Selon le quotidien, le chef de l'Etat est « déterminé » à appliquer cette mesure et l'arbitrage devrait intervenir en juillet, en fonction du niveau de la croissance du deuxième trimestre. La France a enregistré au premier trimestre une croissance supérieure aux attentes, à 0,5%, laissant entrevoir à un an de la présidentielle une embellie économique, après la publication de bons chiffres du chômage.

Réduit à 3,5% du PIB en 2015 (7% en 2010), le déficit devrait repasser sous les 3% en 2017, selon le gouvernement. Mi-avril, le président a indiqué qu'il déciderait « à la fin de l'année » de se représenter ou pas pour un second mandat en 2017.