C6BIEN
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Hello, à aucun moment vous songez à la valorisation de la part ? il n'y a pas que le "dividende" à prendre en compte.... Je dis ça parce que vu l'état du marché immo, partir maintenant en SCPI....
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Nous découvrons et il y a encore beaucoup de choses qui nous échappent.C6BIEN a dit:Hello, à aucun moment vous songez à la valorisation de la part ? il n'y a pas que le "dividende" à prendre en compte....
non ....C6BIEN a dit:(c'est peut être pour cela que les entrepôts et bureaux poussent comme des champignons)
Au début tout parait complexe... puis on apprend petit à petitjeya a dit:Comment arrivez-vous à ces résultats / informations (quel outils / source ?) ?
L'idée est intéressante car dans ce cas, le démembrement me permet d'augmenter mon nombre de part.
Il n'empêche que ça reste complexe comme produit.
jeya a dit:Nous découvrons et il y a encore beaucoup de choses qui nous échappent.
Cela dit, la valorisation de la part est bien prise en compte. Par exemple sur Corum Origin, elle a pris 13,5% en 10 ans.
Notre objectif reste de trouver un complément de retraite mensuel afin de percevoir, tous les mois, une certaine somme qui viendrait gonfler un peu les comptes. Et pour le coup, c'est plutôt le boulot du dividende ça. Alors que la valeur de la part ce serait plutôt pour la succession...
L'idée de réinvestir le dividende avant la retraite, c'est aussi et justement pour augmenter le nombre de part.
Tout comme le démembrement en début de placement.
Mais nous faisons peut-être fausse route ? (Sans parler de la fiscalité qui n'est pas encore un sujet clair).
C'est à dire ?C6BIEN a dit:13,5% en 10 ans, cela me laisse songeur compte-tenu des 10 dernières années sur l'immo
J'ai pourtant lu un paquet de choses sur leur site. Il faudrait que je creuse encore (il y a aussi pas mal de PDF).Vegas a dit:Les informations que je vous ai transmises sont issues directement de CORUM.
Éclaircissant, merci.Vegas a dit:Pendant la phase de démembrement, vous ne percevez pas de revenus locatifs. À ce titre, la fiscalité sur les revenus est nulle et les parts ne sont pas prises en compte dans le calcul de l'IFI. Cependant, vous continuez de bénéficier des augmentations du prix de part et des plus-values en cas de cessions d’immeubles.
Le démembrement s'inscrit dans une démarche d'éviter pendant une durée X la fiscalité des revenus, de bénéficier d'une réduction sur le prix d'achat des parts, et de préparer l'avenir en percevant des revenus locatifs à l'issue de la période de démembrement. Cela me parait vraiment adapté à votre cas.
Quant au choix entre démembrement et versement immédiat des dividendes... je pense que cela dépend si vous souhaitez que les revenus locatifs remboursement une partie du crédit.
Réinvestir les dividendes tous les mois me paraît moins avantageux que le démembrement.
Les 7 ans, ce ne sont pas la durée de placements, mais de financement.KBel a dit:Vu les taux actuels et la durée de 7 ans envisagées, l'acquisition à crédit ne me semble pas la meilleure option (mais elle peut être un peu intéressante quand même)
C'est ça le problème, autant il est facile de simuler les placements avec les éléments dispos à l'instant T ou passés. Autant, il est difficile de se projeter, et cela clairement par méconnaissance.KBel a dit:Il faut faire des simulations chiffrées pour chaque option. Et faire ces simulations pour différents scénarios, y compris des baisses de valeurs de part et/ou de rendement
Oui, mais c'est toujours pareil. Comment calculer tout ça ? Et choisir les types, les ratios, etc... ?KBel a dit:une chose importante en SCPI c'est d'avoir un portefeuille un peu diversifié sur 3, 4 SCPI. Cela permet de ne pas trop subir si l'une performe mal.
Suivant vos moyens, vous pouvez par exemple faire plusieurs opérations en même temps (une acquisition à crédit, une en démembrement, une en AV) sur 3 trois SCPI différentes.
oui je parlais bien du financement. 7 ans pour un crédit SCPI c'est courtjeya a dit:Les 7 ans, ce ne sont pas la durée de placements, mais de financement.
J'étais à peu près dans la même situation que vous il y a 2 ans : une capacité d'épargne et d'endettement, un horizon personnel assez clair et aucune envie de gérer de l'immo locatif en direct. Les taux étant bas, le choix était beaucoup plus simple. J'ai fait une opération à crédit et maintenant j'investis principalement via AV et un peu en direct.jeya a dit:C'est ça le problème, autant il est facile de simuler les placements avec les éléments dispos à l'instant T ou passés. Autant, il est difficile de se projeter, et cela clairement par méconnaissance.
Par exemple, avec le départ de nos enfants, je penses que notre imposition est vouée à grimper en conséquence. Je ne sais pas si elle passera un jour à 30%, mais il n'y a rien d'impossible... Du coup, il faut intégrer ça + la fiscalité relative aux placements choisis + les impondérables... C'est là que que ça se complique. Par quel bout commencer ?
Je rappelle notre objectif : trouver un placement dynamique (plus risqué qu'un fond euro, mais moins que les cryptos... Donc disons risque "moyen" à 4-5 sur 7) qui pourrait nous assurer mensuellement une rente complémentaire une fois à la retraite. Pourquoi la piste SCPI ? Parce que la première idée était l'achat en immobilier locatif ; mais les contraintes ne nous conviennent pas. Donc l'idée seconde, serait de profiter de notre capacité d'endettement pour en investir une fraction (via crédit donc) dans la SCPI, qui reste un placement immobilier.
Actuellement (et pour encore une dizaine d'années, nous avons 3 parts fiscales, un TMI dans la moyenne basse du 11%, des revenus stables, en progression régulière.
Et nous avons tout juste la quarantaine (donc un horizon potentiel sur 25 ans (voire 30 ans).
Actuellement, nous pourrions faire un effort d'épargne de l'ordre de 200 euros/mois (tout compris, fiscalité inclue).
Voilà, si vous aviez des tableurs ou des liens de simulateurs, ou même d'explications, pour comprendre notamment les fiscalités induites et pour faire des projections/comparatifs, nous serions preneurs. Car pour le moment, nous n'arrivons pas à nous orienter (et ce sujet, très intéressant au demeurant, amène plus de questions/propositions qu'il n'en résout).
[lien réservé abonné]jeya a dit:C'est à dire ?
J'ai pourtant lu un paquet de choses sur leur site. Il faudrait que je creuse encore (il y a aussi pas mal de PDF).
Éclaircissant, merci.
Il faudrait que je trouve un simulateur, ou au moins une trame, qui me permette de faire mes calculs et projections (placements, rendements, fiscalité) parce que pour le moment je nage.
Mes 2 banques généralistes me renvoient vers leur conseiller en gestion de patrimoine. Mais nous sommes frileux avec ce type de commerciaux nageant, par définition, en plein conflit d'intérêt (expérience plus que largement vécues).
jeya a dit:Les 7 ans, ce ne sont pas la durée de placements, mais de financement.
C'est ça le problème, autant il est facile de simuler les placements avec les éléments dispos à l'instant T ou passés. Autant, il est difficile de se projeter, et cela clairement par méconnaissance.
Par exemple, avec le départ de nos enfants, je penses que notre imposition est vouée à grimper en conséquence. Je ne sais pas si elle passera un jour à 30%, mais il n'y a rien d'impossible... Du coup, il faut intégrer ça + la fiscalité relative aux placements choisis + les impondérables... C'est là que que ça se complique. Par quel bout commencer ?
Je rappelle notre objectif : trouver un placement dynamique (plus risqué qu'un fond euro, mais moins que les cryptos... Donc disons risque "moyen" à 4-5 sur 7) qui pourrait nous assurer mensuellement une rente complémentaire une fois à la retraite. Pourquoi la piste SCPI ? Parce que la première idée était l'achat en immobilier locatif ; mais les contraintes ne nous conviennent pas. Donc l'idée seconde, serait de profiter de notre capacité d'endettement pour en investir une fraction (via crédit donc) dans la SCPI, qui reste un placement immobilier.
Actuellement (et pour encore une dizaine d'années, nous avons 3 parts fiscales, un TMI dans la moyenne basse du 11%, des revenus stables, en progression régulière.
Et nous avons tout juste la quarantaine (donc un horizon potentiel sur 25 ans (voire 30 ans).
Actuellement, nous pourrions faire un effort d'épargne de l'ordre de 200 euros/mois (tout compris, fiscalité inclue).
Voilà, si vous aviez des tableurs ou des liens de simulateurs, ou même d'explications, pour comprendre notamment les fiscalités induites et pour faire des projections/comparatifs, nous serions preneurs. Car pour le moment, nous n'arrivons pas à nous orienter (et ce sujet, très intéressant au demeurant, amène plus de questions/propositions qu'il n'en résout).
J'ai suivi ce conseil.KBel a dit:Si vous voulez le faire vous même, partez avec une SCPI fictive qui n'augmente jamais son prix de part, délivre 4.5% par an et regardez ce que ca donne au bout de 15 ans (ou+) avec les différentes options.
Je m'auto réponds à cette question bête... En fait, c'est la revalorisation de la valeur des parts dut à la clôture du démembrement.jeya a dit:Par contre, je ne comprends pas la formule qui fait que mon capital passe de 50 000 à 94 000 euros à partir de l'année 21 ?
Attention la clé de répartition est de 55 pour 20 ans sur Corum Origin... Je sais qu'à un endroit c'est écrit 47% mais c'est bien 45% de réduction sur le prix de la part. Pas 601,55 mais 624,25€ par part sur 20 ans donc.jeya a dit:Je m'auto réponds à cette question bête... En fait, c'est la revalorisation de la valeur des parts dut à la clôture du démembrement.
Pour Corum Origin, ça donne, avec une valeur de part de 1135 euros et une clé de 53% :
1135 X 53% = 601,55 euros/part.
Avec 50 530,2 euros je pourrais donc obtenir 84 parts.
A la fin du démembrement, ça ferait (valeur de part inchangée) :
50 530,2 + 84(1135 - 601,55) = 95 340 euros.
jeya a dit:Effectivement, j'ai d'anciens chiffres. Le principal étant que j'ai compris le mécanisme. ;-)
Je continue mes recherches, je viens de m'inscrire sur le Louve Investb.J'aime bien, c'est plutôt limpide comme site.
Concernant la fiscalité. Les loyers/dividendes perçus sont bien imposés comme un salaire ?
Si la SCPI est investie hors France, la fiscalité est fonction du pays. Si c'est en France, pour tout ou partie, la portion française est fiscalisée comme suit :
TMI + 17.2%. Donc pour 100 euros de loyer perçu (net de charge), j'aurais 28,2 euros d'impôts à payer.
Sachant qu'en plus, étant considéré comme un salaire, ça peut faire monter le TMI (franchissement de palier 11 > 30% par exemple) ?
jeya a dit:Je rappelle notre objectif : trouver un placement dynamique (plus risqué qu'un fond euro, mais moins que les cryptos... Donc disons risque "moyen" à 4-5 sur 7) qui pourrait nous assurer mensuellement une rente complémentaire une fois à la retraite. Pourquoi la piste SCPI ? Parce que la première idée était l'achat en immobilier locatif ; mais les contraintes ne nous conviennent pas. Donc l'idée seconde, serait de profiter de notre capacité d'endettement pour en investir une fraction (via crédit donc) dans la SCPI, qui reste un placement immobilier.
Actuellement (et pour encore une dizaine d'années, nous avons 3 parts fiscales, un TMI dans la moyenne basse du 11%, des revenus stables, en progression régulière.