Immobilier - la nouvelle donne

De mon côté j'ai depuis un certain temps une alerte lbc pour une maison pierre dans l'Ardèche. Je pense que dans 10 ans ce sera plus difficile à "toucher"
 
Vinpourcent a dit:
Je pense que dans 10 ans
déjà prévoir dans 1ans est compliqué alors dans 10 ans ......
 
Bon c'est vrai c'est un coin qui me plaît beaucoup, et en immobilier d'une part il vaut mieux n'acheter que là où on connaît, de plus quand l'affect s'en mêle ça fausse un peu...
 

La France va avoir besoin de presque 5 millions de nouveaux logements sur dix ans

Les promoteurs immobiliers donnent leur estimation des besoins en logements, qui évolue en fonction de la population et de la structure des foyers.
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La France est déjà un cauchemar sécuritaire dans les grandes et moyennes agglomérations, le constat va s'etendre. Car on entend bien qu'un tel accroissement ne se fera pas par le solde naturel mais bien par l'apport de gens sous qualifiés et sous eduqués
 
Vinpourcent a dit:
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La France est déjà un cauchemar sécuritaire dans les grandes et moyennes agglomérations, le constat va s'etendre. Car on entend bien qu'un tel accroissement ne se fera pas par le solde naturel mais bien par l'apport de gens sous qualifiés et sous eduqués

Et en tout cas certainement peu en capacite d acheter du neuf a 250kE.
 
Le quota SRU n'a pas fini de croître. D'un autre côté avec la mise en place progressive du plafonnement des loyers, taxation foncière majorée, dépréciation des droits du propriétaire vs occupant, il n'est pas certain que louer reste une activité lucrative ni même paisible
 
Vinpourcent a dit:
La France est déjà un cauchemar sécuritaire dans les grandes et moyennes agglomérations, le constat va s'etendre. Car on entend bien qu'un tel accroissement ne se fera pas par le solde naturel mais bien par l'apport de gens sous qualifiés et sous eduqués

Ce forum n'est pas le bon endroit pour déverser vos opinions politiques. On a déjà eu droit en 2022 en long en large et en travers à votre défense de Poutine, c'est possible de revenir au sujet, à savoir les finances personnelles ? Merci
 
Vinpourcent a dit:
Car on entend bien qu'un tel accroissement ne se fera pas par le solde naturel mais bien par l'apport de gens sous qualifiés et sous eduqués
Un avis bien tranché que je trouve déplacé (car faux) par rapport aux contributions habituelles de ce forum
 
Vinpourcent a dit:
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La France est déjà un cauchemar sécuritaire dans les grandes et moyennes agglomérations, le constat va s'etendre. Car on entend bien qu'un tel accroissement ne se fera pas par le solde naturel mais bien par l'apport de gens sous qualifiés et sous eduqués
Complètement hors-sujet et juste bon à créer de la polémique.
 
Vinpourcent a dit:
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La France est déjà un cauchemar sécuritaire dans les grandes et moyennes agglomérations, le constat va s'etendre. Car on entend bien qu'un tel accroissement ne se fera pas par le solde naturel mais bien par l'apport de gens sous qualifiés et sous eduqués
Je ne suis hélas pas abonné aux échos et je n'ai pu lire que le début de l'article.
Je suis quelque peu étonné si ce que vous transcrivez est la partie non-lisible par les non-abonnés. Ça ne donne pas envie de s'abonner.

Je comprends en tous cas un besoin en logement. Si on corrèle ça avec l'augmentation du prix du neuf et l'augmentation des taux on va avoir un sérieux problème de logements...
Et la baisse sur l'ancien ne devrait être que provisoire, surtout avec un besoin écologique qui pousse à freiner l'espace urbanisé. On devrait voir acheteurs privés et promoteurs s'intéresser aux terrains construits. Ou alors on n'a rien compris à l'urgence écologique.

Par contre c'est plutôt bon pour les retraites comme nouvelle ça non?
 
Je discutais avec deux agents immobiliers ces derniers jours, voici les tendances qu'ils m'ont décrites.

Le financement reste difficile. Moins à cause de l'usure et plus à cause des taux.
Les visites sont en berne notamment en raison du contexte: inflation, grèves etc...
Beaucoup de visiteurs "touristes".
Des visiteurs qui, bercés par la presse, font des offres 50 000€ en dessous du prix sur des biens dont le prix affiché correspond à l'estimation et parfois sur des biens à 250 000€. Ces offres n'aboutissent pas (donc 200 000€ au lieu de 250 000€ sur bien estimé à 250 000€).
Des acquéreurs très exigents des agents: exemple, rupture de la discussion car pas de réponse pendant 2h (agent en visites).

Donc là on est surtout sur un grippage du marché.
 
kaziklu a dit:
Je discutais avec deux agents immobiliers ces derniers jours, voici les tendances qu'ils m'ont décrites.

Le financement reste difficile. Moins à cause de l'usure et plus à cause des taux.
Les visites sont en berne notamment en raison du contexte: inflation, grèves etc...
Beaucoup de visiteurs "touristes".
Des visiteurs qui, bercés par la presse, font des offres 50 000€ en dessous du prix sur des biens dont le prix affiché correspond à l'estimation et parfois sur des biens à 250 000€. Ces offres n'aboutissent pas (donc 200 000€ au lieu de 250 000€ sur bien estimé à 250 000€).
Des acquéreurs très exigents des agents: exemple, rupture de la discussion car pas de réponse pendant 2h (agent en visites).

Donc là on est surtout sur un grippage du marché.

J'ai quand même un peu l'impression de lire entre les lignes que les vendeurs refusent de s'adapter à la nouvelle réalité des taux, et donc à la baisse des prix qui doit arriver. 250k (exemple) c'est peut-être le prix actuel du marché car aucune transaction ne se fait. C'est le prix d'hier mais le réajustement sur la nouvelle capacité d'achat des acheteurs n'a pas encore eu lieu. Faire des offres à -50k€ me parait une excellente idée. Car clairement, personne ne fait d'offre à 250k en ce moment, tout le monde attend...

Comme toujours, ça mettra 1-2 an pour infuser, le temps que les vendeurs intègrent que le 250k n'existe plus ;)
 
Ça dépend de la localisation ça. 250k effectivement, ça n'existe plus chez moi, mais pas dans le sens auquel vous pensez...

Comme dit par Kaziklu, le principal souci actuellement ce sont les taux. Ils sont tellement montés (et ils vont continuer de monter) qu'il est très difficile d'emprunter pour une bonne partie de la population. Il n'y a néanmoins pas de chute spectaculaire des prix, car il y a toujours un manque de logements. Et ça, ce n'est pas prêt de s'arranger...

Après il y a le contexte qui objectivement incite juste à rester dans son coin et faire le dos rond.

On va rentrer dans la période des mutations prochainement, dans certaines grosses entreprises, on s'inquiète déjà du fait de voir certains cadres les refuser.
 
moneymoneymaker a dit:
Comme dit par Kaziklu, le principal souci actuellement ce sont les taux. Ils sont tellement montés (et ils vont continuer de monter) qu'il est très difficile d'emprunter pour une bonne partie de la population. Il n'y a néanmoins pas de chute spectaculaire des prix, car il y a toujours un manque de logements. Et ça, ce n'est pas prêt de s'arranger...

Tant mieux pour vous (si vous êtes vendeur) si ça monte à certains endroits, en tout cas d'après MeilleursAgents, tout baisse, sans exception :
L’année 2023 commence au ralenti pour le marché immobilier. Alors que depuis début janvier, les prix au niveau national ont reculé de -0,2%, un autre évènement vient souligner le changement de tendance.
Depuis la fin 2022, tous les segments du marché ont basculé dans le rouge, un phénomène que nous n’avions pas observé depuis 2014. Si la capitale reste sans surprise orientée à la baisse (-0,4% au cours du mois écoulé), c’est désormais le cas de l’ensemble des communes du Top 10 (-0,4%) ainsi que celles du Top 50 (-0,1%). Les zones rurales qui, depuis l’épidémie de coronavirus, jouaient le rôle de locomotive du marché, continuent de voir leur prix chuter (-0,4%).

Qui dit taux en hausse dit budget en baisse, c'est assez mécanique, la question est plus le temps que le marché va mettre à l'intégrer, plus que de savoir s'il va l'intégrer... Après, ça reste des pronostics. Rendez-vous dans 2 ans ;)
 
Des dires des agences, ces acheteurs à -50 000€ sur des biens parfois à 250 000€ sont des acheteurs voulant faire des "bons coups" et les vrais acheteurs voulant se loger font le gros dos en ce moment.
Voilà ce sont des dires d'agences qui se recoupent et je trouvais intéressant de le partager.

Et à mon avis, tant que les agences diront aux vendeurs que leur bien vaut 250 000€ il sera difficile de faire passer une offre à 200 000€. Et une fois en prêt relai ce sera pire encore.
 
Je ne suis pas vendeur.

Je ne dis pas que ça ne baisse pas. Je dis que ça baisse très légèrement. Mais les gens pensent quand même que la moindre maison en vente va perdre 50K dans les six mois à venir. C'est faux. Et si ça arrive, c'est que le pays sera dans un sale état.

Par ailleurs, ne vous trompez pas, si l'immobilier baisse de façon significative, ce ne sont pas monsieur et madame tout le monde qui vont en sortir gagnant. Encore moins les primo-accédants qui auront été écartés du marché pour de bon via les taux.
 
Axiles a dit:
Tant mieux pour vous (si vous êtes vendeur) si ça monte à certains endroits, en tout cas d'après MeilleursAgents, tout baisse, sans exception
Je ne pense pas que la baisse soit contestée par les agences dans nos échanges. Ce qui est contesté c'est la tentative de "faire des coups" avec des prix bien en dessous de l'affichage.

Exemple sur mon bien. J'ai baissé depuis la mise en vente en concertation avec les agences (oui baisse des prix). Ce qui n'a pas empêché de recevoir des offres parfois en dessous du prix d'achat en 2016.
 
moneymoneymaker a dit:
Je ne dis pas que ça ne baisse pas. Je dis que ça baisse très légèrement. Mais les gens pensent quand même que la moindre maison en vente va perdre 50K dans les six mois à venir. C'est faux. Et si ça arrive, c'est que le pays sera dans un sale état.

- Nous avons des ménages qui font face à une forte inflation et dont les salaires ne suivent pas (sauf exception) cette inflation ou seulement partiellement, ce qui entraîne une perte de pouvoir d'achat et des craintes sur l'avenir (= moins de projet d'achats et des acheteurs moins solvables).

- Nous avons des taux d'intérêts qui ont triplé et des conditions d'accès au crédit qui ont été durcies ces dernières années (apport minimum exigés versus emprunt à 110 % il y a encore deux ans, règles sur le taux d'endettement maximal...).

Dans le même temps les prix de l'immobilier ont continué de monter et commencent à peine à baisser (et encore bien légèrement à l'échelle nationale) depuis un trimestre ou deux. Je ne vois pas en quoi une baisse de 20% ou 30% des prix serait un signe d'apocalypse, ce ne serait qu'un retour au prix d'il y a quatre ans, rien de bien choquant.

Proposer 200 000 sur un bien à 250 000, c'est une baisse de 20% les acheteurs ont raison de proposer un tel prix, c'est acheter au prix d'il y a 6 mois/1 ans à 250 000 Euros qui serait une erreur, vu l'évolution du contexte économique général.
 
kaziklu a dit:
Le financement reste difficile. Moins à cause de l'usure et plus à cause des taux.
cette semaine j'ai passé une heure en visio avec ma conseillère concernant un projet d'investissement immo .

pour moi c'est le contraire...pas de pb pour le taux d'endettement par contre ca passe pas niveau taux d'usure à cause de l'assurance
 
Buffeto a dit:
cette semaine j'ai passé une heure en visio avec ma conseillère concernant un projet d'investissement immo .

pour moi c'est le contraire...pas de pb pour le taux d'endettement par contre ca passe pas niveau taux d'usure à cause de l'assurance
Ha mince...
 
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