L'étude du jour : Un budget de Noël au plus bas depuis 2017
Le baromètre Cofidis-CSA Research révèle que le budget moyen consacré aux fêtes de Noël atteint 491 euros en 2025, contre 497 euros l'an passé. Ce niveau, le plus bas depuis huit ans, traduit une légère contraction des dépenses, sans pour autant entamer l'attachement des Français à cette fête, toujours préférée par 76% d'entre eux.
Dans le détail, les cadeaux monopolisent la part la plus importante (297 euros), suivis par les repas (123 euros). Les décorations (28 euros), les transports (25 euros) et les tenues (23 euros) arrivent loin derrière.
Pour compenser la baisse du pouvoir d'achat, les consommateurs multiplient les stratégies : 38% comptent profiter des périodes promotionnelles, 22% se limiteront aux cadeaux pour enfants et 14% achèteront d'occasion. Tous les détails ici.
L'article le plus lu du jour : les conséquences d'une hausse de la CSG sur l'assurance vie
À l'Assemblée nationale, un amendement socialiste adopté en première lecture prévoit de relever la contribution sociale généralisée (CSG) sur les revenus du capital de 9,2% à 10,6%. Si cette hausse se confirmait, le taux global des prélèvements sociaux grimperait de 17,2% à 18,6%, portant la « flat tax » de 30% à 31,4%.
Concrètement, cette modification toucherait l'ensemble des placements soumis à cette fiscalité, dont les contrats d'assurance vie. Pour un rendement de 2,5% sur un fonds en euros, le taux net passerait de 2,07% à environ 2,04% après prélèvements. À lire dans cet article.
La mauvaise nouvelle du jour concerne le chèque énergie
La Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR) et le CNAFAL alertent sur une baisse drastique du nombre de bénéficiaires du chèque énergie. Alors que 5,5 millions de foyers en profitaient encore l'an passé, seuls 3,8 millions devraient en bénéficier automatiquement cette année, soit 1,5 million de ménages en moins.
Malgré la possibilité de déposer une demande manuelle jusqu'au 28 février 2026, le dispositif peine à compenser ces exclusions. En 2024, seuls 176 000 foyers avaient pu récupérer leur aide après réclamation, loin du million estimé. La suite à lire ici.



















