Le chiffre du jour : 9,8 millions de Français concernés par la pauvreté
L'Insee tire la sonnette d'alarme : 15,4% de la population vit désormais sous le seuil de pauvreté, fixé en 2023 à 1 288 euros mensuels pour une personne seule. Cela représente 650 000 personnes de plus qu'en 2022. Cette hausse est liée à la fin des aides exceptionnelles (prime de rentrée, indemnité inflation) et à une augmentation du temps partiel subi. Les retraités sont un peu plus épargnés grâce à la revalorisation du minimum contributif. En revanche, les familles monoparentales sont particulièrement touchées, leur taux de pauvreté bondissant de 2,9 points pour atteindre 34,3%. Tous les détails.
La question du jour : quelles banques sont les plus avantageuses selon votre profil ?
MoneyVox a comparé les frais bancaires de 128 établissements selon trois profils types : jeune, classique (salaire de 1 700 euros par mois) et premium (3 000 euros par mois). Pour le profil standard, les moins chères affichent par exemple des frais annuels de 2,78 euros contre jusqu'à 254 euros par an pour les plus onéreuses. Il est aussi parfois possible d'obtenir des primes de bienvenue allant jusqu'à 260 euros. Voilà celles qui affichent les prix les plus bas pour vous.
L'analyse du jour : faut-il miser sur les parts sociales des banques ?
Dans un contexte de baisse des taux, les parts sociales des banques mutualistes suscitent un regain d'intérêt. Ce placement spécifique, réservé aux clients des banques comme le Crédit Mutuel, le Crédit Agricole, la Caisse d'Épargne ou encore les Banques Populaires, offre en 2025 une rémunération allant de 2% (Crédit Coopératif) à 3,10% (parts B du Crédit Mutuel Alliance Fédérale). Ces rendements sont cependant bruts. Bien que facultatif en théorie, devenir sociétaire en achetant ces parts peut être vu comme une obligation pour accéder à certains produits bancaires, notamment des crédits. Ce qu'il faut savoir.