Anatole
Membre
Bonjour!
J'ai l'intention de souscrire une assurance-vie.
Ma banque propose un seul cadre pour l' assurance-vie, baptisons le "alpha-bêta" ...... (en fait ils ont choisi un nom plus noble !!!).
On me propose -oralement- l'alternative suivante:
1/ Si je place tout mon capital en fonds sécurisé en Euros, il me rapportera 3,75% en 2007.
2/ Si je place 70% de mon capital en fonds sécrurisé et 30% en UC (unités de compte) à risque, alors le fonds sécurisé me rapportera 4,40% pour 2007.
Dans les deux cas, il s'agit pourtant du même fonds sécurisé "alpha-bêta".
À noter que ces pourcentages (3, 75 et 4,4 %) m'ont été donnés oralement et ne figurent sur aucune des documentations qui m'ont été fournies...
J' ai l'impression que l'on exerce sur moi une sorte de chantage pour m'obliger à prendre un fonds à risques.
Peut-être dois-je ajouter que j' ai la soixantaine ... J'ai déjà donné (plus exactement perdu !!!) avec les fonds à risques, et je préfèrerais maintenant m' en tenir aux fonds sécurisés.........
Cordialement,
Anatole
J'ai l'intention de souscrire une assurance-vie.
Ma banque propose un seul cadre pour l' assurance-vie, baptisons le "alpha-bêta" ...... (en fait ils ont choisi un nom plus noble !!!).
On me propose -oralement- l'alternative suivante:
1/ Si je place tout mon capital en fonds sécurisé en Euros, il me rapportera 3,75% en 2007.
2/ Si je place 70% de mon capital en fonds sécrurisé et 30% en UC (unités de compte) à risque, alors le fonds sécurisé me rapportera 4,40% pour 2007.
Dans les deux cas, il s'agit pourtant du même fonds sécurisé "alpha-bêta".
À noter que ces pourcentages (3, 75 et 4,4 %) m'ont été donnés oralement et ne figurent sur aucune des documentations qui m'ont été fournies...
J' ai l'impression que l'on exerce sur moi une sorte de chantage pour m'obliger à prendre un fonds à risques.
Peut-être dois-je ajouter que j' ai la soixantaine ... J'ai déjà donné (plus exactement perdu !!!) avec les fonds à risques, et je préfèrerais maintenant m' en tenir aux fonds sécurisés.........
Cordialement,
Anatole