« Il faut en tous cas que (ces garanties) s'appliquent bien à l'activité de banque de détail et qu'on évite toute contamination entre une activité et l'autre », a dit l'ancienne ministre de l'économie sur la radio Europe 1. « Quelle forme cela doit prendre ? C'est à déterminer, mais je crois qu'il faut qu'on isole bien les deux types d'activité », la banque de détail utilisée par les particuliers d'une part, de la banque d'affaire ou d'investissement de l'autre.
Les grandes banques françaises ont traditionnellement un modèle de banque « universelle », avec une présence forte à la fois dans la banque de détail et la banque d'affaires.