Commission d'intervention : la Banque Populaire condamnée

Les cartes à interrogation ont communication du solde à un instant t souvent le solde de la veille au soir, et pas celui de l'heure ou à lieu la transaction.

Ex : solde du soir à 100 € pas d'autorisation de découvert.

Dans la nuit des opérations passent en compte et solde à 0 € la matin. En fin de matinée achat CB de 50 €. L'interrogation dira ok car le solde retenu est celui de 100 € de la veille. Et paf découvert, agios et commissions, car solde réel avant paiement 0 € et après paiement accepté malgré l'interrogation et sans forcage -50 €.

Donc il y a de l'amélioration a faire, ce n'est que technique, ca finira bien par venir. Sinon on n'acceptera que les carte Revolving chez les commercants, et les banquiers seront ravis ;)
 
BandePopulaire a dit:
Dans tous les cas, et c'est le sujet, la commission d'intervention ne peut s'appliquer (voir site attaché au profil). C'est pourquoi la Banque Populaire a été condamnée. Elle n'a pas su se "contenter" des intérêts débiteurs !

La gourmandise est un péché capital !

Ne mélangeons pas tout : j'essaye juste de vous expliquer que le fonctionnement que vous proposer sur les contrôles de provision n'est pas simple à mettre en place.

Revenons sur le sujet : les commissions d'intervention abusives et la condamnation de la BP.

A aucun moment, je n'ai pas contredit les faits.
Et je suis d'accord qu'il y a eu des pratiques abusives effectuées sur ce cas.
 
Discussion intéressante où je me suis aperçu que je n’étais pas seul à subir les pratiques malhonnêtes de la BPSO. M’appuyant sur l’arrêt de la Cour de Cassation du 5 février 2008, j’ai écrit au service client de la banque en recommandé avec avis de réception, afin d’avoir le TEG des frais d’écritures retirés. N’ayant pas de réponse malgré les nombreuses relances téléphoniques, j’ai demandé l’intervention du directeur général de la banque, également en recommandé avec avis de réception. Le service juridique de la banque m’a en fin répondu que la cour d’appel de Bordeaux avait tranché le différend dans un arrêt N° 06/00028 du 12 décembre 2006. Mais je ne connais toujours pas le TEG des frais facturés.
 
j'ai egalement "testé" la bande populaire et trouve inadmissible leur mode de fonctionnement.....
 
vivienne a dit:
Bonjour,

Il est intéressant de rapprocher ce jugement qui n'a pas l'objet d'appel (???) de l'arrêt de la Cour de Cassation du 05 Février 2008 déjà évoqué dans d'autres posts.

Le jugement est un jugement en "dernier ressort". En effet, compte tenu du fait que le remboursement demandé (439 €), est inférieur au seuil de 4000 €, la Banque Populaire ne pouvait faire appel de la décision.

Le sachant, il parait surprenant que la Banque Populaire du Sud-Ouest ait voulu rendre l'affaire publique avec l'autorité d'une décision de justice.

La Banque a parié (à ses dépens), que compte tenu de la mise de fonds (coût de l'avocat), et du montant relativement "faible", nous allions laisser tomber l'affaire.

Mais le Banquier ne connait pas toujours bien ses clients ... En étant presque sûr de l'issue favorable, il y a peu de risque financier. Au final, c'est la Banque Populaire qui a payé l'avocate ... et qui hérite d'une bonne publicité (voir le site)
 
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