JackieChan
Contributeur régulier
Au palais de l’Élysée, le président François Daury confie ses décisions à un cabinet de conseil de confiance, Stratagem Conseil, réputé depuis des années.
Président Daury (confiant) :
« Je ne peux pas tout gérer. Stratagem est là pour ça. Ils ont toujours su me guider. »
Dans les bureaux de Stratagem, le directeur Marc et ses équipes étudient les rapports générés par leur « équipe humaine ».
Marc (à son équipe) :
« Notre travail est clair : fournir des recommandations solides, fondées sur une analyse rigoureuse. »
Mais derrière ce vernis humain, une IA sophistiquée, Elia, génère la plupart des rapports, sans que personne ne révèle cette réalité.
Dans une réunion interne, un analyste lève une inquiétude :
« Elia utilise ses propres données pour s’entraîner, elle tourne en boucle sur ses sorties passées. Ça peut biaiser les résultats… »
Marc (détaché) :
« Peu importe, le président ne doit voir que des rapports humains, compréhensibles, et ça fonctionne bien. »
Pendant ce temps, dans les rues, la population souffre des décisions prises, perçoit l’absurdité et l’injustice de certaines mesures.
Au café, Kian, lanceur d’alerte, s’exprime avec colère :
Kian :
« Ils nous disent que ce sont des humains qui décident, mais c’est une machine, une IA probabiliste qui tourne en rond sur ses propres données. C’est ça la vérité que personne ne veut voir. »
Journaliste (interloqué) :
« Et le président ? »
Kian (amer) :
« Il délègue tout à Stratagem. Il pense avoir des experts humains, mais c’est un écran de fumée. Pendant ce temps, le pays s’enfonce dans une spirale qui échappe à tout contrôle. »
La tension monte, la révolte gronde, tandis que la vérité sur cette gouvernance invisible menace de tout bouleverser.
Contenu à moitié généré par l'IA probabiliste lui-même mais qui s'est entraîné encore sur des données relativement humaines bien que légèrement influencées par la culture américaine.
Président Daury (confiant) :
« Je ne peux pas tout gérer. Stratagem est là pour ça. Ils ont toujours su me guider. »
Dans les bureaux de Stratagem, le directeur Marc et ses équipes étudient les rapports générés par leur « équipe humaine ».
Marc (à son équipe) :
« Notre travail est clair : fournir des recommandations solides, fondées sur une analyse rigoureuse. »
Mais derrière ce vernis humain, une IA sophistiquée, Elia, génère la plupart des rapports, sans que personne ne révèle cette réalité.
Dans une réunion interne, un analyste lève une inquiétude :
« Elia utilise ses propres données pour s’entraîner, elle tourne en boucle sur ses sorties passées. Ça peut biaiser les résultats… »
Marc (détaché) :
« Peu importe, le président ne doit voir que des rapports humains, compréhensibles, et ça fonctionne bien. »
Pendant ce temps, dans les rues, la population souffre des décisions prises, perçoit l’absurdité et l’injustice de certaines mesures.
Au café, Kian, lanceur d’alerte, s’exprime avec colère :
Kian :
« Ils nous disent que ce sont des humains qui décident, mais c’est une machine, une IA probabiliste qui tourne en rond sur ses propres données. C’est ça la vérité que personne ne veut voir. »
Journaliste (interloqué) :
« Et le président ? »
Kian (amer) :
« Il délègue tout à Stratagem. Il pense avoir des experts humains, mais c’est un écran de fumée. Pendant ce temps, le pays s’enfonce dans une spirale qui échappe à tout contrôle. »
La tension monte, la révolte gronde, tandis que la vérité sur cette gouvernance invisible menace de tout bouleverser.
Contenu à moitié généré par l'IA probabiliste lui-même mais qui s'est entraîné encore sur des données relativement humaines bien que légèrement influencées par la culture américaine.
