Membre33312 a dit:
Tiens, on m'appelle ? Mais on déforme mes propos, histoire de me forcer à répondre.
Allons donc, serait-il donc possible de vous forcer à répondre ? je n'ose y croire ...
Membre33312 a dit:
On peut investir à court terme sans être un "joueur de casino", ce qui est important, c'est la raison qui gouverne chaque investissement.
Il y aurait donc des raisons qui seraient louables (à vos yeux), et d'autres qui ne le seraient pas ?
Membre33312 a dit:
Quant à la définition de "boursicoter", je suis allé la chercher: "Faire de petites opérations de bourse".
En fonction de la taille des marchés et des échanges sur les titres dits "liquides", qui ont donc des volumes de transactions importants, les épargnants que nous sommes seront TOUS des boursicoteurs ; je me range donc dans la catégorie des épargnants, et pour la partie bourse également dans la catégorie des boursicoteurs ; c'est d'ailleurs à cause de ce vocable que je suis allé voir le contenu de cet article ...
Par contre, je ne me suis jamais considéré comme un investisseur !
Dans mon activité passée, c'était une toute autre chose, mais je n'étais pas détenteur privé des fonds gérés ...
Membre33312 a dit:
C'est donc une petite partie (très peu intéressante) du monde des actionnaires, distincte des épargnants et des investisseurs.
Vous en seriez donc à considérer que les boursicoteurs ne seraient pas des épargnants ?
Membre33312 a dit:
Il serait intéressant de dire dans quelle catégorie tu estimes appartenir, qui ne soit pas représentée dans l'article.
Pour vous être agréable, je vais venir compléter ultérieurement cette section ...
Pour rappel des résultats de l'étude :
- l’actionnaire individuel 2016 est plus fidèle, et 55% d’entre eux conservent leurs titres plus de 5 ans
Cette affirmation est pour moi incomplète, car qui dit fidélité, nécessite de préciser à quoi …
A l’entreprise dans laquelle on place quelques économies, durant plus ou moins longtemps ?
Si c’est le cas, pour moi la réponse est non, surtout sur une durée de 5 années, et je peux sortir complètement d'une position bien avant ce délai ; mais il n'y a rien de systématique …
A l'heure actuelle, je n'ai plus que des titres vifs logés dans un PEA (donc des supports éligibles), et je n'ai plus de compte titres ordinaire actif (fiscalité sur les PV aidant !) ; le reste de l'épargne actions se retrouve donc en assurance-vie au travers d'UC et autres OPCVM.
- 27% des sondés sont des actionnaires de circonstance, peu intéressés par la vie des entreprises mais en quête de rendement pour leur épargne, notamment en vue de la retraite.
Dans cette catégorie, il y a deux mots qui ne me correspondent pas vraiment : à savoir le rendement (les dividendes) et l’objectif de retraite ; car si tel était le cas, étant en retraite depuis plus 5 ans, je ne devrais plus me trouver autant investi en bourse, et vivre uniquement de revenus de substitution …
Ensuite, lorsque je me positionne pour détenir une ligne de quelques titres d’une entreprise, je m’intéresse à ce qu’elle fait sur un plan fondamental (position dans son secteur, évolution de son chiffre d’affaires et de ses résultats) ; ensuite, et pour la gestion des ordres, je me suis construit une logique (basée sur l’analyse technique), considérant que les analystes auront déjà décortiqué les tenants et aboutissants d’une évolution avant que je n'ouvre un oeil, et qu’il m’appartient juste de monter dans un des bons wagons ; mais je ne suis pour rien dans la gestion de la compagnie qui fait circuler ces wagons !
- le troisième groupe (19%) est l’actionnaire qui détient peu de lignes et cherche une rentabilité rapide.
Là aussi, cela manque de précision, car peu de lignes n’est (pour moi) pas significatif ; ensuite même en ne détenant que peu de lignes (5 par exemple), tout dépend du poids de chaque ligne … ; et l’épargnant détenant 25 titres différents, entre-t-il dans cette définition ?
- vient ensuite l’actionnaire amer (13%), très prudent et qui regrette son choix d’avoir investi en actions.
Là, je suis comme Edith Piaf, et je ne regrette rien de mon activité boursière !
Donc, aucune amertume d’être petit porteur d’actions ; je sais qu’il existe des risques à se positionner sur ces marchés, et j’en assume les conséquences (conduisant parfois à des pertes), mais que je tente de minimiser au maximum !
- reste enfin l’actionnaire financier (12%), très engagé, très investi, très dynamique dans sa gestion et en quête d’une rentabilité rapide.
Même si une rentabilité rapide n’est pas pour me déplaire, je ne me considère ni aussi investi, ni aussi dynamique que décrit dans cette section …