1 - Livret A : des alternatives plus rémunératrices à explorer en 2025

Le taux du Livret A, actuellement gelé à 3%, passera probablement à 2,5% dès le 1er février, sous l'effet de la baisse de l'inflation. Cette diminution pourrait être suivie d'une nouvelle révision à la baisse en août, ce qui amène les épargnants à envisager des placements alternatifs. Parmi eux, le Livret d'épargne populaire (LEP), réservé aux ménages modestes, devrait offrir un rendement net supérieur (probablement 3%). Les fonds en euros de l'assurance vie et les comptes à terme à long terme se positionnent également comme des solutions compétitives face à cette baisse. Toutefois, ces options nécessitent une analyse minutieuse en raison de plafonds de versement, de fiscalité et d'accès spécifiques. Toutes les informations.

2 - APL : les nouveaux plafonds de ressources pour 2025

La revalorisation annuelle des aides personnalisées au logement (APL) a été officialisée. En 2025, une personne seule sans personne à charge pourra percevoir l'aide maximale si ses ressources n'excèdent pas 5 235 euros (contre 5 186 euros en 2024). Pour une famille avec un enfant à charge, ce seuil passe à 8 947 euros. Les étudiants bénéficieront également d'un ajustement : le plafond annuel de ressources pour un non-boursier louant un logement classique s'élève désormais à 8 600 euros. Ces modifications devraient légèrement élargir l'accès aux APL pour certaines catégories, bien que les montants exacts dépendront toujours des paramètres habituels, tels que le loyer et le patrimoine. En savoir plus.

3 - Gaz : encore une hausse du prix repère en février

La Commission de régulation de l'énergie a annoncé une nouvelle augmentation du prix repère du gaz pour février 2025. Le prix moyen du kilowattheure pour les ménages utilisant le gaz pour la cuisson et l'eau chaude passera à 0,148 euro, contre 0,146 euro en janvier. Pour les foyers se chauffant au gaz, ce tarif passera de 0,118 à 0,119 euro par kWh. Bien que ces hausses soient modestes, elles s'ajoutent à une série d'augmentations constatées ces derniers mois. Un ménage consommant 10 000 kWh pour le chauffage pourrait ainsi voir sa facture annuelle grimper de près de 400 euros par rapport à mi-2023. Tous les détails.