Alec a dit:
en cas de séparation je pense que c'est le lot de tous le monde d'avoir deux salaires différents, voire meme un seul salaire, donc ça c'est un autre sujet meme si je suis conscient qu'il faut toujours tout envisager.
Une phrase m'a fait prendre conscience il y a quelques temps du problème :
en cas de séparation, que ce soit mariage, pacs ou concubinage, il n'y a pas de problème sauf si le couple a des enfants ou des biens en commun.
Comme pour les enfants, on ne peux pas prévoir à l'avance, pour les biens, il me semble pertinent de prévoir.
Je vous dit cela afin que si le problème survient, il n'y ait pas un des conjoints qui a financer 80% de la RP, et que la RP est divisé en 2 parts égales. Dans ce cas, si la séparation se passe mal, il y a un risque de dégénérer en bataille juridique! (et particulièrement couteuse)
Tout ça pour dire : garder de côté pour faire un apport à la RP, si madame finance davantage via le prêt, cela fera un financement à 50/50. (donc une propriété payé de manière équivalente)
Dans l'absolu, je situe le locatif après la RP.
Dans votre cas en particulier : un achat locatif peux être mauvais.
Tout d'abord vous perdez une partie de votre capacité d'endettement. Celle de madame ne sera peut être pas suffisant pour financer la RP, surtout si toute votre épargne est placé dans le locatif!
Ensuite, dans le locatif, les frais peuvent être supérieur à vos revenus : travaux, agence, impôt, copropriété peuvent chiffrer particulièrement vite.
Exemple : cette année ma grand mère n'aura pas de revenus sur un bien locatif : 3 mois de vacances locatives + réfection de l'électricité => 0€ encaissés sur l'année (imaginez si il y avait un crédit à payer...). ET là je compte que travaux et revenus locatif, il faut ajouter les impôts foncier pour équilibrer le calcul!
En sachant que sur ce bien, ses 2 dernières années, il y a eut installation de double vitrage, qui on couté plusieurs mois de loyer. (couts d'environ 8 mois par année avant changement de locataire et revalorisation du prix)
Donc l'autofinancement n'est pas forcément évident, surtout si on emprunte la totalité.
Sans compter que les prix de l'immobilier peuvent baisser, ce qui pourrait entrainer une perte à le revente du bien.