L'information, a jugé la Cour de cassation dans un arrêt rendu le 9 novembre, n'est pas suffisante et n'est pas conforme à la loi si elle n'a été mentionnée que dans le magazine expédié régulièrement aux adhérents.
La justice a donc donné raison à un assuré qui réclamait un reliquat d'indemnité d'assurance alors que la mutuelle entendait lui appliquer ses nouveaux montants de prestations, plus faibles.
L'envoi d'un magazine pas suffisant
Tout le monde est au courant des nouveaux tarifs puisqu'ils ont été décidés par l'assemblée générale compétente, soutenait la mutuelle, et parce que ces décisions ont été mentionnées dans le magazine envoyé périodiquement à tous les adhérents.