Les moyens de paiement (et non la forme du paiement), il n’y a pas beaucoup :
- Les espèces, seul moyen obligatoire accepté.
- Les chèques en perdition pour des achats ponctuels en main propre ou à distance (très rare).
- Le virement pour des transferts ponctuels ou récurrents, initiés par le débiteur pour des prestations de services ou factures (ex : salaire, loyer…).
- Le virement instantané en constante hausse, comme précédemment mais par sa rapidité permet des paiements en ligne ou en main propre.
- Le prélèvement automatique pour le paiement de factures B2B et B2C de prestations de services sur la durée, initiée par le créancier. Largement utilisée. Il y aussi le TIP SEPA, presque pareil mais uniquement pour les paiements récurrents.
- La carte bancaire, utilisé pour des achats récurrents et ponctuels en ligne et en main propre, très simple à utiliser mais limite par un plafond mensuel, contrairement aux autres moyens de paiement.
Il se distingue par la loi en trois catégories :
- Initié par le créancier (prélèvement, TIP SEPA), avec des droits de contestation étendu pour le débiteur.
- Initié par le débiteur (virement) sans droit ultérieur à annulation (hors fraude).
- Initié par le débiteur par le biais du creancier (carte bancaire) sans droit ultérieur à annulation.
Le chèque et l’espèce sont exclus de la liste des « autres moyens de paiement », commun à la zone SEPA.
Pour la forme effectivement y a les chèques cadeaux, la montre, le téléphone, la carte, le chèque, la puce intradermique…
Au niveau montant, on a les virements en grand monopole (>90% des montants) puis les prélèvements, la carte bancaire…
Au niveau fraude (par montant), on a la carte bancaire puis les chèques puis les prélèvements. Mais au niveau rapport usage/fraude, les chèques passent devant de loin.
Le virement reste un moyen de paiement relativement sur, du faite que les paiements de gros montants entre entreprises, les achats notariés et les salaires passent quasi-exclusivement par ce canal et poussent vers zéro le taux de fraude.