stoosh
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Bonjour,
Je me tourne vers vous dans le but d'avoir quelques éclaircissements.
En janvier 2010, ma banque refuse le paiement d'un chèque faute de provisions sur le compte (je suis client de cette banque depuis 30 ans, sans incident, et le-dit compte fut approvisionné moins d'une semaine plus tard, mais passons...).
Je suis donc dès lors inscrit au fichier central des chèques, ok.
Le commerçant étant aux USA, il m'est difficile de récupérer le chèque refusé mais, comme ce n'était pas mon premier achat chez lui, je lui fais parvenir un autre chèque, qu'il encaisse. Ma commande est donc réglée.
(Oui, je sais bien, ne surtout pas faire cela, toujours récupérer le chèque refusé avant d'en faire un autre. Mais ma confiance n'était pas déplacée, le chèque n'a jamais été représenté).
Entre les différents mails échangés avec le commerçant, ma nonchalance naturelle et le peu d'utilité que j'ai d'un chéquier, le temps file.
Courant mai 2013, alors que je passe à mon agence bancaire pour un renouvellement de carte bleue, l'employée qui me reçoit me rappelle que, n'ayant jamais présenté à ma banque le chèque refusé, je suis toujours inscrit au FCC.
Elle m'indique alors qu'il suffit de créer une provision virtuelle pour ce chèque et que, s'il n'a pas été représenté d'ici un an, l'incident sera clos.
Qui plus est "virtuelle" indiquant que l'argent de cette provision ne sera pas débité de mon compte.
J'accepte.
Elle clique.
C'est fait.
Je suis très surpris par l'extrême simplicité de la procédure : ni document, ni signature.
Pourquoi n'avoir donc pas fait ce "clic" aussitôt l'incident arrivé, si un simple geste du menton en signe d'acquiescement, autant dire rien, était suffisant ?
Mais peu importe, me dis-je, sans doute encore une obscure astuce de banquier, et ma nonchalance (toujours elle) complimente mon menton pour avoir fait le nécessaire afin de régler l'incident grâce à cette virtuelle provision.
Virtuelle ?
Voilà qu'au cours du moi d'octobre 2013, je vois être débitée de mon compte la somme dudit chèque.
Je me rapproche donc de mon agence qui m'explique alors que, suite à un changement de logiciel, les sommes jadis virtuelles pour provisions des chèques refusés sont désormais réelles.
Magie-magie.
Et là, je m'interroge doublement :
Comment est-il possible que ma banque, sans aucune autorisation concrète de ma part (comme la signature d'un document), puisse effectuer des opérations sur mon compte ?
Comment est-il possible que, si mon accord verbal peut tenir lieu d'acceptation contractuelle, une des parties puisse modifier les termes de ce contrat sans avenant, sans même en informer l'autre partie ?
Bref, nonchalant ou pas, j'ai le sentiment que ma banque me prend pour un couillon.
Qu'en pensez-vous ?
Merci
Je me tourne vers vous dans le but d'avoir quelques éclaircissements.
En janvier 2010, ma banque refuse le paiement d'un chèque faute de provisions sur le compte (je suis client de cette banque depuis 30 ans, sans incident, et le-dit compte fut approvisionné moins d'une semaine plus tard, mais passons...).
Je suis donc dès lors inscrit au fichier central des chèques, ok.
Le commerçant étant aux USA, il m'est difficile de récupérer le chèque refusé mais, comme ce n'était pas mon premier achat chez lui, je lui fais parvenir un autre chèque, qu'il encaisse. Ma commande est donc réglée.
(Oui, je sais bien, ne surtout pas faire cela, toujours récupérer le chèque refusé avant d'en faire un autre. Mais ma confiance n'était pas déplacée, le chèque n'a jamais été représenté).
Entre les différents mails échangés avec le commerçant, ma nonchalance naturelle et le peu d'utilité que j'ai d'un chéquier, le temps file.
Courant mai 2013, alors que je passe à mon agence bancaire pour un renouvellement de carte bleue, l'employée qui me reçoit me rappelle que, n'ayant jamais présenté à ma banque le chèque refusé, je suis toujours inscrit au FCC.
Elle m'indique alors qu'il suffit de créer une provision virtuelle pour ce chèque et que, s'il n'a pas été représenté d'ici un an, l'incident sera clos.
Qui plus est "virtuelle" indiquant que l'argent de cette provision ne sera pas débité de mon compte.
J'accepte.
Elle clique.
C'est fait.
Je suis très surpris par l'extrême simplicité de la procédure : ni document, ni signature.
Pourquoi n'avoir donc pas fait ce "clic" aussitôt l'incident arrivé, si un simple geste du menton en signe d'acquiescement, autant dire rien, était suffisant ?
Mais peu importe, me dis-je, sans doute encore une obscure astuce de banquier, et ma nonchalance (toujours elle) complimente mon menton pour avoir fait le nécessaire afin de régler l'incident grâce à cette virtuelle provision.
Virtuelle ?
Voilà qu'au cours du moi d'octobre 2013, je vois être débitée de mon compte la somme dudit chèque.
Je me rapproche donc de mon agence qui m'explique alors que, suite à un changement de logiciel, les sommes jadis virtuelles pour provisions des chèques refusés sont désormais réelles.
Magie-magie.
Et là, je m'interroge doublement :
Comment est-il possible que ma banque, sans aucune autorisation concrète de ma part (comme la signature d'un document), puisse effectuer des opérations sur mon compte ?
Comment est-il possible que, si mon accord verbal peut tenir lieu d'acceptation contractuelle, une des parties puisse modifier les termes de ce contrat sans avenant, sans même en informer l'autre partie ?
Bref, nonchalant ou pas, j'ai le sentiment que ma banque me prend pour un couillon.
Qu'en pensez-vous ?
Merci
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