La nouveauté ? Une « fonctionnalité multicompartiment ». Le terme peut paraître technique mais il s'agit effectivement d'une nouveauté notable pour le contrat d'assurance vie Yomoni Vie, lancé voici très exactement 10 ans.
En 2015, ce « robo adivor », ou « robot conseiller », était l'une des fintechs bousculant le marché de l'assurance vie. Yomoni s'est depuis largement ancré dans le paysage patrimonial, dans un segment « assurance vie à moindre frais, sur Internet ».
Dans le panel de ses concurrents, plutôt florissant à l'origine, s'est notamment distingué Nalo Patrimoine. L'un des atouts de Nalo a toujours été la technologique « multiprojets » : elle vous permet, au sein d'un même contrat, de définir différents horizons de placement, donc différents profils de risque, donc différents types d'investissement. Le tout au sein d'une même enveloppe plutôt que de multiplier les contrats.
« Préparer la retraite, financer les études des enfants, acheter un bien »
C'est bien ce même principe, le « multiprojets » ou « multi-poches », qui s'invite désormais aussi chez Yomoni avec la « fonctionnalité multicompartiment ». Son assureur Suravenir le propose déjà sur plusieurs contrats patrimoinaux (chez Arkéa Banque Privée en particulier, depuis juin 2025).
L'intérêt pour le client, cette nouvelle fonctionnalité étant disponible à l'ouverture d'un contrat Yomoni Vie mais aussi pour les anciens clients ? « Grâce au multicompartiment, nos clients peuvent désormais piloter tous leurs projets de vie – préparer la retraite, financer les études des enfants, acheter un bien, etc. – depuis une seule et même enveloppe », commente Sébastien d'Ornano, président-fondateur de Yomoni, dans le communiqué.







