Une « prime JO » avait déjà été annoncée en janvier et portée jusqu'à 1 900 euros pour les policiers et gendarmes travaillant en Île-de-France.
De même, l'indemnité versée pourra atteindre 1 900 euros pour les sapeurs-pompiers de Paris (militaires intervenant dans la capitale et les trois départements de « petite couronne ») et les pompiers professionnels des Yvelines.
Ces soldats du feu mobilisés là où sont implantés les principaux sites olympiques auront droit à cette majoration « en raison de l'intensité de leur engagement », précise le décret.
La prime sera de 1 600 euros, pour une mobilisation d'au moins dix jours, pour les pompiers professionnels servant en service d'incendie et de secours hors Yvelines, les militaires des marins-pompiers de Marseille et les volontaires.
Les syndicats de pompiers professionnels s'étaient mobilisés mi-mai à l'échelle nationale pour réclamer notamment une prime pour leur implication à l'occasion des Jeux olympiques (26 juillet - 11 août) et paralympiques (28 août - 8 septembre).
« Les forces de l'ordre ont obtenu des primes allant de 1 500 à 1 900 euros. On demande la même chose », avait alors fait valoir un de leurs représentants syndicaux.