lochness
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Bonsoir,
Je suis tellement désolé que je me tourne vers votre forum. Peut-être pourriez vous me donner quelques conseils judicieux et me permettre de retrouver le sommeil....
Ma femme et moi tombons sous le charme de la maison de nos rêves... elle est plus grande, plus spacieuse elle a plus de terrain que notre maison actuelle et se situe à deux pas de chez nous (dans la même rue). Cela fait un moment que nous l'admirons. On apprend que la mamie qui l'habitait est décédée...On décide donc de prendre contact avec un de ses deux fils pour savoir si il nous la vendrait. (il y a trois héritiers sur la maison). Après de longue discussions nous fixons un prix de 220000 euros.
IL faut encore financer 50000 euros de travaux, et payer les frais de notaire. Soit un total de 285000 euros.
Nous allons voir notre banquier (nous nous connaissons depuis quelques temps, c'est lui qui nous a monté le prêt immo en cours) et lui exposons le projet. Il faut savoir que nous avons suivi ce banquier dans sa nouvelle banque (qui est aussi plus proche de chez nous de 45 km.)
Avec notre apport personnel (donation d'un membre de notre famille) , la revente de notre maison estimée à 235000 E (mise en place d'un prêt relais), le deblocage d'un prêt C.E.L. (23000 e) Il nous faut un fiancement de 230 000 euros par la banque. Un accord de principe est donné. Il envoi le dossier d'emprunt au notaire d'un montant de 254000 euros (je ne sais pas non plus pourquoi...)
Le 25 mai nous signons le compromis de vente. Le drame, c'est que sur le compromis n'est pas stipulé le montant total du projet pour un prêt (285 000 e) mais la somme de 230 000 e. Je vous avoue que faisant confiance au banquier, ni ma femme ni moi n'avons réalisé la porté de la somme inscrite.
Entre temps la donation prévue n'est plus possible, l'estimation de mon habitation est passée à 205 000 euros et le montant de travaux (reçu sur devis) est à 70 000 euros.
Puisque je dois rendre mon offre de prêt au notaire au 15 juillet nous allons voir notre banquier la semaine dernière en lui expliquant la situation. Il nous dit très bien comprendre et qu'il préfère nous voir venir ainsi et annuler la vente parce que le prêt sur 285000 euros ne nous sera pas accordé, et plutôt que de venir le voir dans 6 mois en pleurant parce que la vente de notre maison ne se fait pas et que nous devons payer les travaux, il préfère annuler la vente par un refus de prêt à transmettre au notaire. Dans la foulée il annule notre rendez-vous prévu le lendemain (dans notre ancienne banque, puisqu'il n'y a plus de prêt à faire. )
Après discussion avec sa directrice, il établi une lettre de refus de prêt mais pour un montant de 285000 euros !!
Notre notaire nous dit qu'en face ça ne passera pas. On va les revoir pour essayer de comprendre mais le banquier et sa directrice nous disent qu'un prêt de 230 000 passe. Donc pas de lettre de complaisance. Je lui explique qu'il ne s'agit pas de complaisance mais de notre avenir et lui demande comment si notre maison ne se vend pas à la valeur estimée et sans notre donation et les devis plus élevés, nous allions faire pour sortir 285000 euros. Je lui demande si une fois dans cette mouise elle m'en sortirait, et qu'endetté à plus de 40% ça nous branche moyen. Elle tique un peu et nous dit qu'elle va réunir une commission pour ne plus faire passer le prêt, sous réserve de lui présenter l'estimation, les devis et la renonciation à donation. Ce que nous faisons.
Aujourd'hui après la commission je passe chercher le refus de prêt mais je m'aperçois qu'elle n'y a indiqué aucun montant. Mon notaire lui téléphone, mais la directrice ne veut rien savoir; elle parle systématiquement de complaisance.
Entre temps, et faisant confiance à ce banquier (que nous avons suivi dans sa nouvelle banque) nous n'avons rien signé, aucune demande de prêt à un organisme.; La seule chose qui a été faite c'est la demande de transfert de prêt en cours vers la nouvelle acquisition (accepté), et la demande d'un droit au prêt grâce au CEL (accepté). Pour finir, il nous faut aller finaliser tout cela dans notre ancienne banque car c'est chez eux qu'est domicilié le prêt en cours...tout cela avant le 15 juillet.
Nous sommes réellement, réellement désespérés. On ne sait plus quoi faire ni vers qui se tourner. Peut on partager les tords ? Aujourd'hui nous avons peur de devoir payer les 10% de pénalités si nous présentons ce papier au notaire des acquéreurs, et nous avons peur de filer droit à la catastrophe si nous avons ce prêt mais rien pour financer les travaux...
Que faire ? Vers qui se tourner ? Avant mardi 15 juillet ? Je crois que c'est peine perdu. Je retourne tout de même voir le banquier demain pour trouver une solution avant une procédure.
Merci de vos réponses. Bonne nuit.
Je suis tellement désolé que je me tourne vers votre forum. Peut-être pourriez vous me donner quelques conseils judicieux et me permettre de retrouver le sommeil....
Ma femme et moi tombons sous le charme de la maison de nos rêves... elle est plus grande, plus spacieuse elle a plus de terrain que notre maison actuelle et se situe à deux pas de chez nous (dans la même rue). Cela fait un moment que nous l'admirons. On apprend que la mamie qui l'habitait est décédée...On décide donc de prendre contact avec un de ses deux fils pour savoir si il nous la vendrait. (il y a trois héritiers sur la maison). Après de longue discussions nous fixons un prix de 220000 euros.
IL faut encore financer 50000 euros de travaux, et payer les frais de notaire. Soit un total de 285000 euros.
Nous allons voir notre banquier (nous nous connaissons depuis quelques temps, c'est lui qui nous a monté le prêt immo en cours) et lui exposons le projet. Il faut savoir que nous avons suivi ce banquier dans sa nouvelle banque (qui est aussi plus proche de chez nous de 45 km.)
Avec notre apport personnel (donation d'un membre de notre famille) , la revente de notre maison estimée à 235000 E (mise en place d'un prêt relais), le deblocage d'un prêt C.E.L. (23000 e) Il nous faut un fiancement de 230 000 euros par la banque. Un accord de principe est donné. Il envoi le dossier d'emprunt au notaire d'un montant de 254000 euros (je ne sais pas non plus pourquoi...)
Le 25 mai nous signons le compromis de vente. Le drame, c'est que sur le compromis n'est pas stipulé le montant total du projet pour un prêt (285 000 e) mais la somme de 230 000 e. Je vous avoue que faisant confiance au banquier, ni ma femme ni moi n'avons réalisé la porté de la somme inscrite.
Entre temps la donation prévue n'est plus possible, l'estimation de mon habitation est passée à 205 000 euros et le montant de travaux (reçu sur devis) est à 70 000 euros.
Puisque je dois rendre mon offre de prêt au notaire au 15 juillet nous allons voir notre banquier la semaine dernière en lui expliquant la situation. Il nous dit très bien comprendre et qu'il préfère nous voir venir ainsi et annuler la vente parce que le prêt sur 285000 euros ne nous sera pas accordé, et plutôt que de venir le voir dans 6 mois en pleurant parce que la vente de notre maison ne se fait pas et que nous devons payer les travaux, il préfère annuler la vente par un refus de prêt à transmettre au notaire. Dans la foulée il annule notre rendez-vous prévu le lendemain (dans notre ancienne banque, puisqu'il n'y a plus de prêt à faire. )
Après discussion avec sa directrice, il établi une lettre de refus de prêt mais pour un montant de 285000 euros !!
Notre notaire nous dit qu'en face ça ne passera pas. On va les revoir pour essayer de comprendre mais le banquier et sa directrice nous disent qu'un prêt de 230 000 passe. Donc pas de lettre de complaisance. Je lui explique qu'il ne s'agit pas de complaisance mais de notre avenir et lui demande comment si notre maison ne se vend pas à la valeur estimée et sans notre donation et les devis plus élevés, nous allions faire pour sortir 285000 euros. Je lui demande si une fois dans cette mouise elle m'en sortirait, et qu'endetté à plus de 40% ça nous branche moyen. Elle tique un peu et nous dit qu'elle va réunir une commission pour ne plus faire passer le prêt, sous réserve de lui présenter l'estimation, les devis et la renonciation à donation. Ce que nous faisons.
Aujourd'hui après la commission je passe chercher le refus de prêt mais je m'aperçois qu'elle n'y a indiqué aucun montant. Mon notaire lui téléphone, mais la directrice ne veut rien savoir; elle parle systématiquement de complaisance.
Entre temps, et faisant confiance à ce banquier (que nous avons suivi dans sa nouvelle banque) nous n'avons rien signé, aucune demande de prêt à un organisme.; La seule chose qui a été faite c'est la demande de transfert de prêt en cours vers la nouvelle acquisition (accepté), et la demande d'un droit au prêt grâce au CEL (accepté). Pour finir, il nous faut aller finaliser tout cela dans notre ancienne banque car c'est chez eux qu'est domicilié le prêt en cours...tout cela avant le 15 juillet.
Nous sommes réellement, réellement désespérés. On ne sait plus quoi faire ni vers qui se tourner. Peut on partager les tords ? Aujourd'hui nous avons peur de devoir payer les 10% de pénalités si nous présentons ce papier au notaire des acquéreurs, et nous avons peur de filer droit à la catastrophe si nous avons ce prêt mais rien pour financer les travaux...
Que faire ? Vers qui se tourner ? Avant mardi 15 juillet ? Je crois que c'est peine perdu. Je retourne tout de même voir le banquier demain pour trouver une solution avant une procédure.
Merci de vos réponses. Bonne nuit.
