agra07
Contributeur régulier
Désolé, je ne partage pas cette analyse.Triaslau a dit:En gros ce qu’il veut dire c’est que vous ne pouvez pas choisir au profit de qui vous renoncez. Si vous renoncez c’est comme si vous disparaissiez de la clause mais ce n’est pas vous qui décidez à qui ça va, c’est la clause qui décide.
le plus souvent la clause va dire, monsieur x, à défaut ses enfant et bien effectivement monsieur x peut renoncez et ses enfants auront.
Mais si la clause dit monsieur x à défaut madame y, alors monsieur x ne peut pas renoncer pour ses enfants, si il renonce c’est madame y qui bénéficie.
Et ainsi de suite. C’est pour ça que dans le cas indiqué, je suis sur que ce n’est juste pas la meme clause entre les deux contrats... Il suffit vraiment d’un mot voire d’une virgule pour changer le sens d’une clause.
Pour moi les termes "à défaut" s'appliquent lorsque la personne est décédée.
Alors que l'acte de renonciation concerne une personne vivante.
Il me semble d'ailleurs que la renonciation ne pourrait s'exercer, dans le cas de l'assurance vie, qu'au profit de ses propres enfants.
Tout ceci mériterait toutefois d'être infirmé ou confirmé par des textes officiels.
En toute hypothèse, se serait bien que @MGI mette les clauses bénéficiaires des trois contrats en ligne pour vérifier s'il s'agit d'une rédaction ou bien d'une interprétation différente.