Le plafond de la Sécurité sociale augmente en 2026
Bonne nouvelle pour les salariés, retraités et indépendants : le plafond de la Sécurité sociale va connaître une nouvelle hausse en 2026. Fixé à 48 060 euros par an et 4 005 euros par mois, il progressera de 2% par rapport à 2025. Ce plafond joue un rôle crucial dans le calcul des cotisations sociales, mais aussi dans celui des prestations comme les indemnités journalières d'arrêt maladie, les pensions de retraite ou d'invalidité.
À Mayotte, la hausse sera encore plus marquée, avec un plafond mensuel fixé à 3 021 euros, soit une augmentation de 7,1%. Une évolution qui reflète l'augmentation du salaire moyen par tête, selon le Bulletin officiel de la Sécurité sociale. Une donnée technique qui peut sembler anodine, mais qui a des effets concrets pour des millions de Français dans leur vie quotidienne. Plus d'infos.
Crypto : ces banques qui passent vraiment à l'action
Si beaucoup de banques communiquent sur les cryptomonnaies, peu sont celles qui ont réellement intégré ces actifs numériques à leur offre. En France, la Société Générale, via sa filiale SG Forge, a lancé un stablecoin adossé à l'euro, pour des opérations financières réglementées. Ce choix reflète une stratégie très institutionnelle, centrée sur la sécurité et la conformité.
De son côté, la banque indépendante Delubac & Cie se distingue avec une offre complète incluant un compte bancaire et un wallet crypto sécurisé. Enregistrée auprès de l'AMF et agréée dans le cadre du règlement européen MiCA, elle propose un cadre sûr pour la détention de crypto-actifs, y compris pour des montants importants.
En ligne, BoursoBank et Fortuneo permettent une exposition indirecte aux cryptos via la Bourse, sans proposer d'achat ou de détention directe. Mais la donne pourrait évoluer : Fortuneo envisagerait de proposer des investissements crypto dans un futur proche. Quant à Revolut, elle permet déjà l'achat et la vente de cryptomonnaies directement depuis son app, dans un cadre réglementé. Tous les détails.
Interdit bancaire : quelles solutions pour ouvrir un compte pro ?
Être interdit bancaire n'empêche pas d'avoir un compte professionnel. Grâce au droit au compte, un entrepreneur peut, après un refus bancaire justifié, solliciter la Banque de France qui désignera un établissement obligé d'ouvrir un compte pro avec services de base : virements, encaissements, carte à autorisation systématique, etc.
Cependant, cette solution reste limitée : pas de découvert autorisé, pas de choix de la banque, et une certaine stigmatisation possible. Heureusement, des alternatives existent. Des néobanques comme Shine ou Qonto acceptent les clients en situation d'interdit bancaire, avec des services souvent plus étendus. Ces fintechs, bien qu'elles ne soient pas des banques au sens strict, offrent une ouverture plus souple et des services adaptés aux besoins des professionnels. Explications.

























