ZRR_pigeon
Top contributeur
vivien a dit:Si c'était le cas, cela se saurait, non ?????
les 15 jours (ou 30) s'appliquent aux relevés de compte et non au conditions particulières du pret immobilier (TEG, etc..)..
Suivez la vidéo ci-dessous pour voir comment installer notre site en tant qu'application web sur votre écran d'accueil.
Note.: Cette fonctionnalité peut ne pas être disponible dans certains navigateurs.
vivien a dit:Si c'était le cas, cela se saurait, non ?????
ZRR_pigeon a dit:les 15 jours (ou 30) s'appliquent aux relevés de compte et non au conditions particulières du pret immobilier (TEG, etc..)..
ZRR_pigeon a dit:je n'ajoute pas non plus les intérêts (négatifs) vu que c'est du sur-amortissement de capital (c'est comme si je faisais du remboursement anticipé partiel chaque mois sans frais).
ces intérêts négatifs sont donc fiscalement transparents...
j'ai juste ?
Je n'ai pas lu le jugment, mais je ne vois pas en quoi des intérêts négatifs pourraient se traduire par un suramortissement du capital. Pour moi un intérêt négatif est un produit financier, donc en toute logique devrait être imposable comme tel.ZRR_pigeon a dit:ces intérêts négatifs sont donc fiscalement transparents...
À mon avis non. À l'IR la déclaration se fait sur la base des produits et recettes effectivement perçus et payés au cours de l'année fiscale. Or la banque avait bien facturé des intérêts, refusant d'appliquer un taux négatif. Il fallait donc bien les déduire.ZRR_pigeon a dit:en toute logique ils devront faire une rectification de leurs declarations passées.
Si il les perçoit, puisque cela réduit sa dette. Fiscalement c'est bien un revenu, la réduction de la durée du prêt n'est qu'une conséquence accessoire.Aristide a dit:Ainsi que déjà fait remarquer, en trésorerie l'emprunteur ne perçoit pas réellement de produits financiers équivalent à la réduction des intérêts opérée jusqu'à en venir - éventuellement - à des intérêts négatifs.
Juloup a dit:Si il les perçoit, puisque cela réduit sa dette. Fiscalement c'est bien un revenu, la réduction de la durée du prêt n'est qu'une conséquence accessoire.
Aristide a dit:Cas d'école pour matérialiser :
Supposons une échéance de 100 payée un mois "m" avec 20 d'intérêts payés et 80 de capital amorti.
Quelques années plus tard du fait du non respect de la clause d'indexation, la banque est obligée de rectifier le tableau d'amortissement et l'échéance "m" concernée devient:
+ Échéance = 100
+ Amortissement = 100
+ Intérêts = 0
=> Le supplément d'amortissement réduira bien la durée
Mais comment peut-on dire qu'en trésorerie l'emprunteur a perçu 20 d'intérêts ?
Cdt
ZRR_pigeon a dit:.Pas de prescription non plus, la banque est condamnée à reconstruire le "vrai" tableau d'amortissement depuis le début du faux calcul, et ajuster les CRD.
agra07 a dit:Une autre question qui se pose est celle de la prescription en matière fiscale me semble-t'il ?
Aristide a dit:ZRR_Pigeon avait déjà précisé la position de la justice.
Cdt