totoka a dit:
			
		
	
	
		
		
			Vraiment je sèche sur les explications et quand je n'arrive pas à me l'expliquer, je n'y vais généralement pas...
		
		
	 
La seconde, SCPI PIERRE-SELECTION, est une SCPI de commerces... Elle a souffert de la pandémie, c'est évident.
Sans avoir détaillé les documents, je retrouve sur la 1ère, SCPI ACCES-VALEUR-PIERRE, exactement le même profil que pour la SCPI sur laquelle je suis investi (Le Patrimoine Foncier) :
Une SCPI ancienne créée en 1981 (1968 pour la mienne)
Une décote identique.
Elles affichent des RAN importants : 80% des revenus annuels pour celle de la BNP.
La SCPI est également engagée dans d'importants travaux de réhabilitation.
Le marché des parts est faible : 0,15% du nombre total de parts a changé de mains en 2020.
La collecte pour le marché des SCPI en France a baissé de 30% l'an dernier sur 2019. 
Je pense que c'est l'AV qui doit capter la plus grande part de cette collecte, et donc les SCPI à capital variable et plutôt récentes, à très récentes.
De plus, le marché secondaire des SCPI fermées n'est pas ce qu'il y a de plus facile à exploiter pour un éventuel entrant sur l'une d'elles.
Par un temps, je voulais vendre mes parts à cause de la ponction fiscale sur les revenus.
Je me suis finalement ravisé parce que, simple avis, j'ai dans l'idée que ces SCPI ont au patrimoine de beaux immeubles, achetés il y a longtemps dans de beaux quartiers de Paris... On peut dire ce que l'on veut, mais Paris restera Paris, et je préfère avoir investi sur de la pierre au coeur de Paris, plutôt que dans des ensembles modernes dans des zones d'activité en bordure des grandes métropoles. 
L'inconvénient des vieux immeubles est la nécessité de les remettre aux normes actuelles et d'y faire de gros travaux d'aménagement et d'isolation.
Je vois que ces anciennes SCPI s'y sont attablées!
Évidemment, sur le moment, ça pèse sur la rentabilité. Mais la base est solide.
J'ai plus confiance dans ces anciennes SCPI que dans les récentes, dont certaines ont acquis des bâtiments à marche forcée à cause de l'afflux de capitaux. Des biens qui ont dû être parfois surpayés.
On verra ce qu'elles seront devenues dans 15 ans!
Sans parler du RAN, dont certaines, de création récente (exemple avec les Corum), n'ont pas de RAN.
Le RAN est une ponction sur les revenus à distribuer. Pas de RAN améliore la distribution, et donc le rendement annuel de la SCPI... Ce qui va attirer le client. 
Peut-être est-il "has been"!! Il reste une sécurité pour faire face à des imprévus.
Je constate que ma SCPI a toujours versé les revenus durant la pandémie. Toutes n'ont pas pu le faire.
Voilà mon ressenti après survol des 2 documents, et en me basant sur mon expérience personnelle.
Je n'irais pas sur celle de commerces, mais l'autre me semble intéressante.