Ticket initial publié le 19/02/2016 sur le blog
Le journal « lefigaro.fr », dans un article du 17 février 2016, met en lumière un fait divers : un restaurateur particulièrement remonté qui interdit l’entrée de son établissement aux banquiers suite à un refus de prêt dans plusieurs banques. Toutefois, face à ces refus, les plateformes de crowdfunding peuvent tirer leurs épingles du jeu.
Le journal explique qu’un restaurateur de Rueil-Malmaison (région parisienne) affiche à l’entrée de son restaurant une ardoise où l’on peut voir « chiens acceptés – banquiers interdits (sauf droit d’entrée de 70.000 euros) ». Ce dernier a décidé d’afficher ce message suite aux refus d’une demande de crédit (équivalent à 70.000 euros) auprès de plusieurs banques. Le propriétaire du restaurant avance que « restaurateurs, entrepreneurs, nous sommes tous dans la même situation : à chaque fois que nous souhaitons lancer un business, nous devons nous mettre à quatre pattes ».
Cette histoire semble faire couler quelque peu d’encre, car « lefigaro.fr » a de nouveau publié un article le 18 février 2016 en expliquant que « l’ardoise semble avoir eu l’effet escompté. Non seulement, elle interpelle les riverains, mais le message est également parvenu aux oreilles des établissements bancaires ». Une banque du Qatar lui a même proposé un financement.
Ce restaurateur aurait également pu trouver une solution alternative grâce au crowdfunding. Ou plus précisément grâce au crowdlending qui permet aux entreprises de bénéficier de prêts financés par les particuliers contre rémunération.
Les banques, en effet, couvrent encore mal certains besoins de financement des petites et moyennes entreprises, notamment les biens immatériels (marketing, mise en conformité…). C’est donc à ce niveau que les plateformes de crowdfunding tentent de faire la différence en prêtant alors que les établissements bancaires ne le feraient pas. Cet exemple de refus de financement par les banques pourrait être un bon argument à reprendre par les différentes plateformes spécialisées.
Cependant, le crowdlending n’est pas forcément la solution à toutes les situations. Il nécessite d’être vigilant, notamment dans le choix de la plateforme, et de connaître les avantages et inconvénients du mécanisme. En effet, les taux pratiqués par ces plateformes peuvent être plus élevés que ceux des banques.
Le journal « lefigaro.fr », dans un article du 17 février 2016, met en lumière un fait divers : un restaurateur particulièrement remonté qui interdit l’entrée de son établissement aux banquiers suite à un refus de prêt dans plusieurs banques. Toutefois, face à ces refus, les plateformes de crowdfunding peuvent tirer leurs épingles du jeu.
Le journal explique qu’un restaurateur de Rueil-Malmaison (région parisienne) affiche à l’entrée de son restaurant une ardoise où l’on peut voir « chiens acceptés – banquiers interdits (sauf droit d’entrée de 70.000 euros) ». Ce dernier a décidé d’afficher ce message suite aux refus d’une demande de crédit (équivalent à 70.000 euros) auprès de plusieurs banques. Le propriétaire du restaurant avance que « restaurateurs, entrepreneurs, nous sommes tous dans la même situation : à chaque fois que nous souhaitons lancer un business, nous devons nous mettre à quatre pattes ».
Cette histoire semble faire couler quelque peu d’encre, car « lefigaro.fr » a de nouveau publié un article le 18 février 2016 en expliquant que « l’ardoise semble avoir eu l’effet escompté. Non seulement, elle interpelle les riverains, mais le message est également parvenu aux oreilles des établissements bancaires ». Une banque du Qatar lui a même proposé un financement.
Ce restaurateur aurait également pu trouver une solution alternative grâce au crowdfunding. Ou plus précisément grâce au crowdlending qui permet aux entreprises de bénéficier de prêts financés par les particuliers contre rémunération.
Les banques, en effet, couvrent encore mal certains besoins de financement des petites et moyennes entreprises, notamment les biens immatériels (marketing, mise en conformité…). C’est donc à ce niveau que les plateformes de crowdfunding tentent de faire la différence en prêtant alors que les établissements bancaires ne le feraient pas. Cet exemple de refus de financement par les banques pourrait être un bon argument à reprendre par les différentes plateformes spécialisées.
Cependant, le crowdlending n’est pas forcément la solution à toutes les situations. Il nécessite d’être vigilant, notamment dans le choix de la plateforme, et de connaître les avantages et inconvénients du mécanisme. En effet, les taux pratiqués par ces plateformes peuvent être plus élevés que ceux des banques.



