Vanille95
Contributeur régulier
Bonjour,
Je me permets de vous soumettre un cas qui concerne l’un de mes amis.
Cette personne a ouvert un CEL dans une banque en 2002. Depuis cette époque, le CEL est alimenté par des virements mensuels de 200 euros en provenance de son compte courant.
Au 31 janvier dernier, ce CEL présentait un solde de 15.126,27 (14.400 euros de versements en capital, le reste en intérêts cumulés arrêtés au 31/12/2008).
Le 10 février (puisque les virements avaient lieu le 10), le versement de 200 ne s’est pas effectué automatiquement parce que le solde du compte allait dépasser 15.300 euros (explication donnée par un conseiller clientèle).
La législation (et le site internet de ladite banque) précisent bien que le total des versements ne peut excéder 15.300 euros en capital ; en conséquence, mon ami pense pouvoir encore verser 900 euros sur son CEL (14.400 + 900 = 15.300)… mais la banque de l’entend pas de cette façon. Pour elle, le solde est presque atteint, et il n’est possible de verser que 173,73 euros (soit 15.300 – 15.126,27).
A ce jour, cet ami a adressé près d’une dizaine de mails au Service Relation Clients ainsi qu’au Service Qualité de la banque.
Je vous passe les réponses par mails toutes plus fantaisistes les unes que les autres (il y aurait de quoi écrire un bêtiser) qu’à reçu cet ami. Certaines réponses demandaient que le client adresse un fax afin que les virements manquants soient traités manuellement (ce qui a déjà été fait par trois fois, en vain), d’autres réponses prétendaient que le prochain virement ne pouvait dépasser 173,73 euros.
A aucun moment, la banque n’a admis que le solde en capital s’élevait seulement à 14.400 euros (heureusement, cet ami est un gars très organisé, il dispose de tous les relevés de compte depuis l’ouverture et il a refait tous les calculs sur un tableur).
Il envisage donc de saisir le médiateur afin de débloquer la situation ; il en fait plus une question de principe qu’autre chose (d’autant que le même problème va probablement se poser pour son LDD ex-CODEVI… mais c’est une autre histoire).
Amis banquiers de terrain, vous qui êtes confrontés au quotidien aux contraintes de vos systèmes informatiques, que pensez-vous de cette situation ?
Merci de vos retours.
Cordialement.
Je ne vous communiquerai pas le nom de la banque
Je me permets de vous soumettre un cas qui concerne l’un de mes amis.
Cette personne a ouvert un CEL dans une banque en 2002. Depuis cette époque, le CEL est alimenté par des virements mensuels de 200 euros en provenance de son compte courant.
Au 31 janvier dernier, ce CEL présentait un solde de 15.126,27 (14.400 euros de versements en capital, le reste en intérêts cumulés arrêtés au 31/12/2008).
Le 10 février (puisque les virements avaient lieu le 10), le versement de 200 ne s’est pas effectué automatiquement parce que le solde du compte allait dépasser 15.300 euros (explication donnée par un conseiller clientèle).
La législation (et le site internet de ladite banque) précisent bien que le total des versements ne peut excéder 15.300 euros en capital ; en conséquence, mon ami pense pouvoir encore verser 900 euros sur son CEL (14.400 + 900 = 15.300)… mais la banque de l’entend pas de cette façon. Pour elle, le solde est presque atteint, et il n’est possible de verser que 173,73 euros (soit 15.300 – 15.126,27).
A ce jour, cet ami a adressé près d’une dizaine de mails au Service Relation Clients ainsi qu’au Service Qualité de la banque.
Je vous passe les réponses par mails toutes plus fantaisistes les unes que les autres (il y aurait de quoi écrire un bêtiser) qu’à reçu cet ami. Certaines réponses demandaient que le client adresse un fax afin que les virements manquants soient traités manuellement (ce qui a déjà été fait par trois fois, en vain), d’autres réponses prétendaient que le prochain virement ne pouvait dépasser 173,73 euros.
A aucun moment, la banque n’a admis que le solde en capital s’élevait seulement à 14.400 euros (heureusement, cet ami est un gars très organisé, il dispose de tous les relevés de compte depuis l’ouverture et il a refait tous les calculs sur un tableur).
Il envisage donc de saisir le médiateur afin de débloquer la situation ; il en fait plus une question de principe qu’autre chose (d’autant que le même problème va probablement se poser pour son LDD ex-CODEVI… mais c’est une autre histoire).
Amis banquiers de terrain, vous qui êtes confrontés au quotidien aux contraintes de vos systèmes informatiques, que pensez-vous de cette situation ?
Merci de vos retours.
Cordialement.
Je ne vous communiquerai pas le nom de la banque
- Parce que cela n’apporterait rien de plus à l’affaire
- Parce que je ne souhaite pas courir le risque de voir l’administrateur du site assigné en justice