InvestisseurInquiet
Contributeur régulier
Je vais vous donner une cinquième version, qui me semble assez crédible : vous aurez vraiment beaucoup de bol si vous revoyez votre fric.capman75 a dit:
Crowdfunding / Dette privée immobilière - plateformes, projets et avis
top_kek
Contributeur régulier
J'ai exactement les mêmes rapports pour un projet qui n'a a priori rien à voir, Hotel Monet par LIITA:capman75 a dit:
- 09/04/2024
Pour votre information, l’opérateur n’a pas honoré le paiement des coupons du mois d’avril.
Nous avons pris contact avec celui-ci afin qu’il procède à la régularisation de cet impayé, et restons pour le moment en attente de réception du virement. - 07/05/2024
Pour votre information, le prélèvement des coupons du mois de mai sont revenus en impayés.
Nous avons pris contact avec l’opérateur, et ce, à plusieurs reprises, et restons pour le moment en attente de son retour.
En l’absence de régularisation de la situation d’ici la fin du mois, nous transfèrerons ce dossier à notre service contentieux des affaires et mettrons l’opérateur en demeure d’honorer le paiement de ses coupons. - 11/06/2024
Pour votre information, le prélèvement des coupons du mois de juin est revenu en impayé.
Nous avons échangé avec l’opérateur, qui s’est engagé à régulariser la situation dans les plus brefs délais.
Bv75
Contributeur
J’ai une dizaine de projets chez eux avec ce type de copier coller qui se répète chaque mois sans qu’aucune action concrète ne soit mise en place. Rien de neuf chez ClubFunding…top_kek a dit:
laurentz
Membre
Bonjour, compte tenu de la situation des opérations comme Bordeaux Gambetta, DVIMP chez Clubfunding ou les Gentiannes, la Roseraie, les Clés d'Augustin chez Fundimmo un expert en fiscalité sur ce forum pourrait-il expliquer ou donner la référence des textes qui permettent de déduire les pertes liées au non remboursement de ces opérations et que fait-il obtenir des plateformes pas très loquaces sur le sujet des pertes.
Quelles sont exactement les conditions d'imputation de ces pertes sur les revenues de même nature.
Merci.
Quelles sont exactement les conditions d'imputation de ces pertes sur les revenues de même nature.
Merci.
Luciole49
Contributeur régulier
[Monego] [Hotel de Rusp]
Ne surtout pas souscrire à ce projet. Si Monego est une plateforme sérieuse elle va le retirer d'elle-même sinon elle sera responsable d'un défaut d'information vu qu'elle a été mise en garde par une autre plateforme.
Ne surtout pas souscrire à ce projet. Si Monego est une plateforme sérieuse elle va le retirer d'elle-même sinon elle sera responsable d'un défaut d'information vu qu'elle a été mise en garde par une autre plateforme.
djio101
Contributeur
Bravo et merci pour cette recommandation, mais je suis quand même sidéré... Comment les plateformes s'informent-elles donc sur les projets ??? C'est effrayant et on peut limite se demander si elles n'étaient pas bien au courant en amont quant aux dossiers foireux... No more crowdfunding...Luciole49 a dit:
Luciole49
Contributeur régulier
On ne peut pas imputer les pertes sur les revenus. On peut les imputer sur les pus values de même nature. Pour cela il faut que la perte soit certaine et pour que la perte soit certaine il est toléré que la société soit en liquidation judiciaire. Les pertes sont déductibles des pus values des 10 prochaines années.laurentz a dit:
ostibapa
Contributeur régulier
Monego est alerté depuis fin mai ou tout début juin - [Hotel de Ruso] était encore en phase de réservation - sur la situation de l'opération [Barberousse [lien réservé abonné]] sur [LPB] et portée par une autre société de l'emprunteur.Luciole49 a dit:
Pour autant la collecte a bien été ouverte et je n'ai pas vu de communication ou d'évolution sur le dossier de présentation.
Vous en tirerez les conclusions nécessaires...
Luciole49
Contributeur régulier
[petit miracle] [seror]
Le projet Cabrières remboursé à 50% à échéance. De l'espoir pour les nombreux autres projets de ce promoteur.
Le projet Cabrières remboursé à 50% à échéance. De l'espoir pour les nombreux autres projets de ce promoteur.
Voltrush
Contributeur régulier
[Wiseed] [Mont saint aignan]
Luciole49
Contributeur régulier
Je crois que il y a eu un mail de communication sur Barberousse et que je ne l'ai pas reçu parce que je tombe des nues aujourd'hui. Déjà le précédent je ne l'avais pas reçu.ostibapa a dit:
Anonyme
Des projets remboursés, ça existe encore?…Luciole49 a dit:
Luciole49
Contributeur régulier
Non Barberousse est pas remboursé au contraire çà va être mon premier gadin chez LPB. Pour Fundimmo je suis agréablement surprise pour Cabrières déjà classé dans les pertes.Membre64554 a dit:
ostibapa
Contributeur régulier
Il faut demander à LPB de vous remettre sur la mailing list de suivi de l'opération. Ca arrive de temps en temps qu'un destinataire saute.Luciole49 a dit:
je ne suis pas sur cette opé mais j'ai suivi les péripéties sur les réseaux.
Dernière modification:
Sylv
Contributeur
Reflexion du matin : beaucoup de projets tombent à cause de la situation financière dégradée de l'entreprise qui emporte tout (DMVIP, Ohayon...). Pourtant les plaquettes de projets détaillent principalement les projets et peuvent inclure 1 ou 2 bilans (récents ou pas) sans détails ni explications.
Ne serait il pas pertinent d'avoir un focus et une analyse plus forts sur la structure financière de l'entreprise? Réalisés par la plateforme et détaillés dans la présentation?
Ne serait il pas pertinent d'avoir un focus et une analyse plus forts sur la structure financière de l'entreprise? Réalisés par la plateforme et détaillés dans la présentation?
Delouves
Membre
[Fundimmo] [146 Versailles]
Remboursement ce jour du capital restant dû (22.3%) et des intérêts. Souscrit en oct 2020 pour une durée initiale de 24m, remboursé avec 19m de retard. Taux d'intérêt progressivement majoré de +2 à +5% ces 12 derniers mois. Il faut reconnaître que Fundimmo n'a pas trop mal manoeuvré sur ce coup là.
C'était mon projet le plus ancien encore vivant (les projets antérieurs non encore remboursés étant morts: Orphalese, HK Group...)
Plus qu'1 projet 2020 (chez Homunity
) et 68 projets au total en attente de remboursement... je continue de serrer les fesses...
Remboursement ce jour du capital restant dû (22.3%) et des intérêts. Souscrit en oct 2020 pour une durée initiale de 24m, remboursé avec 19m de retard. Taux d'intérêt progressivement majoré de +2 à +5% ces 12 derniers mois. Il faut reconnaître que Fundimmo n'a pas trop mal manoeuvré sur ce coup là.
C'était mon projet le plus ancien encore vivant (les projets antérieurs non encore remboursés étant morts: Orphalese, HK Group...)
Plus qu'1 projet 2020 (chez Homunity
) et 68 projets au total en attente de remboursement... je continue de serrer les fesses...InvestisseurInquiet
Contributeur régulier
Et les intérêts ?Luciole49 a dit:
Luciole49
Contributeur régulier
[LPB] [Le Barberousse] dommage que personne n'ai vu cet article avant la levée de fonds.
BRIGNOLES [lien réservé abonné] Vie locale [lien réservé abonné]
Romain Alcaraz Publié le 25/12/2021 à 18:01, mis à jour le 25/12/2021 à 18:01
Encore ouverte en milieu de semaine, l
Drôles de fêtes de fin d’année pour Myriam Naslin. À la tête de la boutique de prêt-à-porter Dyd’Jess, au 16-18 rue du Docteur-Barbaroux, elle a appris le classement en état de péril imminent de l’immeuble qui abrite son commerce. Conséquence : elle doit baisser le rideau. Quitter les lieux. À quelques jours de Noël.
Une catastrophe aux yeux de la commerçante : « Cette période de fête, avant le jour de l’an, avec les ventes privées, ou les soldes de janvier… C’est une des périodes les plus importantes pour ma boutique. »
Mais il faut s’y résoudre : le bâtiment n’offre plus les garanties de sécurité nécessaires pour accueillir des clients. Et si la semaine dernière Myriam Naslin avait ouvert son magasin, ce ne sera sans doute plus le cas aujourd’hui. « Je ne suis pas folle, je comprends que c’est dangereux, mais je pensais qu’un courrier officiel, des autorités allait m’être transmis. Je n’ai rien eu. »
C’est précisément cette absence de réponse, ce défaut de soutien, qui met en rogne la dame. « Face aux discours de la municipalité, la volonté de redynamisation du centre-ville, j’ai un doute. Surtout quand je vois la considération, la reconnaissance que je reçois. »
Elle poursuit : « Cela fait treize ans que je suis ici. Treize ans que je fais vivre le commerce à Brignoles. Alors bien sûr, c’est au propriétaire de me trouver une solution de relogement, comme le dit la loi. Mais la mairie sait bien qu’il ne le fera pas. Et elle ne m’a pas aidée. »
« Je n’ai jamais rien demandé, je suis discrète, mais je pensais qu’au bout de treize ans, on allait être un peu plus attentif à ma situation. »
Car aujourd’hui, avec son stock, et les loyers qui sont toujours réclamés par l’agence de gestion, elle ne sait pas quoi faire. « Je vais chercher un nouveau local, mais je ne suis pas sûre de vouloir rester à Brignoles, vu la considération que j’y ai reçu. C’est simple : je suis estomaquée du traitement que je reçois. »
Dépitée, Myriam Naslin se prépare à baisser le rideau. « Après la crise sanitaire, après les travaux dans la rue Barbaroux, je suis obligée de fermer. Et ce n’est pas par manque de clientèle. » Drôles de fêtes, décidément.
« Notre démarche a été de porter assistance. Les temps sont difficiles, et nous avons essayé de trouver une solution qui va dans le sens de la légalité, à savoir avec le propriétaire puisque si l’on s’en tient à la loi, c’est à lui de trouver un relogement. » D’où cette proposition, dans la même rue, mais qui demande certains aménagements (lire ci-contre). Si ces aménagements sont réalisés par le propriétaire (ce dont la commerçante doute sérieusement), il appartiendra à Myriam Naslin de « faire son choix ».
À suivre ?
La boulangerie qui fait l’angle entre la place Caramy et la rue du Docteur-Barbaroux a baissé le rideau, il y a quelques semaines.
Et ce n’est pas la disparition programmée du magasin de prêt-à-porter de Myriam Naslin qui va arranger les choses. Sans compter un autre bâtiment, lui aussi concerné par un arrêté de péril imminent, celui qui héberge la boulangerie Lafitau, fermée depuis plusieurs semaines.
Ce serait oublier un peu vite les « cinq ouvertures de commerces » programmées pour le premier trimestre de 2022. « Les nouveaux commerçants sont actuellement à l’œuvre pour aménager leurs locaux », souligne Catherine Delzers, adjointe au réaménagement du centre-ville et à l’activité commerciale. « Et d’autres continuent d’arriver, notamment place Saint-Louis », complète Didier Brémond, le maire.
"On va tout faire pour que les travaux soient réalisés"
Visiblement à pied d’œuvre pour accompagner le dynamisme du commerce du centre-ville, la municipalité doit donc composer avec des propriétaires sommés de faire des travaux. Ce qui n’est pas toujours simple. « On va tout faire pour que les travaux soient réalisés par les propriétaires concernés », assène le premier magistrat.
Il ajoute : « Quand on voit ce qu’on essaie de faire, et qu’on constate que les propriétaires ne sont pas démunis puisque des aides existent, ce n’est parfois pas évident… » Accompagnement technique avec VAD, subventions pour la rénovation des façades, aide financière dans le cadre de l’OPAH-RU… Encore faut-il les solliciter.
Tout cela ne dit pas quand les gourmandises de Lafitau vont de nouveau séduire les palais au centre-ville de Brignoles… « Des pistes ont été proposées à Jean-Charles Lafitau, nous auront des nouvelles en début d’année. » À l’an que ven.
BRIGNOLES [lien réservé abonné] Vie locale [lien réservé abonné]
Cette commerçante est contrainte de baisser le rideau juste avant Noël à Brignoles
Sous le coup d’un arrêté de péril imminent, l’immeuble qui abrite en son rez-de-chaussée la boutique de prêt-à-porter de Myriam Naslin doit être évacué. Un coup dur pour la commerçante.
Article réservé aux abonnésRomain Alcaraz Publié le 25/12/2021 à 18:01, mis à jour le 25/12/2021 à 18:01
Drôles de fêtes de fin d’année pour Myriam Naslin. À la tête de la boutique de prêt-à-porter Dyd’Jess, au 16-18 rue du Docteur-Barbaroux, elle a appris le classement en état de péril imminent de l’immeuble qui abrite son commerce. Conséquence : elle doit baisser le rideau. Quitter les lieux. À quelques jours de Noël.
Une catastrophe aux yeux de la commerçante : « Cette période de fête, avant le jour de l’an, avec les ventes privées, ou les soldes de janvier… C’est une des périodes les plus importantes pour ma boutique. »
Mais il faut s’y résoudre : le bâtiment n’offre plus les garanties de sécurité nécessaires pour accueillir des clients. Et si la semaine dernière Myriam Naslin avait ouvert son magasin, ce ne sera sans doute plus le cas aujourd’hui. « Je ne suis pas folle, je comprends que c’est dangereux, mais je pensais qu’un courrier officiel, des autorités allait m’être transmis. Je n’ai rien eu. »
C’est précisément cette absence de réponse, ce défaut de soutien, qui met en rogne la dame. « Face aux discours de la municipalité, la volonté de redynamisation du centre-ville, j’ai un doute. Surtout quand je vois la considération, la reconnaissance que je reçois. »
Elle poursuit : « Cela fait treize ans que je suis ici. Treize ans que je fais vivre le commerce à Brignoles. Alors bien sûr, c’est au propriétaire de me trouver une solution de relogement, comme le dit la loi. Mais la mairie sait bien qu’il ne le fera pas. Et elle ne m’a pas aidée. »
"Pas sûre de rester à Brignoles…"
En tout cas, pas assez aux yeux de la commerçante. Car dès la publication de la décision de l’expert, la mairie a bien reçu Myriam Naslin pour chercher une solution. « Nous avons visité un autre local, qui appartient au propriétaire. Il y a plein de travaux à réaliser pour envisager que je m’y installe. Chauffage, toilettes… Pourquoi pas ? Mais ça n’avance pas : je n’ai pas eu de nouvelle de ces travaux. »« Je n’ai jamais rien demandé, je suis discrète, mais je pensais qu’au bout de treize ans, on allait être un peu plus attentif à ma situation. »
Car aujourd’hui, avec son stock, et les loyers qui sont toujours réclamés par l’agence de gestion, elle ne sait pas quoi faire. « Je vais chercher un nouveau local, mais je ne suis pas sûre de vouloir rester à Brignoles, vu la considération que j’y ai reçu. C’est simple : je suis estomaquée du traitement que je reçois. »
Dépitée, Myriam Naslin se prépare à baisser le rideau. « Après la crise sanitaire, après les travaux dans la rue Barbaroux, je suis obligée de fermer. Et ce n’est pas par manque de clientèle. » Drôles de fêtes, décidément.
Ce que dit la mairie
« Nous avons fait tout ce qui était possible pour trouver une solution. » Sensible à « la détresse » de Myriam Naslin, Catherine Delzers, adjointe au réaménagement du centre-ville et à l’activité commerciale, souligne les efforts entrepris par la municipalité. « Nous avons fait notre maximum. Nous avons proposé un local qui nous appartient, rue Entraigues. » D’une taille relativement modeste, mais surtout situé dans une voie peu empruntée par les consommateurs, le site n’a pas convenu à la commerçante.« Notre démarche a été de porter assistance. Les temps sont difficiles, et nous avons essayé de trouver une solution qui va dans le sens de la légalité, à savoir avec le propriétaire puisque si l’on s’en tient à la loi, c’est à lui de trouver un relogement. » D’où cette proposition, dans la même rue, mais qui demande certains aménagements (lire ci-contre). Si ces aménagements sont réalisés par le propriétaire (ce dont la commerçante doute sérieusement), il appartiendra à Myriam Naslin de « faire son choix ».
À suivre ?
La boulangerie qui fait l’angle entre la place Caramy et la rue du Docteur-Barbaroux a baissé le rideau, il y a quelques semaines.
De nouveaux commerces en attendant les travaux
La rue du Docteur-Barbaroux, c’est un axe stratégique pour l’activité commerciale de Brignoles. La mairie l’a bien compris, comme le prouvent les travaux de réhabilitation menés cette année. Reste que tous les locaux commerciaux ne sont pas occupés entre la gare des cars et la place Caramy.Et ce n’est pas la disparition programmée du magasin de prêt-à-porter de Myriam Naslin qui va arranger les choses. Sans compter un autre bâtiment, lui aussi concerné par un arrêté de péril imminent, celui qui héberge la boulangerie Lafitau, fermée depuis plusieurs semaines.
Ce serait oublier un peu vite les « cinq ouvertures de commerces » programmées pour le premier trimestre de 2022. « Les nouveaux commerçants sont actuellement à l’œuvre pour aménager leurs locaux », souligne Catherine Delzers, adjointe au réaménagement du centre-ville et à l’activité commerciale. « Et d’autres continuent d’arriver, notamment place Saint-Louis », complète Didier Brémond, le maire.
"On va tout faire pour que les travaux soient réalisés"
Visiblement à pied d’œuvre pour accompagner le dynamisme du commerce du centre-ville, la municipalité doit donc composer avec des propriétaires sommés de faire des travaux. Ce qui n’est pas toujours simple. « On va tout faire pour que les travaux soient réalisés par les propriétaires concernés », assène le premier magistrat.
Il ajoute : « Quand on voit ce qu’on essaie de faire, et qu’on constate que les propriétaires ne sont pas démunis puisque des aides existent, ce n’est parfois pas évident… » Accompagnement technique avec VAD, subventions pour la rénovation des façades, aide financière dans le cadre de l’OPAH-RU… Encore faut-il les solliciter.
Tout cela ne dit pas quand les gourmandises de Lafitau vont de nouveau séduire les palais au centre-ville de Brignoles… « Des pistes ont été proposées à Jean-Charles Lafitau, nous auront des nouvelles en début d’année. » À l’an que ven.
Luciole49
Contributeur régulier
Les intérêts ont été versés sous forme de capital ce qui me paraît bien prudent. Et l'opérateur sommé de verser le reste. Il a utilisé l'argent à d'autres fins, avec quoi a-t-il remboursé ? Enfin c'est quand même très encourageant. Pas comme LYMO qui fait un enième Webinaire pour nous expliquer où en est la procédure qui va permettre de nous désintéresser un petit peu après avoir exclus les obligataires de la masse des créanciers en leur passant de la vaseline pour prolonger l'emprunt et échapper à la cessation de paiements. Malheureusement les Tribunaux de commerce ne feront rien parce que même s'ils se réveillent un peu la CA infirmera en expliquant ne pas avoir la preuve que le dirigeant avait conscience qu'il escroquait les investisseurs.InvestisseurInquiet a dit:
InvestisseurInquiet
Contributeur régulier
50%, intérêts en dedans, de l'un des plus petits projets en cours, on se rassure comme on peut...Luciole49 a dit:
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