Buffeto
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Staff MoneyVox
La Cour de cassation [lien réservé abonné] a refusé à un vendeur d'un bien immobilier le droit de revenir sur son engagement. Jusqu'à présent, le vendeur pouvait se rétracter, quitte à payer des dommages-intérêts.
Le droit évolue. Attention : désormais, on ne peut plus renoncer après une promesse de vente d'un bien immobilier. Dans un arrêt rendu le 23 juin dernier, la Cour de cassation a refusé à un vendeur le droit de revenir sur son engagement, bien que l’acquéreur n’ait pas encore déclaré acquérir (n’ait pas encore "levé l’option" selon le terme juridique).
La Cour a donc changé d’avis : celui qui signe une promesse de vente d’un bien immobilier est définitivement engagé, à moins qu’une clause de cette promesse ne lui ait réservé la possibilité de se désengager. Jusqu'à présent, le vendeur pouvait se rétracter, quitte à payer des dommages-intérêts parfois conséquents à l’acquéreur pressenti
Le droit évolue. Attention : désormais, on ne peut plus renoncer après une promesse de vente d'un bien immobilier. Dans un arrêt rendu le 23 juin dernier, la Cour de cassation a refusé à un vendeur le droit de revenir sur son engagement, bien que l’acquéreur n’ait pas encore déclaré acquérir (n’ait pas encore "levé l’option" selon le terme juridique).
La Cour a donc changé d’avis : celui qui signe une promesse de vente d’un bien immobilier est définitivement engagé, à moins qu’une clause de cette promesse ne lui ait réservé la possibilité de se désengager. Jusqu'à présent, le vendeur pouvait se rétracter, quitte à payer des dommages-intérêts parfois conséquents à l’acquéreur pressenti