue contractuellement d'organiser un marché secondaire pour fournir une solution aux vendeurs contraints. Ces candidats vendeurs ne pouvaient vendre leurs parts qu'à une connaissance ou sur le marché secondaire.
En AV je n'ai jamais vécu cette situation. Par principe c'est l'assureur qui est tenu d'assurer la liquidité des parts
et il faudrait une situation extrême pour en venir à une telle solution. Il faudrait lire en détail les conditions contractuelles pour savoir si ce serait envisageable (ce que je n'ai pas fait).
Je n'ai pas de réponse sûre mais en AV la question ne se pose pas vraiment: si le prix d'achat d'une SCPI baisse, vous pouvez l'acheter au nouveau prix sans en posséder auparavant.
Pareil en direct.
La création d'un marché secondaire correspondrait à une situation de crise permettant des transactions en dehors du marché normal.
Ce n'est que mon avis.
Moi aussi!!
Nota: je n'ai pas lu les posts précédents avant de poster moi-même.
C'est ce que je disais plus haut.D-Jack a dit:A propos d'évolutions et de tendances, de nombreuses entreprises de la High Tech outre Atlantique, et non des moindres (Google, Tesla, IBM...) demandent à leurs salariés de revenir au bureau, le tout télétravail s'étant révélé avoir un effet négatif sur la productivité, en particulier dans la R&D.
Donc les bureaux ont encore un avenir ... peut-être des bureaux différents il est vrai. Une dimension à prendre en compte par les SPCI dans leurs choix d'investissements.
Bof c'est une petite digression qui n'est pas totalement hors sujet mais pas vraiment d'actualité.Ekta a dit:Merci beaucoup @agra07 pour cette réponse étayée !
Je me demande si je ne devrais pas ouvrir un fil spécifiquement sur ce sujet (ce serait pratique si on pouvait y transférer les messages concernés) ? afin de ne pas polluer celui-ci (qui héberge néanmoins des digressions divertissantes...)est-ce @Buffeto qui arbitre ?
Pas du tout, le mouvement vers le télétravail avait connu une telle ampleur, sous la pression des salariés et de la crise covid, que certains gafam ont dû imposer (avec raison) une modération à marche forcée.Blister a dit:C'est ce que je disais plus haut.
Ce ne sont pas les salariés qui imposent les "nouvelles tendances" en matière de lieu de travail.
C'est l'employeur qui décide.
Votre exemple l'illustre très bien.
tu peux ouvrir un fil pas de soucisEkta a dit:Je me demande si je ne devrais pas ouvrir un fil spécifiquement sur ce sujet (ce serait pratique si on pouvait y transférer les messages concernés) ? afin de ne pas polluer celui-ci (qui héberge néanmoins des digressions divertissantes...)est-ce @Buffeto qui arbitre ?